samedi 29 août 2015

TIRAGE AU SORT UEFA CHAMPIONS LEAGUE 2015-2016


" ROAD TO MILAN " 


Suite au triage au sort effectué à MONACO, le FC BARCELONE a découvert les rivaux qu'il aura à affronter en CHAMPIONS LEAGUE cette saison. 

Les catalans, têtes de série,  évolueront au sein du Groupe E aux côtés des italiens de l'AS ROMA, des allemands du BAYER LEVERKUSEN et des biélorusses du BATE BORISOV. 

La route vers MILAN s'annonce donc très intéressante pour le MES QUE qui devra gérer, notamment lors de la première journée, un déplacement à l'OLIMPICO DE ROMA..Un retour qui devrait être très attendu par EL LUCHO qui reverra LA CURVA SUD ROMANISTA, tandis que LIO MESSI et les siens retrouveront  le même rival qu'ils avaient battu pour remporter EL GAMPER. 

Il est à rappeler que le Barça visera le titre cette saison pour devenir le premier club à remporter la C1 lors de deux reprises consécutives. Nous y croyons ! 

Força Barça ! 
  

VIDEO-STORY / "En Hommage au FC BARCELONE"


" Homenaje al Blaugrana ! " 


Comme chaque année, le tirage au sort de l'UEFA CHAMPIONS LEAGUE, compétition la plus prestigieuse de la planète, a retenu toute l'intention médiatique de cette journée. Seule différence pour cette année, une spécificité aux couleurs Bleu et Grenat mérite d'être soulignée, le DRAW de cette saison étant dédié en hommage au FC BARCELONE, dernier membre à avoir rejoint le club on peut plus fermé des équipes ayant remporté la C1 à 5 reprises. S'ajoutant ainsi à son rival éternel, mais également au MILAN AC, LIVERPOOL et au BAYERN MUNCHEN, le Barça confirme son statut du club le plus prolifique de cette dernière décennie.

Outre l'hommage rendu au Club par la présence de 5 joueurs symbolisant les 5 coupes aux grandes oreilles remportées par le MES QUE, les prix du meilleur joueur évoluant dans les championnats européens, celui du plus beau but ainsi que celui de la meilleure parade de la saison en C1 ont tous été remportés par les joueurs du Barça. 

Ainsi, LIONEL ANDRES MESSI a refoulé le terrain de l'histoire en écrasant au vote notre cher LUIS SUAREZ venu deuxième, et LA MUNECA RONALDO venu troisième, pour devenir le premier joueur à remporter le prix du MVP européen à deux reprises, LA PULGA ayant déjà été sacré lors de la saison 2011. 

Dans la foulée, EL DIEZ a également raflé le prix du meilleur but inscrit grâce à sa réalisation anthologique face au BAYERN MUNCHEN lors du match aller au CAMP NOU. Par ailleurs, TER STEGEN s'est également vu attribué le prix de la plus belle parade de la saison grâce à son arrêt spectaculaire face aux bavarois à l'ALIANZ ARENA.    

Une vértiable consécration donc pour tous les amoureux du FCB qui ont pu savourer la reconnaissance européenne dans toute son ampleur..Le travail finit toujours par payer, le spectacle aussi..

Visca Barça ! 







mercredi 26 août 2015

FICHAJES 2015-2016 / #GRACIESPEDRO


« Gracies Pedro, Gracies Canari.. »


Oui. Merci.. Merci à ce talent, cette motivation, cette personnalité, ce sourire éternellement jeune qui a meublé, pour quelques sept ans, le décor de notre équipe de cœur.

Arrivé aux rangs des catégories de jeunes du MES QUE UN CLUB à son âge d’éclosion, PEDRO RODRIGUEZ LEDESMA a non seulement vécu son rêve, mais a aussi fait vivre à des millions de jeunes espagnols leur rêve le plus irréfléchi. Celui de partir loin de la région de naissance, plus ou moins enclavée, pour caresser la gloire, embrasser les victoires et marquer leur temps dans une des plus grandes équipes du monde, si ce n’est la plus grande ; aux côtés des plus grands joueurs de la planète, si ce n’est de tous les temps. Parti depuis TENERIFE, EL CANARI -comme l’on surnommé les commentateurs- a fréquenté LA MASIA pour s’imbiber de « Culture Barça », et en dépit du niveau hors­-normes des éléments de l’équipe première, notamment aux avant-postes, PEDRITTO -tel s’en rappelleront les Culés- a réussi à s’imposer comme une des armes les plus fatales du « Barça de Las Seis Copas », puis de toutes les versions qui succédèrent jusqu’à l’ultime Barça TRICAMPION, voire jusqu’au jour où ces lignes sont écrites.. Malgré toute apparence.

Entré en fin de match pour quelques minutes, un beau soir de la saison 2007-2008, PEDRITTO aura d’abord été lancé par RIJKAARD, le même qui avait aligné un certain LIONEL ANDRES MESSI ; avant que le talent canarien ne soit poli, travaillé puis exposé en pleine vitrine par JOSEP GUARDIOLA lors de sa première saison à la tête de l’équipe A. EL PHILOSOPHER, qui connaissait toute l’ampleur de ce talent explosif grâce à son passage au Barça Athletic, n’avait guère eu de doute lorsqu’il s’agissait de mettre en avant des pièces maîtresses, malgré leur jeunesse, qui allaient devenir par la suite celles de la plus spectaculaire équipe de l’histoire. Aux côtés d’un certain SERGIO BUSQUETS, PEDRITTO escalada les marches vers l’équipe première, aidé par PEP certes, mais également par tout un groupe de professionnels qui accueillirent cette jeunesse montante, comme il fut le cas du BUSI, à bras grands ouverts.

PEDRITTO explosa un difficile soir de SUPERCOPA, face à BILBAO au SAN MAMES, en marquant d’une frappe sourde des 25 mètres pour offrir un avantage tant espéré aux siens. Après l’explosion, vinrent les détonations successives, les éclats ou flashs de brillance : But de la victoire en Supercoupe d’Europe face au SHAKTAR lors des prolongations, but d’égalisation à la dernière minute face à l’ESTUDIANTES en finale de la Coupe du Monde des Clubs, but au BERNABEU lors d’un CLASSIC inoubliable, premier des cinq buts de LA MANITA historique infligée au rival éternel, premier des trois buts de la victoire face au MAN.UNITED en finale de la CHAMPIONS LEAGUE… La liste est longue, le bilan est impressionnant : 99 buts en bleu et grenat pour un PEDRITO d’or qui a marqué l’histoire du Barça en remportant pas moins de 20 titres où il participa activement, que ce soit en titulaire au sein de la triplette MVP (MESSI-VILLA-PEDRO), ou encore en remplaçant de luxe où il offrit au Barça la SUPERCOPE DE EUROPA à TBILISSI.. Ce fut son dernier but sous nos couleurs. 

Parti au Chelsea pour quelques 30 Millions d’Euros, PEDRO a déjà gagné le cœur des BLUES puisqu’en trois jours et un match, l’international espagnol-Champion d’Europe et du Monde- a déjà marqué un but et donné une passe décisive. Il faut reconnaître qu’outre sa vitesse, son talent, sa conduite de balle vertigineuse, PEDRO réussira là où il ira grâce à un professionnalisme des plus irréprochables.. 

Et c’est justement pour tout cela que nous ne l’oublierons jamais..


BUENA SUERTE PEDRITTO !  CULER HASTA SEMPRE !      






mardi 25 août 2015

CRONICA / ATHLETIC BILBAO vs FCB (0-1) / LIGA BBVA J1


" CONTRA TODO "

Sur la pelouse du NUEVO SAN MAMES, le FC BARCELONE -Champion en titre- démarrait sa campagne 2015-2016 en LIGA BBVA par un déplacement des plus périlleux en région basque où il affrontait l’ATHLETIC BILBAO, fraîchement couronné Superchampion d’Espagne. Là où les catalans avaient connu la déchéance la plus totale, une semaine auparavant par une défaite par quatre, les hommes de LUIS ENRIQUE affrontaient le même rival qui les avaient privé d’un REPOKER tant rêvé dans un match aux circonstances catégoriquement différentes. En dépit de plusieurs absences, notamment celle de PIQUE et NEYMAR, mais surtout celle de PEDRO parti en terre anglaise pour un avenir plus radieux, le peuple CULE comptait sur l’orgueil de ses idoles pour arracher les trois points de la cathédrale du football espagnol. En face, LOS LEONES rêvaient de répéter cet exploit historique qui les avait vu battre les TRICAMPIONS grâce à une succession d’éléments improbables.  
Pour cette partie incommode, EL MISTER choisissait de faire confiance à BRAVO dans les filets ; DANI « EL GATO » ALVES, MASCHERANO, VERMAELEN et « LA MOTO » ALBA en défense ; « LA ENCICLOPEDIA » BUSQUETS au milieu derrière le tandem RAKITIC-INIESTA ; tandis qu’en attaque, c’est finalement RAFINHA qui était élu aux côtés des intouchables LUIS SUAREZ et LA PULGA MESSI.  

La partie démarre comme attendu. Peu d’espaces, beaucoup de coups, un Barça qui dicte le jeu et un ATHLETIC qui tente d’enrayer la machine BLAUGRANA par tous les moyens. Et comme ce fut le cas lors de la boucherie en SUPERCOPA, la poisse s’ajouta à tous les éléments défavorables au MES QUE pour rendre la victoire encore plus compliquée.. Ainsi, dès la 9ème minute, EL LUCHO dût se séparer d’une de ses pièces maîtresses  en la personne du « GARRINCHA » ALVES qui fut blessé par un ADURIZ de fer. Adducteur droit étiré, DANI au banc et en douleur, SERGI ROBERTO au poste d’arrière droit. Mais contrairement à toutes les attentes, ce fut ce même SERGI ROBERTO qui allait amener le plus de projection offensive sur la bande droite. Mais comme la malchance continuait de rôder sur la tête des catalans, même une décision peu évidente de l’arbitre de la rencontre qui siffla un penalty invisible à l’œil nu sur LUIS SUAREZ n’allait pas changer la donne.. Et on vit alors LIO MESSI rater l’exécution de manière plus qu’étrange, ne prenant même pas la peine de lever la tête pour jauger un GORKA IRAIZOZ très inspiré.. Incroyable, la justice existerait-elle en football.. Peut-être oui, mais ces jours-ci, toujours à notre désintérêt.

En seconde période,  l’étau continuait de se resserrer pour ne laisser place qu’à la lutte physique. Pourtant, onze minutes après la reprise, la délivrance Culé allait enfin venir des pieds du NUEVE URUGAYO. Suite à une passe en profondeur d’EL RUBIO RAKITIC, JORDI ALBA déséquilibra la défense basque par son appel à gauche de la surface avant que LA MOTO ne destine un centre parfait vers LUIS SUAREZ seul face au cadre. D’une reprise plein fouet du gauche, LA SALTA étrilla GORKA IRAIZOZ pour inscrire le premier but du Barça dans cette LIGA 2015-2016.. Gol d’El Barça, Gol d’El Urugayo, Gol d’El pistolero SUAREZ ! (0-1 Min.56).

Après l’ouverture du score, les hommes de LUIS ENRIQUE tentèrent de gérer le match, et ce avec l’objectif d’optimiser leurs efforts en ce début difficile de saison. Gérer les efforts, éviter les blessures.. C’était sans compter sur un AIRIZ ADURIZ, récidiviste, qui allait laisser pour blesser une deuxième pièce maîtresse du onze d’EL LUCHO. Cette fois-ci, c’est SERGIO BUSQUETS qui allait payer les frais de l’engagement de l’avant-centre basque avec une cheville carrément tournée. Tristement historique pourtant : AIRIZ ADURIZ, l’homme qui en 2 semaines planta 4 buts au Barça, et mit 2 de ses joueurs les plus emblématiques en infirmerie.  Avec BARTRA en défense, et MASCHERANO au milieu, le Barça perdit encore de sa brillance. Néanmoins, grâce à un récital parfait de ANDRES INIESTA, ainsi qu’une prestation impressionnante de SERGI ROBERTO sur la bande droite, les BLAUGRANAS auraient pu doubler la marque si la transversale n’avait pas repoussé une frappe surpuissante du même SERGI, avant que GORKA ne se charge d’arrêter une frappe de LIO MESSI qui a littéralement ébloui le SAN MAMES par une de ses actions de dribbling anthologique.

Trois précieux points inaugurent ainsi le compteur du FC BARCELONE en cette première journée de LIGA. Une victoire à l’arrachée certes, mais une victoire qui servira sûrement d’antidote aux blessures laissées par la perte de la SUPERCOPA. Quand tout était contre, quand rien n’allait à notre sens, c’est finalement le n°9 en pointe qui régla l’affaire.. Combien de temps avons-nous attendu ce profil qui vous délivrerait quand tout semble nous tenir en laisse. Car il faut le savoir, la réussite ne nous suivra pas dans tous les matchs, tous les arbitres ne seront pas impartiaux ni neutres comme il se doivent, tous les adversaires ne seront pas FAIR-PLAY ni bon joueurs comme le souhaiterait tout admirateur du football-plaisir. Il y aura des matchs, plusieurs, où il ne s’agira que d’empocher les trois points, la qualification, voire même un titre sans grandes histoires, sans prestations mémorables ni scores larges. Ce fut le cas au SAN MAMES.  Le prochain du genre ne tardera sûrement pas à venir. Alors préparons-nous au pire mais gardons la tête haute, car même sans SUPERCOPA, nous restons TRICAMPIONS et Superchampions d’Europe, et tout le monde voudra notre tête. Heureusement que nous avons nos armes, les mêmes qui nous ont offert le sacre la saison dernière.. Cette fois-ci, ce fut EL PISTOLERO SUAREZ.. A qui le prochain tour ? A vous Messieurs, régalez-nous !

Visca Barça ! Campions Contra Todo !      


mercredi 19 août 2015

CRONICA / FCB VS ATHLETIC BILBAO (1-1) / SUPERCOPA DE ESPANA -VUELTA-


" LA NOCHE DEL SENOR VELASCO "


Trois jours après sa chute libre au SAN MAMES, le FC BARCELONE entreprenait la mission REMONTADA au CAMP NOU pour rattraper son retard de 4 buts face à l’ATHLETIC basque. Conscients de la difficulté de cette tâche, l’ensemble du groupe barcelonais s’apprêtait à sortir un récital parfait pour accomplir l’exploit footballistique qui pourrait amener le REPOKER, ou 5ème titre d’affilée. Joueurs, staff et public étaient donc unis pour y croire.. La capacité du groupe à renverser de telles situations ayant déjà été vérifiée, et confirmée.

Avec BRAVO dans la cage ; DANI ALVES, PIQUE, MASCHERANO et MATHIEU en défense ; BUSQUETS, RAKITIC et ANDRES INIESTA au milieu, et enfin PEDRO -dont ce pourrait être le dernier match en bleu et grenat- , LUIS SUAREZ et LIONEL EL DIEZ MESSI en attaque ; EL MISTER mettait toutes les chances du côté des siens dans l’optique d’une MANITA limpide. Quant à l’adversaire, ERNESTO VALVERDE et les siens savaient que leur victoire n’était toujours pas accomplie, et que 90 minutes au CAMP NOU peuvent valoir un véritable enfer footballistique. Pourtant, ce qui s’affichait comme une partie où tous les rêves étaient permis, allait vite se transformer en une démonstration d’un élément étranger aux deux équipes. Celui supposé se faire le moins remarquer allait saisir les lumières des caméras pour ne plus en séparer, et ce grâce à une capacité déstabilisante à ne voir, ou plutôt à ne siffler, que contre les locaux.

Malgré une première mi-temps démarrée sur les chapeaux de roue, le Barça peinera à concrétiser ses efforts avec, dès la 6ème, une occasion dangereuse signée PEDRO RODRIGUEZ. Le véritable danger procédera cependant de l’action qui suivra lorsque GERARD PIQUE reprit du gauche un centre à ras terre de PEDRO, sur la transversale d’un IRAIZOZ impuissant. La chance continuait donc à tourner son dos aux Blaugranas, ceci dit, ces mêmes Blaugranas continuaient de souffrir d’imprécisions. L’une d’elles, œuvre de PEDRO, aurait pu d’ailleurs donner lieu à la première réalisation de la partie, au profit des basques, si ERRASO n’avait pas péché devant le cadre. La délivrance catalane surviendra pourtant à deux minutes de la fin du premier acte. Grâce à une percée offensive du JEFFECITTO MASCHERANO balle au pied, l’argentin porta le jeu à droite de la surface adverse, là où RAKITIC se chargea de déposer le ballon face aux filets. D’une passe ingénieuse de la poitrine, EL URUGAYO servit LIO MESSI et LA PULGA se chargea d’amortir le ballon de la poitrine pour battre IRAIZOZ du gauche.. Gol d’El Barça, Gol de LIO MESSI (1-0 Min.43). Enfin ! Après 90+43 minutes de jeu, le Barça perce enfin le mur basque. Vu le moment opportun de cette réalisation, les rêves de REMONTADA sont relancés !

Après la pause, LOS AZULGRANAS, réussissant désormais à semer le doute dans les esprits de leurs adversaires, se jetèrent dans l’offensive acharnée. .Hélas, tout allait prendre fin à la 55ème minute. Sur une situation d’hors-jeu flagrant, mais bizarrement non sifflé par le corps arbitral, AIRIZ ADURIZ se retrouve en Mano à Mano mais son tir est repoussé par CLAUDIO BRAVO. GERARD PIQUE prend alors la malheureuse initiative de protester sèchement auprès de l’arbitre de touche, et c’est là que la Star de cette partie, EL SENOR VELASCO CARVBALLO, entra en scène en expulsant directement le central catalan. Personne ne comprit ce qui venait de se passer, pourtant, le Barça perdait à ce moment précis tous ses espoirs de titre, et donc tous ces espoirs de REPOKER ainsi que de SEISTETE. Voilà, nous venions d’être servis.

Peu importe ce qui suivra.. Les hommes de LUIS ENRIQUE continuaient à lutter, pourtant, il avait été démontré que le match en lui-même n’était que formalité, l’enjeu de la partie ayant été écarté par l’arbitre roi incontournable du rectangle. Ainsi, PEDRO et RAKITIC manquaient de manière incroyable deux occasions nettes face au gardien, et ce dans deux scènes qui démontraient clairement l’état d’esprit des joueurs restés sur le terrain. En dépit des remaniements effectués par EL MISTER qui transforma son 10 en un 3-4-1-1 avec la sortie des mêmes PEDRO -malheureux pour ce qui pourrait être sa dernière apparition au CAMP NOU- , et RAKITIC, laissant tous deux leurs places à MUNIR et SANDRO sur les deux bandes, le coup du KO avait déjà été porté à l’ogre BLAUGRANA et il ne fallait plus que constater les dégâts. Parmi ces dégâts, un but d’égalisation signé AIRIZ ADURIZ à  un quart d’heure de la fin, synonyme de sacre pour le peuple basque (1-1Min.75). Et même sur l’action de ce but, l’arbitre ne siffle pas une faute flagrante, la énième, sur LUIS SUAREZ au début de l’action.. Trop, c’est trop.. Rien n’allait changer le sort d’une partie jouée, ou plutôt déjouée dans les zones d’ombre du football espagnol. Pertinence même est de se poser la question : Y avait-il même PARTIDO ce soir-là au CAMP NOU ? La réponse est presque donnée par l’arbitre lui-même qui, confirmant sa mauvaise foi prononcée, s’acharne sur le nouvel entrant KIKE SOLA côté ATHLETIC, un joueur expulsé pour sa première faute comme pour équilibrer la donne, faire monter la sauce, marquer le coup ou l’effacer.. Du jamais vu.  

Ainsi s’envola le rêve du REPOKER, celui du SEISTETE, et par la même occasion, celui de répéter l’exploit réalisé par les TRICAMPIONS pendant l’ère GUARDIOLA. Pourtant, les raisons qui ont fait que ce trophée revienne à l’ATHLETIC qui mérite, ne serait-ce que pour sa fidélité à la région basque et pour leur fougue éternelle, toutes les joies du monde, ne peuvent être trouvées sur les vidéos d’analyse du match retour, peut-être plus sur celles du match aller. Car sur les deux bandes, il vaudra mieux juger la prestation de Messieurs GONZALEZ GONZALEZ et VELASCO CARBALLO, respectivement. Mais peu importe, car ce n’est pas un trophée de moins qui fera des TRICAMPIONS 2015 une moins bonne équipe. Sur le rapport du match, le deuxième des deux héros improvisés mais précités, s’abstiendra à dire que PIQUE méritait l’expulsion pour avoir prononcé « ME CAGO EN LA P**A DE TU MADRE » à son assistant, tant bien même que cet héros en jaune avait déjà le rouge dans ses mains avant que notre PIQUENBAUER n’ait prononcé ce qui semblait être ces mots.. Mais peu importe, car ce n’est pas un arbitre qui fera de PIQUE un moins bon  joueur, ni même un moins CULE qu’il ne l’est. Sur les journaux, notamment ceux de la capitale, les titres pleuveront soulignant les « graves déréglages du Barça version 2015-2016 » ou encore « La possibilité de battre le Barça » comme il a été démontré au SAN MAMES. Mais peu importe non plus, car ce ne sont pas les Unes des journaux et médias, ni même les résultats concédés par le FC BARCELONE qui feront de nous des spectateurs infidèles…Tout ce qui compte, tout ce qui importe, c’est que les tenues des 13 joueurs ayant participé à cette rencontre étaient bien mouillées, même celle de GERARD PIQUE qui continue de nier avoir prononcé les mots cités par l’arbitre. Tout ce qui compte, tout ce qui importe, c’est que nos joueurs sont restés fidèles à notre identité de jeu, et que les CULES restent fidèles aussi à nos causes d’attachement à cette spectaculaire entité qu’est le MES QUE UN CLUB. Oui, c’est tout ce qui compte. Sans SEISTETE, sans REPOKER, nous restons et resterons toujours Culés, et pour nous, le Barça reste et restera la meilleure équipe de la planète. Même si cela ne plaît pas à certains acteur du football espagnol, dont Monsieur VELASCO CARBALLO, nous nous contenteront de leur adresser individuellement ces doux mots  : « ME CAGO EN… VELASCO CARBALLO ! »

Sempre Barça : SER CULE ES EL MILLOR QUE HI YA !   
     
     

lundi 17 août 2015

CRONICA / ATHLETIC BILBAO vs FCB (4-0) / SUPERCOPA DE ESPANA -IDA-

« Soirée historique.. Uniquement pour l’ATHLETIC. »


Sur la pelouse du terrifiant NUEVO SAN MAMES, le FC BARCELONE entreprenait un déplacement périlleux à la cathédrale du football espagnol à l’occasion de la SUPERCOPA DE ESPANA pour y affronter l’ATHLETIC BILBAO local. Le Barça, primé deux jours seulement auparavant Superchampion d’Europe après 120 minutes d’hystérie footballistique, se devait de limiter la casse en prévision du match retour au CAMP NOU. Pour cause, les BLAUGRANAS ne se sont entraînés qu’une seule et unique fois avant cette exigeante confrontation, avec en prime, un déplacement vers le pays basque le jour même du match. Si nous ajoutons à cela les absences pour blessure de NEYMAR Jr et JORDI ALBA, ainsi que les rotations pressenties, les pronostics du match se tournaient au désavantage de l’entité AZULGRANA, et au profit des hommes d’ERNESTO VALVERDE qui eux, étaient frais et tout à fait prêts pour la lutte physique.

En raison des circonstances énoncées, EL MISTER choisissait de faire tourner son effectif afin de gérer la fatigue du voyage. Ainsi, 4 éléments ayant disputé la totalité des 120 minutes à TBILISSI étaient  reconduits en titulaires sur la pelouse du SAN MAMES. Il s’agit de TER STEGEN dans les filets, d’EL GATO ALVES sur le côté droit, ainsi que du tandem LIO MESSI et LUIS SUAREZ en attaque. A leurs côtés, la charnière centrale était composée de MARC BARTRA et de VERMAELEN ; ADRIANO reprenait le poste d’arrière gauche au regard de l’absence de JEREMY MATHIEU -resté à Barcelone- ; tandis que MASCHERANO était avancé au poste de milieu défensif derrière le duo SERGII ROBERTO-RAFINHA ; et enfin, le bien aimé PEDRO accompagnait LA PULGA et EL URUGAYO aux avant-postes. En face, ERNESTO VALVERDE alignait un onze chargé à bloc comme d’habitude, et malgré de nombreuses absences, pouvait compter sur l’expérience du capitaine et gardien IRAIZOZ, la puissance de LAPORTE et SAN JOSE en défense, ainsi que le talent d’un certain AIRIZ ADURIZ à la pointe de l’attaque.

Devant quelques 40 000 Afficionados, le Barça tenta de contrôler la possession afin de dicter le ton des débats, sans trop s’emporter dans la confrontation pure et rude qui pourrait servir les intérêts des locaux. Une stratégie qui fonctionna assez-bien, mais uniquement jusqu’à la 13ème minute quand une sortie inutile de TER-STEGEN, qui dégage le ballon de la tête vers la ligne médiane, permet à SAN JOSE de reprendre la balle d’une frappe lointaine, extrêmement bien dosée, pour inscrire l’un des buts les plus anthologiques de la saison (1-0 Min.13). Euphorie à la cathédrale, réalisation spectaculaire qui restera sans doute dans l’histoire. Après ce coup de massue, les hommes de LUIS ENRIQUE tenteront de reprendre leurs esprits, hélas sans parvenir à se créer d’occasions. Seule opportunité de ce premier acte, un coup-franc à la 45ème minute botté par EL DIEZ MESSI, mais un IRAIZOZ très inspiré vole à la parade. Aux vestiaires du SAN MAMES, un speech sec s’imposait pour LUIS ENRIQUE, ce dernier voyant les siens se noyer pour excès d’imprécisions et manque de volonté, face à un ATHLETIC des grands soirs.   

Après la pause, le onze BLAUGRANA se ressaisira en se créant deux occasions qui auraient pu changer radicalement la donne du match. Surtout la première où PEDRO, servi par LUIS SUAREZ dans l’axe, reprend le ballon à l’entrée de la surface mais voit son effort rebondir miraculeusement sur la transversale. Signe que les dieux du football tournaient le dos aux catalans en cette soirée ; puis confirmation avec une seconde action où LIO MESSI, toujours servi par le virevoltant LUIS SUAREZ, place un intérieur du pied gauche qui est renvoyé par un plongeant décisif de IRAIZOZ. Voulant remédier aux imprécisions qui profitaient aux locaux, EL LUCHO fit appel à Andres INIESTA pour remplacer un RAFINHA peu convaincant. C’est alors que le deuxième coup de massue frappa. Suite à un ballon perdu par SERGI ROBERTO, DANI ALVES manque de CHISPA face à SABIN, ce dernier parvient à centrer vers ADURIZ qui bat TER STEGEN de la tête (2-0 Min.53). Et le SAN MAMES devint Enfer !

Jamais deux sans trois.. Le naufrage catalan perdurera devant les lions basques, gâtés par la réussite. Une troisième succession d’erreurs défensives commises par ADRIANO, VERMAELEN puis ALVES respectivement, permit à ADURIZ d’inscrire son doublé d’une reprise du droit (3-0 Min.60). Trois buts d’écart, un SAN MAMES en feu, et l’arbitre Monsieur GONZALEZ GONZALVES qui avait mené la partie de manière négativement permissive, décida d’y ajouter du sien en sifflant un pénalty dont on aurait pu se passer, suite à une bousculade inutile de DANI ALVES. AIRIZ ADURIZ à la transformation, droit croisé en plein filets, quatre buts désormais au MARCADOR, et un numéro 9 basque qui rejoint la liste des privilégiés de l’histoire ayant pu inscrire le triplé face au MES QUE..(4-0Min.67). Et le souvenir de la GOLEADA qui nous a été infligée il y a deux ans par un certain BAYERN MUNCHEN à l’ALLIANZ ARENA resurgit de nulle part..    

En dépit de l’entrée de RAKITIC, ou encore celle de SANDRO en attaque, les catalans ne parvinrent pas à redresser la tête. Exactement comme lors des 30 minutes de TBILISSI ou le Barça avait touché le fond en encaissant trois buts qui ont chamboulé le destin de cette partie, et peut-être même celui de tout ce début de saison, les hommes de LUIS ENRIQUE ont refait de même face un ATHLETIC intrépide qui ne leur a pas pardonné leurs erreurs et imprécisions. L’addition a été salée, payée cash par des BLAUGRANAS qui semblent déjà essoufflés à cause d’un calendrier ou ni le repos physique, ni celui du mental ne trouvent place. Mais que voulez-vous ? Ainsi va le parcours des héros. Difficultés et inconvénients s’enchaînent pour rendre l’exploit difficile, voire inimaginable.. Pourtant, l’exploit est toujours possible. Quatre-vingt-dix minutes sont à venir au CAMP NOU, la REMONTADA exigera des TRICAMPIONS un récital parfait où seule leur meilleure facette devra être montrée s’ils veulent maintenir leur rêves de SEISTETE. Rares sont ceux qui y croient, rares sont ceux qui osent même en rêver.. Nous choisissons de croire, choisissons  de rêver, car s’il y a bien une équipe dans le monde qui peut renverser cette situation périlleuse, c’est bel et bien la nôtre ! Som-Hi Barça. Som i Serem : Barça !


Força Culés !        


jeudi 13 août 2015

CRONICA / FCB vs FC SEVILLA (5-4) / SUPERCOPA DE EUROPA 2015

" PEDRO-POKER "


Sur la pelouse du BORIS PAICHADZE STADIUM, plus connu sous le nom de DINAMO ARENA à TBILISI, la SUPERCOPA DE EUROPA prenait place entre le FC BARCELONE, vainqueur de l’UEFA CHAMPIONS LEAGUE, et le FC SEVILLA, vainqueur de l’UEFA EUROPA LEAGUE. Deux protagonistes issus de la LIGA BBVA, catalans et andalous s’affrontaient pour confirmer la suprématie du football espagnol sur le vieux continent. Le Barça, héros du TRIPLETTE historique, continuait dans son apogée vers le nirvana footballistique et dans son viseur cette fois-ci : Un quatrième trophée sur la route vers EL SEISTETE. En face, les sévillans se remémoraient leur victoire inoubliable face à ces mêmes BLAUGRANAS, 2006, trois buts nets et une Supercoupe Européenne qui laissa un goût amer dans les gorges Culés.. Et un parfum de vengeance venait s’installer dans le ciel géorgien côté Barça, un autre d’ambition et de rêve côté sévillan.

Sans NEYMAR ni JORDI ALBA, LUIS ENRIQUE MARTINEZ bouscula toutes les attentes en écartant PEDRO, pressenti sur la bande gauche, pour finalement composer son onze titulaire de : TER STEGEN dans les filets ; DANI ALVES, PIQUE, MASCHERANO, MATHIEU en défense ; devant eux se plaçaient SERGIO BUSQUETS, RAKITIC et le capitaine ANDRES INIESTA ; alors qu’aux avant-postes, c’est finalement RAFINHA qui accompagnait le tandem inséparable, létal, LUIS SUAREZ et LIONEL ANDRES MESSI. Côté sévillan, UNAY EMERY alignait une équipe vivace comptant sur la fougue et l’agressivité des KRIKOVIYAK et RAMI en défense, ainsi que celles de KRHON-DELHI ou encore la technicité d’EVER BANEGA au milieu, sans oublier la vitesse de VITOLO, du capitaine REYES, et de KEVIN GAMEIRO en attaque. Tous les ingrédients étaient donc réunis pour offrir à la planète un spectacle de football offensif ; pourtant,  rares sont ceux qui pouvaient prédire le festival anthologique qui allait suivre…

Dès la troisième minute, l’univers Culé est chamboulé lorsque, suite à un coup-franc tout à fait imaginaire, l’ancien XENEIZE de la BOCA, EVER BANEGA plaça le cuir avec grand tact dans les filets d’un TER STEGEN relégué au rôle de spectateur (0-1 Min.4). Et toute l’Andalousie attrapa la joie ! Ceci-dit, la situation ne tardera pas à changer. Trois minutes seulement plus tard, et à la suite d’un coup-franc à peu près similaire, mais cette fois-ci bien justifié, LA PULGA MESSI dépose le ballon à gauche de BETO dans une réponse du tac au tac entre les deux argentins.. Gol de MESSI, Gol d’El Barça ! (1-1 Min. ) ! Retour à la case départ, oui, mais une case de gains en plus pour les BLAUGRANAS qui doublent la marque, toujours par le biais du  DIEZ phénoménal. Toujours sur coup-franc, cette fois plus éloigné, LIO MESSI subjugua l’adversaire andalous par un autre bijou de gauche, et un BETO qui ne sut plus à quel saint se vouer ! Gol de MESSI, Gol de MESSI, Gol de MESSI ! (2-1 Min.15). « QUE GRANDE LIONEL ! »

Une fois la cadence renversée, les hommes de LUIS ENRIQUE prirent le match sous leurs ailes..Une domination à couper le souffle, beaucoup de GRINTA notamment et un contrôle total des faits de match. Malgré quelque résistance sévillane, les BLAUGRANAS parviendront à inscrire un troisième but valide et validé, et ce après une réalisation de LUIS SUAREZ annulée pour hors- jeu.. Sur une action de contre,  c’est  le même LUIS SUAREZ qui se retrouva en MANO A MANO mais l’URUGAYO ne parvint pas à battre BETO.. Pourtant, LA SALTA garda possession du cuir et, après avoir temporisé, servit RAFINHA entre les jambes du défenseur en face pour que ALCANTARA, deuxième de son nom, finisse le mouvement du gauche dans les filets ! A terre Séville !  « Goool d’El Conjunto Blaugrana ! Gol de RAFINHA !  Som-hi Barça (3-1 Min.44 ) ! » Rien de mieux pour clore une première mi-temps de feu !

Après le Break, les catalans rejoignaient la pelouse du DINAMO ARENA avec le sentiment de l’achevé. Un sentiment qui va d’autant plus se renforcer quand le nom de LUIS SUAREZ retentit dans l’enceinte géorgienne par la voix du Speaker local. Pour cause, une quatrième réalisation barcelonaise, cette fois par le biais de l’URUGAYO qui, servi par l’ENCYCLOPEDIA BUSQUETS suite à une récupération aux trente mètres, n’eut aucun mal à battre BETO du droit (4-1 Min. ) ! Cette fois c’est fait, match plié, Supercoupe européenne à destination catalane !

Définitivement ? Plutôt non, car en football plus que n’importe où, il ne faut jamais vendre la peau de l’ours (andalous), avant de l’avoir achevé. Et c’est justement l’erreur de suffisance que vont commettre les BLAUGRANAS. D’abord, ce sera REYES qui réduira la marque à la 60ème minute, suite à une erreur monumentale de marquage signée JEREMY MATHIEU.. Deux minutes plus tard et ce fut le véritable tournant de match, notamment avec la blessure de ANDRES INIESTA, victime des multiples tacles en retard des hommes de EMERY, puis échangé par un SERGI ROBERTO tout à fait déconcertant. C’est alors que le Barça perdit tous ses moyens, et on assista à la pire face AZULGRANA, celle qui manque de CHISPA, de motivation, de volonté, pour ne laisser montrer qu’une arrogance démesurée et une suffisance injustifiée. Résultat : Troisième but sévillan à un quart d’heure de la fin, cette fois sur pénalty, signé « SUPER » KEVIN GAMEIRO, du droit (4-3 Min.75).
Et toutes les analyses tombèrent à l’eau, mais bientôt, c’était tout le Barça qui allait non seulement suivre, mais allait se noyer même dans les eaux troubles de la Géorgie.. Notamment lorsqu’EL MISTER, voulant sûrement bien faire, décida de changer la configuration des siens en insérant MARC BARTRA à la place de RAFINHA, pour le placer en charnière centrale et obliger EL JEFFECITO MASCHERANO à monter d’un cran aux côtés de SERGIO BUSQUETS.. Là, on perdit le contrôle, tout contrôle même quand les andalous parvinrent à réaliser l’impensable. Un retour qui sera marqué à jamais dans les annales du football européen, celui de récupérer un retard de trois buts et face à qui ? Face à des BLAUGRANAS qui -joueurs, staff et public-  ne pouvaient ni ne voulaient croire ce à quoi ils étaient en train d’assister : La décadence, tout à fait achevée quand KONOPLYANCA inscrit le quatrième but andalous avec un BARTRA facilement dépassé à gauche, et un DANI ALVES aux abonnés inactifs à droite. « Gol del Sevilla ! Empate del Sevilla.. Que Increible es esto ! » Egalisation inespérée des descendants d’Andalousie, transformée réalité par la nonchalance catalane (4-4 Min84) !

Voyant l’incroyable naufrage survenu, EL LUCHO décida finalement de tourner dos à ses convictions.. PEDRO, visiblement écarté de la formation titulaire pour son départ imminent au MANCHESTER, fut finalement employé à contrecœur par le technicien asturien quand EL CANARI fit son entrée à la place de MASCHERANO. Tout rentra alors dans l’ordre. Abandonner le 4-2-3-1 pour reprendre ce 4-3-3 pour lequel nous serions prêt à mourir, rien de plus fidèle au BARCELONISMO le plus pur. Après une première période de prolongation où le Barça n’arrivait toujours pas à percer la vigilance des hommes de EMERY, la seconde période de prolongation allait apporter une nouvelle, une nouvelle historique. 118 minutes au MARCADOR du BORIS PAICHADZE STADIUM, plus que deux minutes restantes, et voilà que PEDRO sortit de nulle part, ou plutôt du banc des remplaçants, pour offrir au peuple Culé une autre raison de ne jamais l’oublier. Sur un coup-franc tiré par LIO MESSI, le mur sévillan usa des mains pour renvoyer la frappe de l’argentin, mais LA PULGA trouva les ressources physiques nécessaires pour reprendre le ballon du gauche et obliger BETO à sortir une parade miraculeuse. Mais le miraculeux, c’est bel et bien PEDRO qui suivit l’action pour catapulter le cuir du gauche dans les filets adverses : Gol de Pedro ! Gol de Pedro ! Gol de Pedro ! Gol d’El Canari ! Gol del Barça (5-4 Min.118) ! Historique ! Explosion de l’originaire de TENERIFE qui vit ses moments les plus difficiles au Can Barça, mais comme lors du premier SEISTETE 5 ans plus tôt contre SHAKTAR, c’est ce même PEDRO qui offre l’histoire à LA GENTE D’EL BARCA !   

En dépit de quelques occasions andalouses à la fin des 120 minutes qu’a compté cette partie, le destin appuya le Barça dans son ambition vers la gloire. Les Blaugranas remportèrent ainsi leur cinquième SUPERCOPA DE EUROPA de l’histoire à l’issue d’un match anthologique face à des sévillans qui n’ont surement pas démérité. Historique ! Ce sacre le restera à jamais.. Non seulement parce que le Barça vient d’achever « EL POKER » synonyme de quadruplé.. Non seulement parce qu’en face, l’adversaire a été suffisamment courageux et coriace pour rattraper un retard de trois buts et rouvrir les pages d’un livre de match qui était, jusqu’à sa dernière demi-heure, totalement plié.. Non seulement parce que LUIS ENRIQUE vient de remporter ce prestigieux trophée qu’il avait embrassé de ses propres mains, alors en tant que joueur AZULGRANA.. Non plus seulement parce que cette équipe reste à l’affut du spectaculaire exploit du SEISTETE, une deuxième fois après l’avoir accompli pendant l’ère de PEP GUARDIOLA. Mais surtout, surtout, parce que jusqu’à la 118ème minute, PEDRO RODRIGUEZ LEDESMA était un mal aimant, malaimé, et qu’avec son gauche, il offrit le sacre à tout un peuple qui comprend toute la frustration de son idole, mais qui voudrait crier en toute voix, avec une forte passion, beaucoup de gratitude, voire même un semblant d’égoïsme : « NO TE VAYAS PEDRO, NO TE VAYAS CANARI ! » Car si LUIS ENRIQUE ne peut te garantir la titularisation systématique en tous matchs, nous, peuple Culé, pouvons te garantir que notre dévouement sera inconditionnel à tout jamais. Et le peuple Culé n’oublie jamais ! Mais si les Livres anglaises t’attirent, que les couleurs des RED DEVILS te conviennent, sache que tu seras un idôle à jamais !  

Força Barça ! CAMPION DE LA SUPERCOPA DE EUROPA 2015 !

"EL POKER" YA ESTA AQUI ! A POR EL "RE-POKER" !

Y Vamos Culés !


mardi 11 août 2015

VIDEO / ENTRAINEMENT FCB + CONFERENCE DE PRESSE LUIS ENRIQUE, ANDRES INIESTA, DANI ALVES



        Pour le Quadruplé.
   Pour l'Histoire. 
Pour le Barça.

 Força Culés !  

VIDEO / ARRIVEE DES BLAUGRANAS A TBILISI




L'ensemble du groupe barcelonais est arrivé Lundi à TBILISI en Géorgie, là où le MES QUE UN CLUB affrontera les andalous du FC SEVILLE sur la pelouse du DINAMO ARENA. Malgré leurs blessures respectives, DOUGLAS et ADRIANO sont du voyages aux côtés de ARDA TURAN et ALEIX VIDAL, HALILOVIC du Barça B, ainsi que le corps administratif catalan qui a tenu à être au complet pour ce rendez-vous avec l'histoire.

Força Barça !   

NOUVELLES / NEYMAR KO POUR 15 JOURS



Après JORDI "LA MOTO" ALBA, NEYMAR JUNIOR DA SILVA s'ajoute à la liste des absents pour la SUPERCOPA DE EUROPA que disputera le FC BARCELONE à TBILISSI face au FC SEVILLE. L'indisponibilité du "MOHICO" a été en effet confirmée par le site officiel du MES QUE UN CLUB, et pour cause : une infection des glandes salivaires. Aucune crainte musculaire donc, mais une absence de 15 jours qui privera les Culés d'un de leurs plaisirs favoris, celui d'admirer la technicité du CRACK brésilien sur la bande gauche catalane. 

Par conséquent, PEDRO RODRIGUEZ LEDESMA, pressenti depuis quelque temps au MANCHESTER UNITED, devrait sauf surprise prendre la relève aux côtés de LIO MESSI et LUISITTO SUAREZ en vue de démanteler l'organisation des hommes d'UNAY EMERE, et ce lors d'une partie qui s'annonce compliquée..

Mais que voulez-vous, ainsi sont les rêves, leur réalisation, celle des exploits historiques ; tous s'annoncent toujours compliqués. Restera dans l'histoire celui -ou ceux- qui affrontera et surmontera ces complications.    

Força Barça ! 

vendredi 7 août 2015

CRONICA / FCB vs AS ROMA (3-0) / TROFEU JOAN GAMPER 2015-2016


« TRICAMPIONS : Le Retour.. »

Comme chaque année, la capitale de la Catalogne revêtit ses plus belles couleurs, en l’occurrence celles du FC BARCELONE, pour fêter l’événement du GAMPER et avec lui le retour de l’activité footballistique au CAMP NOU, 59 jours exactement après les célébration du TRIPLETTE.  « LA FESTA DEL GAMPER », fête culturelle catalane nommée d’après le fondateur du MES QUE UN CLUB et qui atteignait cette saison sa 50ème édition, laissant dans les mémoires CULES un nombre incomptable de souvenirs plaisants. Depuis l’époque où le TROFEU JOAN GAMPER se disputait entre quatre équipes, deux matchs et donc deux jours de fête, ce prix de simple prestige a vu plusieurs grandes équipes dérouler devant LA GRADA du  CAMP NOU telle le MILAN AC, LA BOCA, SANTOS, ou encore plus récemment l’INTERNAZIONALE ou la JUVENTUS. Cette année, ce n’est autre que l’AS ROMA, deuxième du CALCIO,  qui obtenait l’honneur de se mesurer à l’actuelle meilleure équipe du monde.

Plus que la démonstration sur le terrain, EL DIA DEL GAMPER est aussi, et surtout, toutes les activités organisées dans la cité catalane en ce jour de pur BARCELONISMO. Après le Congrès Mondial des PENYAS, la présentation aux SOCIS des quatre nouvelles recrues que sont ARDA, ALEIX VIDAL ainsi que les promus MUNIR et SANDRO, LA CENA ou repas convivial entre SOCIS et PENYISTAS ; le CAMP NOU accueillit en avant-match, la présentation de l’équipe première avec les classiques discours du premier capitaine et de l’entraîneur que sont EL MANCHEGO INIESTA et EL LUCHO ENRIQUE, respectivement.

Ainsi vint l’heure du football : Barça - AS ROMA, ou la dernière rencontre de préparation pour les hommes de LUIS ENRIQUE qui, malgré les résultats mitigés enregistrés lors de l’INTERNATIONAL CHAMPIONS CUP, avaient démontré de beaux indices, tant sur le plan physique que tactique, chose qui laissait prédire une large marge de progression possible, et ce à six jours de l’imminente SUPERCOPA DE EUROPA face au FC SEVILLE. Avec le retour du clan des LIBERTADORES que sont DANI ALVES, MASCHERANO –fraîchement désigné quatrième capitaine par le vestiaire BLAUGRANA-, NEYMAR Jr ou encore LIONEL ANDRES MESSI, EL MISTER pouvait désormais compter sur la magie de LA TRIPLETTA qui avait contribué grandement aux exploits historiques de la saison dernière. Cependant, ni ADRIANO, ni DOUGLAS ne pouvaient participer à la fête sur le rectangle vert au regard de leurs blessures, de même que ARDA et VIDAL qu’on ne verra qu’en JANVIER, sanctions FIFA obligent.

Face à l’équipe où il avait gagné ses galons d’entraîneur après le Barça Athletic, EL MISTER alignait en ce jour de GAMPER : TER STEGEN dans la cage ; DANI ALVES -Numéro 6 désormais au dos en hommage à LA MACHINA XAVI- , BARTA, VERMAELEN et MATHIEU en défense ; MASCHERANO, RAKITIC et RAFINHA au milieu ; et enfin LA TRIPLETTA rassemblée pour la première fois de cette PRE-TEMPORADA avec NEYMAR, SUAREZ et LIO MESSI. En face, le « plus beau football » en Italie, mené par Monsieur RUDI GARCIA, pouvait compter sur l’immense gardien SZCHEZNY, YANGA-MBEWA en défense, notre cher SEYDOU KEITA -4 ans en BLAUGRANA- au milieu, aux côtés du talentueux PJANIC et du guerrier NAYGOLAN, ainsi que sur la vitesse de GERVINHO, du MASIANO IAGO FALQUE, et enfin de la vivacité de DESTRO à la pointe de l’attaque ROMANISTA. Le Roi FRANCESCO TOTTI, 20 ans et plus de loyaux services restait conservé sur le banc, et toute la splendeur du symbole aussi, sûrement pour une apparition en seconde mi-temps.

EL GAMPER démarre avec une domination catalane non-équivoque : de longues possessions des hommes en bleu et grenat, suivies de récupérations rapides et instantanées dès la perte du ballon. D’ailleurs, les occasions ne tarderont pas à se succéder, notamment par l’intermédiaire de RAFINHA, RAKITIC, puis NEYMAR, et enfin de LIO MESSI qui tenta sa première frappe cadrée de la saison, bloquée par le gardien  SZCHEZNY .

La préparation défensive de la louve tiendra, mais uniquement jusqu’à la 25ème minute où LIO MESSI, comme à son habitude, parvint à décoder la ligne italienne en lançant MATHIEU à gauche de la surface. D’une touche, JEREMY servit NEY qui se fit un plaisir de mettre à terre le gardien ROMANISTA pour inscrire, le plus calmement du monde, la première réalisation du GAMPER, la première du Barça en cette saison sur la pelouse du CAMP NOU. Suit alors une série d’occasions BLAUGRANA, notamment par l’intermédiaire de RAFINHA qui, malgré sa grande motivation, ne semblait pas avoir la bénédiction des filets pour la soirée. Mais à 5 minutes de fin de cette première mi-temps, le meilleur joueur de la planète décida de doubler la mise des siens. Suite à une action individuelle de LA SALTA SUAREZ à droite de la surface, NEY prépara le ballon pour LIO MESSI qui inscrit le second but de la soirée, son premier de la PRE-TEMPORADA, d’une frappe sèche du gauche.

En seconde mi-temps, et avec l’entrée en jeu de la seconde moitié de l’effectif, le Barça allait ajouter une troisième pioche au tableau, grâce à une superbe frappe des 30 mètres de IVAN « EL RUBIO » RAKITIC qui fête son 2EmE GAMPER par un GOLAZO authentique qui lui vaudra l’ESTRELLA de l’homme du match. Mais si ce deuxième acte a été marqué par ce chef d’œuvre de RAKI, puis par les cris des gradins répétant avec émotion le nom de PEDRO dans une ovation méritée pour EL CANARI, il a également, et malheureusement, été marqué et noirci par la blessure d’un certain JORDI ALBA sur une action anodine. Bilan : 15 jours d’absence suite à une blessure musculaire au genou droit, LA MOTO perdra ainsi LA SUPERCOPA DE EUROPA, mais aussi le match aller de celle d’Espagne dans une nouvelle qui a laissé un frayant gout d’amertume dans les gorges CULES.

C’est donc sur le score net de 3-0 que le Barça remporta ce 50ème GAMPER pour ainsi rendre un vibrant hommage au fondateur. Visiblement, les TRICAMPIONS sont de retour, surtout que LA TRIPLETTA l’est aussi avec, en l’occurrence, un état de forme réellement impressionnant.. Tout paraît donc à point pour le déplacement vers TBILISSI, là où les hommes de LUIS ENRIQUE auront leur quatrième rendez-vous avec l’histoire, le premier de cette saison, face à des SEVILLANOS qui ne ferons que rendre l’exploit CULE aussi compliqué que possible. Mais si nous sommes TRICAMPIONS, c’est bien parce que tout ce qui paraît impossible à première vue est rapproché par la beauté du talent, mais aussi par le brillant génie que possèdent ces artistes du cuir rond, les mêmes qui nous ont fait accéder au Nirvana 60 jours auparavant.. Sur l’écran de cet imparable ascenseur émotionnel où sont montés tous les CULES du monde s’affichent ces mots, toutes langues traduites : Trois marches sont encore possibles.. Qui sait ?  Peut-être que nous le revivront.. Encore une fois.  


Visca Barça, Visca EL GAMPER !  

lundi 3 août 2015

PRE-TEMPORADA 2015-2016 / FIORENTINA vs FCB (2-1) / INTERNATIONAL CHAMPIONS CUP - J4


De retour sur le vieux continent, le FC BARCELONE poursuivait sa préparation en prévision des dates imminentes à venir. Le quatrième épisode de cette PRE-TEMPORADA prenait place en Italie, et plus précisémment sur la pelouse du plaisant ARTEMIO FRANCHI dans la cité de FIRENZE, là où les BLAUGRANAS allaient affronter LA VIOLA du FIORENTINA, désormais menée par le mémorable portugais PAULO SOUSA. Au bilan des hommes de LUIS ENRIQUE : Seule une victoire enregistrée face aux américains du GALAXY, une défaite face aux diables rouges du MANUTD puis 90 minutes de match nul face aux BLUES londoniens. Il est vrai que peu importent les résultats dans de telles circonstances, la finalité étant autre; ceci dit, rebondir face à LA VIOLA allait avoir plus de répercussions positives que neutres, et ce sans le moindre doute. 

Malgré le retour à l'activité volontairement anticipé de LIO MESSI et JAVIER MASCHERANO, quatre jours avant la date prévue, ainsi que celui du Duo de BRAZUKAS que sont NEYMAR et GARRINCHA ALVES, les quatres footballeurs ne faisaient pas partie du voyage, laissant ainsi au à EL MISTER le choix de composer son onze titulaire de : TER STEGEN, SERGI ROBERTO maintenu en arrière droit aux côtés de PIQUE, VERMAELEN et JORDI ALBA; BUSQUETS, RAKITIC, INIESTA ou la seule ligne véritablement titulaire du système; et enfin PEDRO -un pas et demi au MANCHESTER-, RAFINHA et LUIS SUAREZ en attaque. 

Ce sera pourtant une mauvaise entame de match que connaîtront les catalans, cueillis à froid dès la 4ème minute par un but de la tête signé le talentueux BERNARDESCHI, ce dernier servi par BORJA VALERO après un petit pond invraisemblable sur SERGIO "L'ENCYCLOPEDIE" BUSQUETS. Sept minutes plus tard et ce sera le naufrage bleu et grenat sur l'ARTEMIO FRANCHI : Deuxième but de LA VIOLA par le même BERNARDESCHI, laissé seul par un VERMAELEN inattentif et servi à l'occasion par un autre espagnol, l'éternellement jeune JOACHIM. La réaction d'EL MISTER ne se fera pas attendre lorsqu'il fit passer ses hommes en 3-4-3..Le résultat non-plus : But de LUIS SUAREZ du droit, servi dans les airs par un RAKITIC à l'habilité impressionnante, ACCION DE PLAYA, Gol d'El Barça ! Troisième réalisation de L'URUGAYO en cette Pré-Temporada, la saison s'annonce spectaculaire pour le natif de SALTO.  

Manquant les occasions l'une sur l'autre, les catalans ne parviendront pas à recoller au score, que ce soit en raison de la maladresse étonnante du même SUAREZ sur un MANO A MANO flagrant, ou au contraire, de la superbe adresse du gardien TATARUSANO notamment face à un festival du bien aimé PEDRO. Les minutes s'effritant, le Barça finira vaincu pour cloturer l'INTERNATIONAL CHAMPIONS CUP, remportée par le PSG, sur un maigre bilan..Mais encore, ce qui comptera, c'est que LUIS ENRIQUE aura évalué SERGI ROBERTO sur la bande droite avec un rendement bizarrement suffisant pour cette dernière prestation du MASIANO, notamment pour une qualité de centre fortement dangereuse. Ce qui comptera aussi, c'est que les deux buts de BERNARDESCHI, ainsi que ceux encaissés lors des rencontres précédentes, fera peut être pencher EL MISTER pour un renfort en charnière centrale..Les prochains jours nous en diront plus.  

Ainsi, il ne reste plus que la date emblématique de LA FESTA D'EL GAMPER, expression la plus ample du BARCELONISMO, qui opposera cette année pour son trophée le FCB à l'AS ROMA dans une confrontation de prestige, et ce à quelques jours du rendez-vous imminent de TBILISI, le 11 Août,  pour la SUPERCOPA DE EUROPA.  

Som-Hi Barça !