" LA NOCHE DEL SENOR VELASCO "
Trois jours après sa chute libre
au SAN MAMES, le FC BARCELONE entreprenait la mission REMONTADA au CAMP NOU
pour rattraper son retard de 4 buts face à l’ATHLETIC basque. Conscients de la
difficulté de cette tâche, l’ensemble du groupe barcelonais s’apprêtait à
sortir un récital parfait pour accomplir l’exploit footballistique qui pourrait
amener le REPOKER, ou 5ème titre d’affilée. Joueurs, staff et public
étaient donc unis pour y croire.. La capacité du groupe à renverser de telles
situations ayant déjà été vérifiée, et confirmée.
Avec BRAVO dans la cage ;
DANI ALVES, PIQUE, MASCHERANO et MATHIEU en défense ; BUSQUETS, RAKITIC et
ANDRES INIESTA au milieu, et enfin PEDRO -dont ce pourrait être le dernier
match en bleu et grenat- , LUIS SUAREZ et LIONEL EL DIEZ MESSI en
attaque ; EL MISTER mettait toutes les chances du côté des siens dans
l’optique d’une MANITA limpide. Quant à l’adversaire, ERNESTO VALVERDE et les
siens savaient que leur victoire n’était toujours pas accomplie, et que 90
minutes au CAMP NOU peuvent valoir un véritable enfer footballistique. Pourtant,
ce qui s’affichait comme une partie où tous les rêves étaient permis, allait
vite se transformer en une démonstration d’un élément étranger aux deux
équipes. Celui supposé se faire le moins remarquer allait saisir les lumières
des caméras pour ne plus en séparer, et ce grâce à une capacité déstabilisante
à ne voir, ou plutôt à ne siffler, que contre les locaux.
Malgré une première mi-temps
démarrée sur les chapeaux de roue, le Barça peinera à concrétiser ses efforts
avec, dès la 6ème, une occasion dangereuse signée PEDRO RODRIGUEZ.
Le véritable danger procédera cependant de l’action qui suivra lorsque GERARD
PIQUE reprit du gauche un centre à ras terre de PEDRO, sur la transversale d’un
IRAIZOZ impuissant. La chance continuait donc à tourner son dos aux Blaugranas,
ceci dit, ces mêmes Blaugranas continuaient de souffrir d’imprécisions. L’une
d’elles, œuvre de PEDRO, aurait pu d’ailleurs donner lieu à la première
réalisation de la partie, au profit des basques, si ERRASO n’avait pas péché
devant le cadre. La délivrance catalane surviendra pourtant à deux minutes de
la fin du premier acte. Grâce à une percée offensive du JEFFECITTO MASCHERANO
balle au pied, l’argentin porta le jeu à droite de la surface adverse, là où
RAKITIC se chargea de déposer le ballon face aux filets. D’une passe ingénieuse
de la poitrine, EL URUGAYO servit LIO MESSI et LA PULGA se chargea d’amortir le
ballon de la poitrine pour battre IRAIZOZ du gauche.. Gol d’El Barça, Gol de
LIO MESSI (1-0 Min.43). Enfin ! Après 90+43 minutes de jeu, le Barça perce
enfin le mur basque. Vu le moment opportun de cette réalisation, les rêves de
REMONTADA sont relancés !
Après la pause, LOS AZULGRANAS, réussissant
désormais à semer le doute dans les esprits de leurs adversaires, se jetèrent
dans l’offensive acharnée. .Hélas, tout allait prendre fin à la 55ème
minute. Sur une situation d’hors-jeu flagrant, mais bizarrement non sifflé par
le corps arbitral, AIRIZ ADURIZ se retrouve en Mano à Mano mais son tir est
repoussé par CLAUDIO BRAVO. GERARD PIQUE prend alors la malheureuse initiative
de protester sèchement auprès de l’arbitre de touche, et c’est là que la Star
de cette partie, EL SENOR VELASCO CARVBALLO, entra en scène en expulsant directement
le central catalan. Personne ne comprit ce qui venait de se passer, pourtant,
le Barça perdait à ce moment précis tous ses espoirs de titre, et donc tous ces
espoirs de REPOKER ainsi que de SEISTETE. Voilà, nous venions d’être servis.
Peu importe ce qui suivra.. Les
hommes de LUIS ENRIQUE continuaient à lutter, pourtant, il avait été démontré
que le match en lui-même n’était que formalité, l’enjeu de la partie ayant été
écarté par l’arbitre roi incontournable du rectangle. Ainsi, PEDRO et RAKITIC manquaient
de manière incroyable deux occasions nettes face au gardien, et ce dans deux
scènes qui démontraient clairement l’état d’esprit des joueurs restés sur le
terrain. En dépit des remaniements effectués par EL MISTER qui transforma son
10 en un 3-4-1-1 avec la sortie des mêmes PEDRO -malheureux pour ce qui
pourrait être sa dernière apparition au CAMP NOU- , et RAKITIC, laissant tous
deux leurs places à MUNIR et SANDRO sur les deux bandes, le coup du KO avait
déjà été porté à l’ogre BLAUGRANA et il ne fallait plus que constater les dégâts.
Parmi ces dégâts, un but d’égalisation signé AIRIZ ADURIZ à un quart d’heure de la fin, synonyme de sacre
pour le peuple basque (1-1Min.75). Et même sur l’action de ce but, l’arbitre ne
siffle pas une faute flagrante, la énième, sur LUIS SUAREZ au début de l’action..
Trop, c’est trop.. Rien n’allait changer le sort d’une partie jouée, ou plutôt
déjouée dans les zones d’ombre du football espagnol. Pertinence même est de se
poser la question : Y avait-il même PARTIDO ce soir-là au CAMP NOU ? La
réponse est presque donnée par l’arbitre lui-même qui, confirmant sa mauvaise
foi prononcée, s’acharne sur le nouvel entrant KIKE SOLA côté ATHLETIC, un
joueur expulsé pour sa première faute comme pour équilibrer la donne, faire
monter la sauce, marquer le coup ou l’effacer.. Du jamais vu.
Ainsi s’envola le rêve du
REPOKER, celui du SEISTETE, et par la même occasion, celui de répéter l’exploit
réalisé par les TRICAMPIONS pendant l’ère GUARDIOLA. Pourtant, les raisons qui
ont fait que ce trophée revienne à l’ATHLETIC qui mérite, ne serait-ce que pour
sa fidélité à la région basque et pour leur fougue éternelle, toutes les joies
du monde, ne peuvent être trouvées sur les vidéos d’analyse du match retour,
peut-être plus sur celles du match aller. Car sur les deux bandes, il vaudra
mieux juger la prestation de Messieurs GONZALEZ GONZALEZ et VELASCO CARBALLO,
respectivement. Mais peu importe, car ce n’est pas un trophée de moins qui fera
des TRICAMPIONS 2015 une moins bonne équipe. Sur le rapport du match, le
deuxième des deux héros improvisés mais précités, s’abstiendra à dire que PIQUE
méritait l’expulsion pour avoir prononcé « ME CAGO EN LA P**A DE TU MADRE »
à son assistant, tant bien même que cet héros en jaune avait déjà le rouge dans
ses mains avant que notre PIQUENBAUER n’ait prononcé ce qui semblait être ces
mots.. Mais peu importe, car ce n’est pas un arbitre qui fera de PIQUE un moins
bon joueur, ni même un moins CULE qu’il
ne l’est. Sur les journaux, notamment ceux de la capitale, les titres
pleuveront soulignant les « graves déréglages du Barça version 2015-2016 »
ou encore « La possibilité de battre le Barça » comme il a été
démontré au SAN MAMES. Mais peu importe non plus, car ce ne sont pas les Unes
des journaux et médias, ni même les résultats concédés par le FC BARCELONE qui
feront de nous des spectateurs infidèles…Tout ce qui compte, tout ce qui
importe, c’est que les tenues des 13 joueurs ayant participé à cette rencontre
étaient bien mouillées, même celle de GERARD PIQUE qui continue de nier avoir
prononcé les mots cités par l’arbitre. Tout ce qui compte, tout ce qui importe,
c’est que nos joueurs sont restés fidèles à notre identité de jeu, et que les
CULES restent fidèles aussi à nos causes d’attachement à cette spectaculaire
entité qu’est le MES QUE UN CLUB. Oui, c’est tout ce qui compte. Sans SEISTETE,
sans REPOKER, nous restons et resterons toujours Culés, et pour nous, le Barça
reste et restera la meilleure équipe de la planète. Même si cela ne plaît pas à
certains acteur du football espagnol, dont Monsieur VELASCO CARBALLO, nous nous
contenteront de leur adresser individuellement ces doux mots : « ME CAGO
EN… VELASCO CARBALLO ! »
Sempre Barça : SER CULE ES EL MILLOR QUE HI YA !
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