Exceptionnellement, il n’était pas question de match lorsque
le FC BARCELONE, champion de la LIGA BBVA 2014-2015, recevait le DEPORTIVO LA CORUNA,
à un point de la relégation. Non, il n’était pas question non plus du TIFO proclamant
« CAMPIONS » par tous les gradins du CAMP NOU, ni de la remise du
titre au Barça, encore moins de la salvation rêvée du DEPOR. C’était, plus que
tout, le dernier match en LIGA d’une légende : XAVI HERNANDEZ.
Un lauréat de LA MASIA qui depuis ses 11 ans, porte avec toute l’excellence possible dans le monde football,
les couleurs du FC BARCELONE . Imaginez le meilleur exemple possible du
FUTBOLERO, professionnel, respectueux, spectaculaire, respectable, efficace.. Vous
verrez se dessiner alors la silhouette du N°6 catalan.
Les superlatifs pourront pleuvoir, mais tous ces termes
comparatifs ne peuvent qualifier, à juste valeur, le profil historique du CRACK
de TERRASSA. Un homme qui a été, selon plusieurs analystes du foot, l’une des
causes principales du cycle dominateur du FC BARCELONE ou encore, plus court,
de LA ROJA ESPANOLA. Soyons clairs :
Les entraîneurs ayant coaché ces deux entités spectaculaires pouvaient
imaginer toutes les stratégies possibles de possession, de contrôle ou de
domination, mais s’ils ne disposaient pas d’un talent capable d’appliquer ces
dispositifs, tout cela serait resté lettre-morte.
Parce que décrire l’immensité du personnage est
impossible, il vaudrait mieux s’arrêter au sentiment, grandiose aussi, de tristesse
mais de reconnaissance que les CULES portent à l’égard du départ de XAVI
HERNANDEZ. Celui qui a pleuré lorsque le moment était venu de prononcer son
discours d’au revoir, celui qui a qualifié de privilège la possibilité de
porter les couleurs BLAUGRANAS tout en devenant le joueur ayant disputé le plus
grand nombre de matchs, celui ayant gagné le plus grand nombre de trophées, ne
quittera jamais nos cœurs. Seule sa promesse de revenir un jour au CAN BARCA
peut retenir nos larmes.. Et en réalité, le privilège était le nôtre :
celui d’entendre le nom de XAVI HERNANDEZ dans la formation de départ depuis
autant d’années, celui de l'admirer porter notre brassard de capitaine, ou encore
celui de le voir applaudi par les publics de tous les clubs aussi rivaux
soient-ils.
Le match, lui, s’est soldé sur une parité de 2 buts partout
avec un doublé de LA PULGA MESSI, le DEPOR s’est maintenu ainsi, in-extremis,
dans le rang de LA PRIMERA. LUIS ENRIQUE et ses hommes récoltent ainsi les
fruits de tout leur travail depuis le début de la saison nationale, seules deux
finales les séparent d’autres sacres. Joueurs et staff ont célébrer le titre sur
la pelouse du CAMP NOU en compagnie de leurs épouses et enfants. En famille, le
Barça démontre ainsi toute la cohésion de son groupe alors qu’un de ses pivots s’apprête
à voler vers d’autres cieux..
Ce matin à la CIUTAT ESPORTIVA JOAN GAMPER, le MAESTRO XAVI HERNANDEZ a tenu une conférence de presse afin d'annoncer son départ de l'entité FCB en fin de la saison. Une décision difficile, certes, mais difficile pour le CRACK de TERRASSA qui s'envole du CAN BARCA après 17 ans sous les couleurs BLAUGRANA. Au regard du capitaine légendaire du MES QUE, il est temps de changer l'air barcelonais par celui du QATAR où XAVI intégrera l'équipe d'AL SADD, tout en se consacrant à la formation au sein de l'académie ASPIRE.
Visiblement, la décision était déjà prise depuis quelques mois maintenant, et ce en dépit de la prolongation offerte jusqu'à 2018 par le club au N°6 légendaire. Lauréat de LA MASIA, XAVI HERNANDEZ a déclaré qu'il avait maintenant pour objectif d'évoluer dans un championnat moins compétitif, sans oublier de se consacrer à sa propre formation, en vue de revenir un jour au CAN BARCA, en tant que technicien, coach des catégories inférieures ou encore entraîneur de l'équipe première..Pourquoi pas ?
L'émotion était grande..Les mots ne suffiront pas à décrire toute la dévotion, la générosité et exemplarité présentées par ce symbole du BARCELONISMO tout au long de sa carrière au FC BARCELONE. Adulé par le public CULE, respecté par toutes les différentes AFFICIONES du championnat espagnol, voire du football européen et mondial, XAVI HERNANDEZ restera la personnification des valeurs inculquées au sein de LA MASIA, ainsi que celles portées par le club BLAUGRANA.
Les chiffres de l'ARCHITECTE du BARCA DE LAS SEIS COPAS sont expressifs : 23 titres dont 8 LIGAS et 3 CHAMPIONS LEAGUE, il est le joueur ayant disputé le plus de matchs sous les couleurs catalanes -764- , celui ayant remporté le plus de titres. Des chiffres qu'EL MAESTRO pourrait même améliorer lors des deux finales de COPA face à l'ATHLETIC, puis de UCL face à la JUVENTUS. D'ailleurs, ce samedi face au DEPORTIVO LA CORUNA sera une partie de plus dans l’impressionnant registre de records du MAESTRO, une partie où le Club organisera une cérémonie de DESPEDIDA afin de permettre au Public du CAMP NOU d'applaudir son idole inoubliable..
Ainsi, le CRACK de TERRASSA a choisi de clôturer sa carrière au sein du FC BARCELONE à 35 ans, en laissant l'équipe dans une phase extraordinaire de succès, et un triplé anthologique en vue. Un exploit qui, en cas de réalisation, serait la meilleure expression de reconnaissance en vers notre capitaine mythique..La meilleure des manières non pas pour dire ADIEU à XAVI HERNANDEZ, mais un triste, grand et sincère AU REVOIR !
Dans l’enceinte bouillonnante du
VICENTE CALDERON, le FC BARCELONE disputait une véritable « Finale »
de LA LIGA BBVA lorsqu’il affrontant l’équipe locale de l’ATLETICO MADRID pour
le compte de la 37ème et avant-dernière journée. Dans le collimateur
catalan : Le titre de Champion en cas de victoire face aux COLCHOS NEROS,
et ce indépendamment du résultat obtenu par le poursuivant, à une journée de la
fin du calendrier. Une première « Finale » donc, la première des
trois que le Barça a pu décrocher à l’issue d’un parcours magistral sur les
trois tableaux : LIGA, COPA et CHAMPIONS LEAGUE. Pourtant, rien n’était
encore acquis, seuls les titres ajoutés au PALMARES BLAUGRANA compteraient pour
exploit, le reste ne faisant état que de simples souvenirs.
Justement, un souvenir
jaillissait avec cette possibilité de fêter le titre dans l’antre madrilène,
celui de l’ATLETI fêtant le titre au CAMP NOU la saison précédente. Le titre de
l’ATLETI et sa célébration font partie désormais des exploits historiques, la
saison précédente toute entière des BLAUGRANAS, alors dirigés par EL TATA
MARTINO, ne restera que souvenir.. Cela étant,
la différence est grande cette saison puisqu’un triplé anthologique s’est d’ores
et déjà installé dans l’imaginaire Culé. Un TRIPLETE historique dont la
première pierre pourrait être édifiée en cas de victoire au CALDERON.
Conscient de l’immense enjeu de
cette rencontre, LUIS ENRIQUE MARTINEZ faisait voyager vers MADRID l’ensemble
du groupe de l’équipe première, avec MUNIR et SANDRO de l’équipe B pour
compléter le groupe des 23. LUIS SUAREZ n’ayant pas obtenu le feu vert médical,
restait cependant sur les gradins pour laisser à EL HADDADI une place
significative sur le banc du VICENTE CALDERON. Devant l’absence de LA SALTA, EL
MISTER alignait son onze « TALISMAN » avec BRAVO dans les
filets ; ALVES, MASCHERANO, PIQUE et ALBA en défense ; BUSQUETS,
RAKITIC et INIESTA au milieu ; PEDRO, NEYMAR et LIONEL ANDRES MESSI en
attaque. En face, EL CHOLO SIMIONE
pouvait compter sur la fougue de JIMENEZ en défense, la VISTA de KOKE et ARDA
TURAN au milieu ainsi que le talent de GRIEZMAN et du NINO TORRES en attaque.
Telle une véritable finale, la
partie démarre sur les chapeaux de roue. Les locaux sont les premiers à se
faire dangereux lorsque, sur corner, JIMENEZ oblige BRAVO à sortir la première
parade de la partie. Dix minutes après le sifflet initial, les catalans
reprennent le contrôle des débats. Une domination barcelonaise s’installe dès
lors sur le camp de l’ATLETI et ce sera LIO MESSI qui tentera à trois reprises
de battre la vigilance d’un OBLAK, visiblement très inspiré. Le portier
madrilène bloquera une tête de LA PULGA, avant que JUANFRAN ne mette le bras
pour empêcher l’astre argentin d’ouvrir la marque, toujours de la tête.
L’arbitre de la rencontre Monsieur UNDIANO MAENCO n’y verra pourtant que du
feu, refusant de siffler le penalty, puis récidivant lorsque DANI ALVES est
fauché en plein carré pour ne siffler finalement qu’une faute à la limite de la
surface. Une faute que EL DIEZ MESSI exécuta à la perfection, sur la
transversale du cadre madrilène. DANI ALVES sera d’ailleurs à l’origine de
l’ultime occasion barcelonaise de ce premier acte, totalement dominé par les
hommes de LUIS ENRIQUE, quand EL GATO s’essaya au tir des 30 mètres pour voir
OBLAK sortir le ballon au corner grâce à une parade spectaculaire. Malgré une
fougue offensive des grands jours, les BLAUGRANAS rejoignent les vestiaires pour la pause avec un score
nul et vierge. Quarante-cinq minutes restaient alors pour décrocher un but
salvateur, un but pour le titre..
Après le Break, les hommes en
fluorescent rejoignent la pelouse, déterminés à plier la rencontre en leur
faveur. Pourtant, la deuxième mi-temps démarre comme le fit la première avec
deux occasions pour les locaux. La première suite à un corner dévié par GODIN,
puis la deuxième suite à un tir du NINO TORRES depuis l’intérieur de la
surface ; les deux bloquées par un CLAUDIO BRAVO très attentif. A la 65ème
minute, le cadenas installé par EL CHOLO SIMEONE finit par sauter des mains du
DIEZ barcelonais. Suite à un centre provenant de l’aile droite, le ballon ne
trouve pas preneur pour finir sur le flanc gauche catalan où JORDI ALBA le céda
à LIO MESSI, positionné à l’extérieur de la surface madrilène. LA PULGA combina
alors avec PEDRO qui lui remit le cuir d’une simple touche ; c’est alors
que LIO MESSI, dans un mouchoir de poche,
usa de la semelle pour éviter un tacle de JIMENEZ avant de déclencher un
tir croisé du gauche qui ne laissa aucune chance à OBLAK : Gol del
Barça ! Gol del DIEZ MESSI ! Gol de LA LIGA (0-1 Min.65) !
Le public Culé exulte, LIO MESSI
fête sa réalisation avec ses compagnons comme à l’accoutumée, et on voit même
BUSQUETS sautiller exactement comme le faisait le légendaire CARLES PUYOL, même
n°5 au dos, à l’occasion de chaque
titre. Un but qui vaut une LIGA, un but qui ponctue tout le travail accompli par
l’ensemble du groupe barcelonais depuis le début de cette TEMPORADA ! La
LIGA se dirige alors vers le CAN BARCA.
Avec le score à leur avantage,
les BLAUGRANAS tenteront de tuer le match, notamment par le biais de l’incontrôlable
NEYMAR, mais l’astre brésilien manque à deux reprises le coche. La première par
une déviation de l’extérieur suite à un service de ANDRES INIESTA ; puis
la deuxième par pure maladresse sur un service en or de l’homme du match, et de
la saison, LIO MESSI. L’avance restant à un seul et petit but, EL MISTER décida
d’intervenir pour gérer les minutes restantes en faisant entrer JEREMY MATHIEU
à la place de JORDI ALBA, RAFINHA à la place de RAKITIC, mais surtout en
intégrant le MAESTRO XAVI HERNANDEZ, au lieu de ANDRES INIESTA tous deux
ovationnés par le VICENTE CALDERON.. Mais malgré quelques mouvements offensifs
de résistance de la part de l’ATLETI, notamment en fin de match, le score reste
inchangé. L’ogre madrilène était bel et bien à terre, les BLAUGRANAS ayant
dominé de manière spectaculaire en long et en large les 90 minutes de cette
partie.
Au sifflet final, titulaires,
remplaçants, réservistes, staff technique et médical envahissent la pelouse du
VICENTE CALDERON. La joie, elle aussi, envahit tout un public Culé fier de
l’accomplissement de ses idoles. Le FC BARCELONE remporte sa 23ème
LIGA, premier trophée des trois encore possibles. Grâce au but inscrit par LA
PULGA MESSI, les BLAUGRANAS complètent la revanche qui leur était dûe face à
cette équipe de l’ATLETI. Après les avoir battus à l’aller, puis éliminés en
COPA, avant de les battre au retour, les catalans célèbrent LA LIGA au domicile
COLCHO NERO, comme eux l’année précédente au CAMP NOU. Les applaudissements
pleuvent des gradins où les HINCHAS du Barça ayant fait le déplacement fêtaient
le titre, mais aussi des quatre virages de l’antre madrilène, dans une image de
pur FAIR PLAY. LUIS ENRIQUE et UNSUE sont aux anges, et il faut dire que
l’exploit est de taille : Première saison, premier titre, deux autres
restants ; mais surtout : une véritable métamorphose des plans de jeu
FCB, tant sur la construction offensive, l’organisation défensive, voire la
fougue et l’engagement même présentés par tous les joueurs, tous postes
confondus. Le labeur du staff a payé, pourtant, rien n’aurait été possible sans
l’unité du groupe, et le génie des CRACKS que comptent le Barça dans ses rangs. Ceux qui ont proclamé avec hâte la fin du cycle barcelonais se sont trompés. Le
cycle perdure, et à voir la prestation des BLAUGRANAS tout au long de la
saison, le Barça est toujours aussi spectaculaire, aussi terrifiant qu’il l’était
sous les commandes de PEP GUARDIOLA et TITO VILANOVA. Un triplé suffirait pour
le confirmer.. Mais d’ici là, suffisons nous en fêtant cette septième LIGA en
onze ans, célébrons cette génération
historique que nous avons eu la chance de regarder, supporter et aimer,
inlassablement. Encore, et encore, et encore…
La grève annoncée par l'association des footballeurs espagnols a été suspendue par l'AUDIENCIA NACIONAL en raison du grave désordre qui pourrait en résulter à l'égard des Clubs eux mêmes, ainsi qu'à celui des sélections nationales respectives dont les joueurs évoluent en LIGA BBVA.
Un terme est ainsi mis aux doutes émis quant au choc qui mettra aux prises, pour le compte de la 37ème et avant journée du championnat espagnol, le FC BARCELONE et l'ATLETICO MADRID sur la pelouse du VICENTE CALDERON. Un match décisif qui pourrait voir les BLAUGRANAS remporter le titre de champion d'Espagne à une journée de la fin du calendrier. En effet, en cas de victoire du Barça, ou encore en cas de match nul ou défaite du poursuivant, les Culés pourraient célébrer le titre dans l'antre de l'ATLETI, comme les COLCHOS NEROS l'avaient fait la saison dernière au CAMP NOU. Destin, destin..
Ainsi, la rencontre de ce Dimanche sera une occasion pour le MES QUE UN CLUB de s'offrir son premier titre de la saison..Viendra ensuite la Finale de LA COPA DEL REY, avant d'atteindre l'apothéose à BERLIN pour la finale de la CHAMPIONS LEAGUE.
Le FC Barcelone connaît désormais l'adversaire qu'il aura à affronter lors de la finale de l'UEFA CHAMPIONS LEAGUE. Ce sera la JUVENTUS de Turin, qualifiée après avoir éliminé le Real Madrid à la suite d'une victoire des italiens au Juventus Stadium (2-1), puis d'un match nul (1-1) au Benabeu.
Ainsi, le Barça devra affronter le Champion de la Serie A italienne pour obtenir sa 5ème Coupe aux grandes oreilles,et ce après avoir éliminé sur son parcours les champions d'Angleterre, de France et d'Allemagne respectivement..
Rendez-vous le 6 Juin à Berlin pour la remise du titre !
Sur la pelouse de l’ALLIANZ
ARENA, le FC BARCELONE entreprenait la demi-finale retour de la CHAMPIONS
LEAGUE face aux locaux du FC BAYERN MUNCHEN. Grâce à l’avance de trois buts
acquise lors du match aller, les hommes de LUIS ENRIQUE se déplaçaient en terre
bavaroise avec une confiance de plomb ; quant aux médias, l’importance
accordée à cette affiche fut minime et ce qui semblait être le choc lors du
tirage au sort des demis, fut transformé en une simple formalité. La vérité restait
cependant ailleurs.. Les connaisseurs sachant pertinemment qu’en football, tout
pouvait arriver. Conscient de cette probabilité minime, mais bel et bien
existante, EL MISTER n’allait pas lésiner sur les moyens, ni les hommes
employés afin d’atteindre la finale de BERLIN.
C’est ainsi que le tacticien
asturien faisait appel à son onze « TALISMAN », le même que celui
choisi lors du match aller avec TER STEGEN dans les buts, PIQUE et MASCHERANO
en charnière centrale, et les « Motos » de service DANI ALVES et JORDI
ALBA sur les côtés. En sentinelle, SERGIO BUSQUETS épaulait RAKITIC et INIESTA
pour former le milieu de terrain tandis que la TRIPLETTA MESSI-NEYMAR-SUAREZ se
chargeait de l’attaque. En face, PEP GUARDIOLA faisait le même choix d’aligner
un onze identique que celui composé au CAMP NOU une semaine précédente, seule
la mentalité allait être différente pour le Philosophe de SANTPEDOR.
Evoluant en fluorescent, les
catalans seront les premiers à se faire dangereux et ce dès la 5ème
minute de la partie. Suite à un service lobé de DANI ALVES, RAKITIC plonge
derrière la ligne défensive bavaroise pour croiser la frappe depuis l’intérieur
de la surface mais NEUER s’étire pour éloigner le danger. Deux minutes plus
tard, la réaction bavaroise est si forte qu’elle sera portée au tableau d’affichage.
Sur un corner botté côté droit, le défenseur marocain MEHDI BENATIA trompe la
vigilance de la défense catalane pour dévier le ballon, d’une tête rageuse, et
battre TER STEGEN au ras du poteau droit (1-0 Min.7). L’ALLIANZ ARENA part en ébullition,
l’impossible n’est pas allemand !
Le projet de la REMONTADA
bavaroise sera cependant mort-né. Les hommes de LUIS ENRIQUE ne se laissent pas
emporter par la mouvance du public et réagissent par l’intermédiaire de NEYMAR.
Parti depuis la gauche de la ligne médiane, NEYMAR élimine RAFINHA pour entrer
dans l’axe où il céda le cuir à LIO MESSI. Pendant un instant, LA PULGA se
retourna et fit mine d’attendre le support de DANI ALVES, mais un une seconde,
LIO MESSI vit l’appel de SUAREZ derrière BENATIA et le servit d’une précision
létale. En MANO A MANO, l’attaquant uruguayen se charge alors de fixer NEUER
avant de glisser le ballon pour NEYMAR qui l’acheva du gauche dans les filets
déserts : Gol d’El Barça ! Gol de NEYMAR Junior DA SILVA (1-1
Min.17) ! Silence à l’ARENA, LA TRIPLETA fête sa joie comme elle fêterait
sa qualification en finale. N’est-ce pas le cas !?!
Débute alors le show d’un
allemand non vêtu de rouge, mais de fluorescent. En question : TER STEGEN
qui est obligé de sortir le grand jeu pour son retour en terre natale. Le jeune
portier allemand aura à s’illustrer à trois prises, deux face à MULLER et une
face au polonais LEWANDOVSKI. LA TRIPLETTA ne restera cependant pas pour
spectatrice : Sur un long dégagement du JEFFECITO MASCHERANO, LIO MESSI
dévie le ballon de la tête pour lancer LUIS SUAREZ parti à la limite du
hors-jeu. Copie de l’action d’un MANO a MANO raté lors du match aller, par LA
SALTA lui-même ; cette fois-ci, l’attaquant uruguayen ne répète pas les
erreurs du passé mais lève la tête pour servir NEYMAR seul au deuxième poteau.
EL MOHICO contrôle le cuir de la poitrine avant de le reprendre au
rebond : DOBLETTE DE NEYMAR ! Gol d’El Barça (1-2 Min30) ! NEUER
est battu au premier poteau, NEYMAR danse sa joie sur la pelouse d’un ARENA mis
à silence. C’est la 9ème réalisation du FLACO brésilien qui se
retrouve désormais deuxième au classement des buteurs de la C1, ex-aequo avec
une certaine MUNECA madrilène, un but de moins que son compagnon EL DIEZ MESSI.
Des chiffres qui traduisent l’excellent rendement du MOHICO pour sa 2ème
saison au MES QUE.
Le Barça, lui, démontre tout le
changement apporté par EL LUCHO avec
cette action de but : En quatre touches, les barcelonais parviennent aux
filets abandonnant, même momentanément et vu les circonstances, leur conception
qui maximise forcément les passes avant d’atteindre le cadre. Avant de rejoindre les vestiaires pour la
mi-temps, TER STEGEN revient pour briller face à ses compatriotes.. D’abord sur
une tête de l’infatigable SCHWEINSTEIGER, puis surtout sur une reprise de plein
fouet de LEWANDOVSKI depuis l’intérieur de la surface que le jeune Marc-André
bloque en deux temps notamment avec un sauvetage in-extremis sur la ligne de
but. Incroyable TER STEGEN !
Au retour des vestiaires, EL
MISTER est forcé d’accomplir son premier changement. Craignant une légère
surcharge musculaire dont souffrirait LUIS SUAREZ, LUIS ENRIQUE préfère la
précaution en faisant appel au virevoltant PEDRO pour prendre la place de LA
SALTA. Un réglage qui forcera les catalans à évoluer avec un système nettement
différent avec LIO MESSI qui reprenait sa position de FALSO NUEVE –faux 9- et
un milieu composé d’un double pivot défensif puisque RAKITIC revenait à hauteur
de BUSQUETS, tandis qu’INIESTA était placé seul en n°10. Conséquences : Un
LIONEL MESSI complétement déconnecté du restant de l’équipe, RAKITIC et BUSI
qui se marchent sur les pieds, et un INIESTA totalement perdu en phase
défensive.
Pour toutes ces causes, la
domination du BAYERN de PEP se fera ressentir et on assistera à une mi-temps à
sens unique. Seulement, si les CULES sont habitués à voir le sens unique à leur
avantage, cette fois c’est à leur encontre que l’offensive se fait. Malgré la
brillance de TER STEGEN, les catalans encaisseront deux buts : un par
l’intermédiaire de LEWANDOVSKI (2-2 Min.58), puis un autre inscrit par le
talentueux MULLER (3-2 Min.78) qui offre une victoire de consolation au public
bavarois. Malgré l’entrée de MATHIEU à la place de RAKITIC, puis de XAVI
HERNANDEZ à la place de INIESTA, c’est un Barça totalement dominé tout au long
de cette deuxième mi-temps qui démontre sa capacité à souffrir en résistant à
la vague offensive du BAYERN. L’unique occasion des BLAUGRANAS viendra en fin
de match par l’intermédiaire de l’intenable NEYMAR qui se défait de la défense
mais ne parvient pas à servir MESSI seul face à un cadre ouvert .. Au
final, le BAYERN et son public se consolent avec une victoire pour la
forme ; le Barça et les nombreux Culés déplacés à BAVARIA peuvent
exulter : BERLIN est devenue réalité !
Défaits, dominés, mais
surtout : Qualifiés !!! Le FC BARCELONE atteint la 8ème
finale de son histoire en UEFA CHAMPIONS LEAGUE, la 4ème en cette décennie.
La sensation est mitigée au regard de la physionomie de cette demi-finale
retour, mais rien ne doit nous écarter d’une valorisation réaliste de cet
exploit. Un exploit qui ponctue un parcours européen impressionnant des
BLAUGRANAS qui ont su sortir premiers d’un groupe équilibré, avant d’éliminer
coup sur coup champion d’Angleterre, champion de France, puis champion
d’Allemagne pour atteindre l’objectif final. Au passage, un récital mémorable face
aux CITIZENS notamment lors du match retour, ainsi qu’un autre lors du déplacement au PARC
DES PRINCES, sans oublier la prestation parfaite des catalans lors de la
réception des bavarois une semaine auparavant. Avec mérite, les hommes de LUIS
ENRIQUE empochent le ticket vers BERLIN où il leur sera permis de rêver d’un
autre trophée, le plus prestigieux de tous ceux mis en jeu. Pour sa première
saison, EL LUCHO réalise ainsi l’exploit en atteignant la dernière marche de la
gloire européenne, exactement comme l’avait réalisé un certain PEP GUARDIOLA huit
ans auparavant. Seulement, ce Barça de LUIS ENRIQUE est tellement différent de
celui de ses prédécesseurs, capable de permuter entre longues phases de
construction et rapides attaques de rupture. Spectaculaire, plaisant,
phénoménal ; mais aussi létal, efficace,
incisif et percutant.. Les qualificatifs se suivent mais ne se ressemblent pas,
d’ailleurs, ils ne suffiront guère pour décrire le MES QUE UN CLUB de cette saison.
La LIGA pourrait rejoindre le PALMARES BLAUGRANA ce dimanche déjà face à l’ATLETI
au CALDERON, avant que vienne le tour à LA COPA où les catalans règnent toujours
en maître des records ! Quand quelques fractions du Public Culé scandait « QUEREMOS
EL TRIPLETE !», certains commentaient avec mépris notre optimisme et
confiance exagérés. Maintenant que le mirage du triplé flotte au-dessus du Can
Barça, ils doivent certainement nous traiter de visionnaires. Mais nous, nous
ne sommes que Culés, fiers et fidèles, confiants en ce potentiel extraordinaire
que portent cette génération de CRACKS, et dont le cycle n’est certainement pas
terminé..
Pour le compte de la 36ème
journée de la LIGA BBVA, le FC BARCELONE, leader au tableau, recevait AU CAMP
NOU les basques de LA REAL SOCIEDAD, onzièmes au classement. La REAL, l’une des
rares équipes à avoir pu battre le Barça cette saison lors d’un match aller à
bilan très négatif pour les catalans. Ceci dit, cette désormais lointaine
défaite à l’ANOETA a été l’un des tournants de la saison puisque ce fut également
le point de départ d’une longue boucle victorieuse. Depuis, c’est un Barça de
feu qui s’est transformé en un véritable rouleau compresseur : finaliste
en COPA, à 90 minutes d’être finaliste en CHAMPIONS LEAGUE, et surtout, à 3
matchs du sacre en LIGA. La victoire restait cependant indispensable aux hommes
en bleu et grenat lors de cette confrontation aux allures de match-piège.
Pour la réception des hommes de
DAVID MOYES, EL MISTER laissait hors convocation RAKITIC et MATHIEU, tandis que
INIESTA, BUSQUETS et JORDI ALBA étaient mis au banc en prévision du déplacement
vers l’ALLIANZ ARENA ce mardi même. Ainsi, LUIS ENRIQUE choisissait d’aligner
BRAVO en gardien, les ex-Sevillistas DANI ALVES et ADRIANO sur les flancs,
GERARD PIQUE et MARC BARTRA dans l’axe défensif. La ligne médiane était
composée de MASCHERANO en milieu défensif derrière le tandem RAFINHA et
« EL GRANDE » XAVI HERNANDEZ tandis que LA TRIPLETA, intouchable,
avait à gérer l’attaque avec le trio NEYMAR-LUIS SUAREZ-LIONEL MESSI. LA REAL
pouvait quant à elle compter sur des éléments jeunes tels le gardien argentin
RULLI ainsi que d’autres plus expérimentés tels INIGO MARTINEZ, GRANERO,
CANALES ou encore l’attaquant mexicain CARLOS VELLA.
Les premières minutes de cette
confrontation démarrent avec un rythme assez soutenu. Conscients de la
difficulté que pourrait prendre la partie, les locaux s’empressent de créer les
occasions de buts avec un DANI ALVES intenable sur la bande droite, comme
toujours.. EL GATO sera d’ailleurs à l’origine d’un centre vers une tête de
MESSI renvoyée par RULLI au corner, puis d’un autre dévié cette fois par LUIS
SUAREZ à côté du cadre. Le jeune gardien argentin de LA REAL brillera, encore
une fois, à la 13ème minute quand il bloqua un tir de NEYMAR depuis
les 8 mètres suite à un mouvement d’une-deux avec LA PULGA MESSI. Constatant la
domination des catalans, les basques choisissent l’engagement physique comme
solution et se voient accorder 3 cartons jaune en l’espace de 3 minutes dont
deux suite à des fautes commises sur le brillant et généreux RAFINHA. A la demi-heure de jeu, RULLI revient
pour sauver les siens en bloquant un MANO A MANO face à PIQUE qui, suite à une
passe lobée d’EL DIEZ, manque l’ouverture du score en deux temps. Trois minutes
plus tard, ce sera LUIS SUAREZ, agréablement servi par MESSI au deuxième
poteau, qui vendangea une occasion toute faite lorsque sa tête côtoya le cadre
basque. Malgré une ultime occasion venue d’un tir puissant, mais non cadré , de
DANI ALVES ; les deux équipes rejoignent le vestiaire avec un score nul et
vierge.. Dans certaines composantes du Public Culé, le doute s’installait peu à
peu, seul un but délivrerait les BLAUGRANAS et les approcheraient un peu plus
du titre.
En seconde mi-temps, le Barça
maintient sa pression offensive avec deux tirs de XAVI HERNANDEZ et NEYMAR lors
des cinq premières minutes avant que la délivrance ne viennent par le biais du
CRACK brésilien lui-même. Depuis l’aile droite, LIO MESSI fixa la défense
basque avant de centrer au point de pénalty où INIGO MRARTINEZ, malheureux,
dévie le ballon vers le deuxième poteau pour NEYMAR qui , rôdant en renard de
surface, se chargea de battre RULLI d’une tête létale. Gol d’El Barça, Gol d’El
Barça, Gol d’El Barça ! Gol de NEYMAR JUNIOR DA SILVA (1-0 Min.50) !
Réalisation importante du MOHICO qui se présente comme élément décisif en cette
fin de saison. C’est également son 50ème but sous les couleurs du
Barça : QUE GRANDE NEY !
Dix minutes plus tard, et avec le
chrono pointant vers l’heure de jeu, EL MISTER intervint pour sécuriser le
score. MARC BARTRA, auteur d’une prestation satisfaisant, en paie les frais
lorsque le jeune MASIANO est rappelé au banc à la place de SERGIO
BUSQUETS, laissant à MASCHERANO le soin
d’accompagner PIQUE en charnière centrale. Par la suite, les BLAUGRANAS
chercheront timidement à doubler leur marque. LIO MESSI tentera sa chance depuis l’angle fermé mais
l’excellent et jeune RULLI veille à la parade, avant que NEYMAR ne s’essaie
avec une autre tête, cette fois trop faible pour déstabiliser le gardien
argentin. A un quart d’heure de la fin, LUIS ENRIQUE effectuera deux changements
qui apporteront leurs fruits avec l’entrée de ANDRES INIESTA à la place du
grand XAVI HERNANDEZ, auteur d’une prestation irréprochable ovationnée par le
CAMP NOU, mais aussi celle de PEDRO RODRIGUEZ, quelques minutes plus tard, à la
place de RAFINHA ALCANTARA. Ce coaching
s’avérera gagnant puisque ce sera PEDRO qui doublera la marque, cinq minutes
avant la fin, d’un retourné spectaculaire de la droite après une combinaison
entre LIO MESSI et LUIS SUAREZ qu’EL CANARI se charge d’achever de la plus belle
des manières.. GOLAZO DE PEDRITTO (2-0 Min.85) ! La joie du banc est
grandiose et PEDRO salue les réservistes dans un geste très expressif.. LA REAL
est à terre. Le Barça, lui, vole vers les cieux du sacre !
Victoire difficile mais capitale
du FC BARCELONE à domicile face aux basques de SOCIEDAD. Une victoire qui
vaut un titre de LIGA, ou presque,
puisque le rival éternel poursuivant sera accroché, quelques heures plus tard
par un grand VALENCIA qui l’a obligé au nul sur la pelouse du BERNABEU. Ainsi,
les catalans disposent désormais de 4 points de différence sur leur dauphin à
deux dates de la fin du championnat. Une victoire au VICENTE CALDERON serait même suffisante pour célébrer le titre sur les terres madrilènes.. Trois jours avant un déplacement périlleux à l’ALLIANZ ARENA, les poulains de LUIS ENRIQUE ficellent le Dossier LIGA pour traiter de celui de la CHAMPIONS LEAGUE. Grâce à l’avance confortable acquise lors du match aller, les catalans pourront gérer cette confrontation de gala face à un PEP qui fera tout pour inverser la cadence. Match par match, telle fut la conception apportée par EL LUCHO en début de saison, et si l’équipe a atteint le mois de Mai avec trois titres en jeu dont deux quasiment dans la poche, c’est que cette conception a été appliquée à la perfection.. Et si on l’appliquait encore pour les cinq matchs restants ?? Peut-être que nos rêves les plus fous deviendraient réalité..
Dans l’enceinte mythique du CAMP
NOU, l’hymne de l’UEFA CHAMPIONS LEAGUE retentissait pour la dernière fois de cette
saison dans le stade catalan pour annoncer le choc des demi-finales aller
mettant aux prises le FC BARCELONE et le FC BAYERN MUNCHEN. Une confrontation
aux airs de finale anticipée entre deux entités qui présentent le jeu le plus
spectaculaire d’Europe. Pour raison : une conception similaire du football
avec une priorité accordée à la possession du ballon, et des exigences
techniques et tactiques des plus hauts niveaux. Deux ans après leur dernière
confrontation à ce même stade de la compétition, catalans et bavarois allaient
se départager au plus grand plaisir des passionnés de beau jeu.
En dépit de l’enjeu prédominant
de cette partie, une charge émotionnelle grandiose envahissait le public Culé
qui voyait PEP GUARDOLA revenir aux bancs du CAMP NOU pour la première fois
depuis son départ du MES QUE. Cette fois venu en tant que visiteur, EL
PHILOSOPHER, symbole vivant du BARCELONISMO moderne ayant été à la fois
supporter Culé, lauréat de la MASIA, membre titulaire de la DREAM TEAM de JOHAN
CRUYFF, capitaine du Barça des années 90, et enfin entraîneur du BARCA DE LAS
SEIS COPAS ; revoyait les mêmes gradins qui avaient jadis fêté ses succès,
lui adresser, avec retenue, des applaudissements de reconnaissance et respect.
Seulement, cette fois les gradins supportaient l’autre équipe, lui n’était qu’adversaire..
Les BLAUGRANAS de LUIS ENRIQUE
MARTINEZ entreprenaient cette confrontation avec la même approche : Du
respect pour PEP, mais une volonté inébranlable de prendre leur revanche sur le
rival bavarois qui les avaient éliminé dans des circonstances spéciales, et par
son biais sur toute la sphère médiatique, « ingrate et infidèle »
comme le veulent les impératifs de vente. Mais si l’histoire ne retient pas les
circonstances et ne s’attache qu’aux scores, le Public Culé garde en lui cette
amertume relayée alors par la presse mondiale qui brandissait le score cumulé
de 7-0 comme la fin du cycle BLAUGRANA, sans évoquer l’absence de l’entraîneur
TITO VILANOVA qui était hospitalisé à NEW YORK, ni les conséquences de cet
élément sur le psychique des joueurs ; sans souligner non plus la blessure
de LIO MESSI réduit à un simple épouvantail lors du match aller, et resté sur
le banc lors du match retour. Mais tout ceci n’est que passé. L’heure était à
présent au football, du vrai, du plaisant, du pur.. « It’s SHOW
TIME ! » comme diraient nos amis anglophones..
Pour cette confrontation avec son
ancien coéquipier, EL LUCHO alignait son onze type avec TER STEGEN dans la
cage, GERAR PIQUE et JAVIER « EL JEFFECITTO » MASCHERANO dans l’axe
défensif, DANI « EL GATO »ALVES et JORDI « LA MOTO »
ALBA sur les côtés. Devant eux, l’irremplaçable SERGIO BUQUETS épaulait IVAN
« EL RUBIO » RAKITIC et ANDRES « EL MANCHEGO » INIESTA
en milieu de terrain tandis que LA TRIPLETTA était alignée en attaque :
Les inséparables mais intenables LUIS « EL PISTOLERO » SUAREZ,
NEYMAR « EL MOHICO » JUNIOR et
enfin, LIONEL « LA PULGA » MESSI qui disputait là son 100ème
apparition européenne. De son côté,
PEP GUARDIOLA, diminué avec l’absence de RIBERY et ROBBEN, comptait sur son
4-1-4-1 classique avec les champions du monde NEUER, BOATENG, MULLER, LAHM et
SCHWEINSTEIGER, l’Ex-Blaugrana THIAGO ALCANTRA ou encore l’attaquant polonais
LEWANDOVSKY.
Dès le sifflet initial donné par Monsieur Nicola RIZZOLLI, les deux protagonistes positionnent leurs blocs de
manière plutôt avancée dans une bataille de styles identiques. Après une
première action litigieuse où SUAREZ aurait pu obtenir un penalty suite à une
poussée de BOATENG dans son dos, les catalans sont les premiers à se montrer
dangereux par l’intermédiaire de LIO MESSI qui tergiverse avant de frapper dans
les mains de NEUER. Les hostilités sont déjà lancées.. A la 12ème
minute, les locaux obtiennent la première réelle occasion de la soirée. Suite à
un long dégagement de TER STEGEN, MESSI dévie le cuir de la tête pour SUAREZ
qui casse le hors-jeu pour se retrouver face au gardien, mais EL PISTOLERO est
dénié par le pied droit de NEUER qui sauve incroyablement les siens à la
manière des gardiens de HAND-BALL. Trois minutes plus tard, les catalans flirtent
toujours avec l’ouverture du score. Sur une percée de SUAREZ à droite de la
surface, LA SALTA élimine BOATENG avec une facilité flagrante pour servir
NEYMAR dans l’axe, mais ce dernier glisse au moment décisif et manque un but
tout fait.. A ce moment, le Barça aurait pu, déjà, mener par deux buts d’écart.
Constatant la domination de son
adversaire, PEP GUARDIOLA apporta quelques retouches au positionnement de ses
joueurs. Pourtant, les BLAUGRANAS continuaient à dicter le rythme de la partie
et après SUAREZ, et NEYMAR, ce sera LIO MESSI qui se montrera dangereux suite à
une enchaînement à droite de la surface qui voit LA PULGA éliminer, coup sur
coup, quatre défenseurs bavarois avant d’envelopper le ballon à côté du poteau
droit allemand ! A la demi-heure de jeu, le CAMP NOU chante le
nom de LUIS ENRIQUE pour démontrer, une fois pour toute, son choix de support.
Ce sera quelques minutes avant que DANI ALVES ne rate le deuxième MANO a MANO
de la soirée quand EL GATO, auteur d’une prestation monstre sur la bande
droite, est servi par ANDRES INIESTA pour contrôler le cuir de la poitrine
avant de mettre le pointu du droit. NEUER, toujours du pied droit, détourna le
danger encore une fois.. A la mi-temps, c’est avec un sentiment de lamentation
que l’équipe AZULGRANA rejoint les vestiaires, consciente que son avantage sur
le terrain aurait pu se traduire sur le tableau d’affichage si le destin avait
voulu..
Après le break, l’éloquence de
PEP GUARDIOLA dans les speechs de mi-temps se fit ressentir sur les bavarois.
C’est un visage complétement différent qu’affichent les allemands en cette
seconde période : Beaucoup plus entreprenants, beaucoup mieux positionnés
et nettement moins dominés. Après un quart d’heure de passivité forcée, les
BLAUGRANAS réagissent par l’intermédiaire de LIO MESSI qui sert NEYMAR dans le
dos de la défense mais EL FLACO manque un contrôle qui aurait pu changer toute
la donne.. Servi par RAKITIC, NEY reviendra ensuite avec un ballon envoyé
directement dans les tribunes, alors qu’il tentait de l’envelopper au deuxième
poteau.. Tout juste incroyable. A la 70ème minute, la statistique
tombe : le BAYERN a littéralement inversé la cadence, 51% de possession en
leur faveur, un chiffre inédit que seul PEP GUARDIOLA peut forcer le Barça à
concéder, au CAMP NOU s’il vous plaît.. GRANDE PEP, faut-il reconnaître !
Mais à 12 minutes de la fin, les
locaux finissent par prendre leur destin en main. Suite à un excellent pressing
de DANI ALVES côté droit, EL GATO récupère le ballon dans les 40 mètres
bavarois pour mettre dans le vent XAVI ALONSO et céder le cuir à LIO MESSI. En
l’espace de deux-trois secondes, LA PULGA se mit sur son pied gauche avant de déclencher
une frappe sourde qui ne laissa aucune chance au puissant NEUER : Gol d’El
Barça ! Gol de LIO MESSI ! Gol d’EL DIEZ (1-0 Min.78) !
Explosion de joie au CAMP NOU ! Le quadruple ballon d’or vient de délivrer
des milliers de CULES présents sur les gradins, et avec eux, d’autres millions
positionnés devant leurs téléviseurs ! Un but en or, un but qui rappelle
étrangement celui inscrit en 2012 par le même CRACK de ROSARIO face au
MANCHESTER lors de la deuxième finale gagnée à WEMBLEY..
Mais quand vous vous appelez
Lionel Andres MESSI, quand on vous a privé de ballon d’or comme si vous n’étiez
plus le meilleur, et que vous êtes face à plusieurs de ceux qui vous ont privé en
plus d’une coupe du monde cet été dernier, les choses ne s’arrêtent pas là.
Deux minutes après son ouverture du score, EL DIEZ reviendra avec un geste
anthologique, message à la planète footballistique. Lancé par Ivan RAKITIC, LIO MESSI se retrouve
en position d’un contre un face à BOATENG, Jérome de son prénom est alors mis à
terre par LA PULGA d’un crochet extérieur puis intérieur surtout, avant que
NEUER –meilleur gardien du monde- ne soit crucifié par le MESSI lui-même d’un
lobe somptueux du droit (2-0 Min.80). Goooooool de Lionel « El Diez »
MESSI ! Goool de LA PULGA
Mytica ! Goool d’El Mejor d’El Mundo ! Le ROSARINO fête son retour aux réalisations
anthologiques avec un but aussi décisif que spectaculaire. PEP GUARDIOLA ne
sait plus à quel saint se vouer..Il ne croyait pas si bien dire quand il
annonçait en conférence d’avant match que LIO MESSI était imparable, qu’aucune
stratégie ni tactique ne sauraient l’arrêter lorsqu’il est en son meilleur
état. Ainsi la PULGA acheva son 10ème but en UCL cette saison..
Et alors que les dernières
minutes du temps additionnel s’effritaient, les hommes de LUIS ENRIQUE ponctuent
leur chef-d’œuvre de prestation par une troisième réalisation. Suite à un
ballon emmené par LUIS SUARE près de la ligne médiane, la SALTA se fait
agresser par un tacle assassin de SCHWEINSTEIGER.. L’arbitre italien laisse l’avantage
et c’est Lio MESSI qui poursuit l’action pour servir NEYMAR parti seul en MANO
A MANO. Cette fois-ci, NEUER n’y peut rien.. El MOHICO le fixe en feintant le
tir avant de placer le ballon de l’intérieur du droit dans les filets bavarois !
Gooool d’El Barça ! Gol
de NEYMAR JUNIOR DA SILVA (3-0 Min.94)! Les gradins du CAMP NOU exultent,
la boucle est boulclée avec ce troisième but catalan qui confirme la vengeance
du Barça et rend au BAYERN la monnaie d’une victoire qu’il avait obtenu,
deux ans auparavant sur cette même pelouse : Même score c’est vrai, mais meilleure
prestation catalane, encore plus beaux buts..
Récital à la perfection des
hommes de LUIS ENRIQUE qui corrigent le BAYERN MUNCHEN par trois buts sans
réponse pour mettre un pas en finale de la CHAMPIONS LEAGUE. Un score qui
confirme la supériorité des catalans face aux bavarois et qui traduit l’excellent
état de forme BLAUGRANA en cette fin de saison. Le tapis vert est ainsi déroulé
pour le Barça à 90 minutes de Berlin, un Barça que rien ne semble plus pouvoir
arrêter, parti sur les trois tableaux en route vers un triplé anthologique.. Ce
fut donc une nuit pour l’histoire, une nuit où LIO MESSI a confirmé son statut
d’extra-planétaire venu régner sur la sphère footballistique une fois pour
toute, et qui s’approche peu à peu d’un éventuel
cinquième BALLON D’OR, mérité. A vrai dire, quand on dispose d’un joueur aussi
décisif, nul besoin de tactique, d’organisation ou plan offensif, seul le talent
se proclame en solution.. Ce fut également une soirée d’émotion qui a vu PEP
GUARDIOLA revenir en visiteur sous les applaudissements du CAMP NOU, mais repartir
en élève alors qu’il y était conçu comme maître.. LUIS ENRIQUE et LIO MESSI y
sont pour beaucoup certes, mais il faut dire que si l’originaire de SANTPEDOR a
atteint les sommets du football mondial en tant qu’entraîneur, c’est grâce à l’entité
FCB. Entité FCB comme FC BARCELONA et non pas FCB comme FC BAYERN MUNCHEN. Car
comme dans les marques de sport, il existe des imitations qui tentent de copier
le style, la dénomination, l’apparence même d’autres classées comme « Premières »..Ces
imitations, dites « deuxièmes », ne doivent pas se prendre pour
originelles, et si elles s’oublient dans les similarités existantes, force est
de rappeler la vérité : Attention aux imitations, vive l’authenticité ! Som Hi Barça ! Força Culés !
LUIS ENRIQUE MARTINEZ a rendu publique la liste des convoqués pour le choc de ce soir face aux allemands du BAYERN MUNCHEN. Dix-huit joueurs ont été ainsi appelés avec une nouveauté, la présence du belge Thomas VERMAELEN pour la première fois depuis son arrivée au MES QUE en début de saison.
D'autre part, MASIP, DOUGLAS, MONTOYA et SERGI ROBERTO ont été écartés par décision technique, tandis que Jérémy MATHIEU, par précaution, ratera le rendez-vous de ce soir.
Ainsi seront présents : Ter Stegen, Bravo, Dani Alves, Adriano, Alba, Piqué, Bartra, Mascherano, Vermaelen, Sergio, Xavi, Iniesta, Rakitic, Rafinha, Pedro, Neymar Jr, Suárez et Messi.
La rencontre sera arbitrée par l'italien Monsieur Nicola RIZZOLI.
Lors de la conférence d'avant-match précédant le choc face au BAYERN de PEP GUARDIOLA, LUIS ENRIQUE MARTINEZ a souligné l'énorme qualité que devrait offrir cette confrontation de rêve, tout en rappelant la force du rival, son niveau de jeu, sans oublier son histoire et palmarès prestigieux.
Par ailleurs, EL LUCHO a également rappelé l'importance qu'aura la possession du ballon lors de la confrontation de demain, notamment entre deux adversaires qui adulent cet aspect de jeu. El Mister a également évoqué le retour de PEP GUARDIOLA et ses capacités reconnues comme l'un des meilleurs entraîneurs de nos temps. Confiant, le technicien asturien semble attendre de pied ferme son ancien coéquipier, pour un match aller qui pourrait s'avérer décisif dans la quête du ticket vers BERLIN,
Lionel Andres MESSI était protagoniste aujourd'hui lors des conférences de presse précédant le choc face au BAYERN MUNCHEN. Le n°10 AZULGRANA a répondu aux questions des journalistes venus des quatres coins de la planéte en soulignant l'importance de cette partie décisive. Décisive en raison de l'enjeu concerné, mais aussi en vue de palier aux échecs européens des dernières saisons. LA PULGA a également évoqué le retour de PEP GUARDIOLA au CAMP NOU, sa relation avec NEYMAR et SUAREZ ainsi qu'avec LUIS ENRIQUE. Le crack de ROSARIO a ainsi confirmé l'énorme motivation du groupe catalan, 24 heures avant l'heure fatidique.
Après une demi-heure dédiée à visionner une vidéo résumant le jeu du rival, les hommes de LUIS ENRIQUE ont entrepris une séance d'entraînement d'un peu plus qu'une heure sur la pelouse du CAMP TITO VILANOVA. Une séance "LIGHT" avant la réception du FC BAYERN MUNCHEN demain lors des demi-finales -aller- de l'UEFA CHAMPIONS LEAGUE.
El Mister annoncera demain matin la liste des convoqués, joueurs présents,avant que ces derniers ne rejoignent le CAMP NOU deux heures avant le sifflet initial.
A quatre jours du choc imminent
en C1 face aux allemands du BAYERN MUNCHEN, les hommes de LUIS ENRIQUE
entreprenaient la 35ème journée du championnat local avec un déplacement au stade EL
ARCANGEL, pelouse de la lanterne rouge CORDOBA. Le leader affrontait le dernier
du tableau, avec une exigence de victoire pour les BLAUGRANAS en vue de
maintenir leur écart sur le rival madrilène, et assurer, par la même occasion,
le plein de confiance avant l’affiche européenne. Sous une chaleur andalouse
typique, les catalans se devaient de gérer les 90 minutes sans trop dépenser
d’efforts. Pourtant, EL LUCHO alignait une formation de départ que l’on peut
qualifier de « type » avec BRAVO dans la cage, PIQUE et MASCHERANO en
charnière centrale, DANI ALVES et JORDI ALBA sur les côtés. Le milieu était
composé de SERGIO BUSQUETS en soutien de RAKITIC et ANDRES INIESTA. En attaque,
la TRIPLETTA était de rigueur avec LIO MESSI, NEYMAR Junior et LUIS SUAREZ.
Les Barcelonais entameront la
partie avec un rythme de jeu très soutenu pour plier la partie dès ses
premières minutes. Justement, l’occasion se présentera pour NEYMAR dès la 2ème
minute pour ouvrir la marque mais EL FLACO rate, incroyablement, un but tout
fait servi sur un plateau d’or par le généreux DANI ALVES. Malgré leur pression
offensive continue, les hommes de LUIS ENRIQUE ne parviendront pas à marquer de
sitôt. A la demi-heure de jeu, LIO MESSI fera étalage de ses capacités de
drible dans les petits espaces quand LA PULGA parvint à effacer 3 joueurs
andalous dans un mouchoir de poche avant de frapper dans les mains du gardien.
Les BLAUGRANAS toucheront même le bois lorsqu’un excellent service d’EL DIEZ
MESSI est faiblement repris par NEYMAR dont la déviation touche le poteau
gauche de JUAN CARLOS pour faire pousser au public de l’ARCANGEL un grand
« OUF ! » de soulagement.
Mais après 40 minutes passées
dans la moitié de terrain des locaux, les hommes de LUIS ENRIQUE finissent par
avoir raison de leur adversaire du jour. Suite à un corner repoussé par la
défense andalouse, DANI ALVES décale LUIS SUAREZ à droite. Après avoir fixé son
adversaire, EL PISTOLERO céda le cuir à LIO MESSI qui servit remarquablement
RAKITIC positionné à gauche de la surface. EL RUBIO amadoua alors le ballon de
l’extérieur, avant de le catapulter dans les filets d’une frappe sourde à bout
portant : Gol d’El Barça (0-1 Min.42’) ! Enfin.. Et alors que les
deux équipes s’apprêtaient à rejoindre les vestiaires pour la pause, les
catalans doubleront la marque par l’intermédiaire de leur KILLER uruguayen.
Profitant d’un service lumineux de ANDRES INIESTA, LUIS SUAREZ anticipe la
sortie de JUAN CARLOS pour dévier le ballon, de l’intérieur du droit, dans les
filets andalous (0-2 Min.45+2). Et de deux pour les hommes de LUIS ENRIQUE qui
s’assurent un avantage confortable grâce à des réalisations inscrites lors des
cinq dernières minutes.. Un autre « OUF ! » de soulagement est
poussé, cette fois côté Culé !
Après le break, on pouvait
imaginer que les BLAUGRANAS allaient se contenter de gérer la deuxième mi-temps
sans trop dépenser de leur sueur. Mais il n’en sera rien… Au contraire, ce sera
une véritable avalanche offensive catalane qui s’abattra sur EL ARCANGEL. Deux
minutes seulement après la reprise, LA PULGA MESSI inscrit le troisième but
barcelonais lorsqu’il dévia, de la tête, un centre millimétré de l’intenable
DANI ALVES (0-3 Min.47). « EL GATO » ALVES récidivera par une
deuxième passe décisive, un autre centre sur mesure, cette fois vers LUIS SUAREZ qui inscrit le
doublé d’une tête létale (0-4 Min.53).
Quatre buts au tableau, une heure
de jeu au chrono quand LUIS ENRIQUE décida de faire souffler les siens en
faisant appel au Maestro XAVI HERNANDEZ à la place de INIESTA, capitaine pour
capitaine, mais aussi à Jeremy MATHIEU à la place du JEFFECITTO MASCHERANO. Resté
sur le terrain, Gérard PIQUE profitera, lui, d’un corner botté côté droit par
RAKITIC pour battre JUAN CARLOS d’une tête smachée (5-0 Min.65), avant que LIO
MESSI n’inscrive son doublé profitant
d’une excellente action de l’entrant PEDRO RODRIGUEZ LEDESMA (6-0 Min. 79).
Trente neufs buts en LIGA pour EL DIEZ qui, grâce à cette réalisation,
s’installa momentanément seul sur le sommet du tableau des buteurs.
Six à zéro, oui, six.. mais un
Barça que rien ne semblait plus satisfaire puisque, même avec une avance aussi
large, les hommes de LUIS ENRIQUE continuaient à chercher les filets andalous.
Résultat : Un septième but inscrit par NEYMAR Jr, du point de penalty. Un
pénalty obtenu par EL MOHICO lui-même, et dont la transformation a été
gracieusement laissée par LIO MESSI qui, malgré la course acharnée vers le
titre de PICHICHI, reste généreux à l’égard de ses coéquipiers tel EL FLACO qui en profita pour inscrire ici son 21ème
but en LIGA (7-0 Min.84). Le triangle était ainsi achevé, les trois attaquants
du Barça ayant tous marqué. Mais sur le terrain, un certain N°9 uruguayen
n’allait pas rater l’occasion de se voir attribuer son premier coup de chapeau sous
les couleurs bleu et grenat : LUIS SUAREZ profita ainsi d’une frappe de
XAVI HERNANDEZ, déviée par la défense, pour crucifier JUAN CARLOS d’un gauche
imparable. Gol d’El Barça, HAT-TRICK d’EL PISTOLERO SUAREZ (8-0 Min. 87) !
Rien de mieux pour clôturer une aussi
impressionnante démonstration d’efficacité offensive qu’un triplé de son
attaquant de pointe. Au sifflet final, c’est un ARCANGEL totalement sous le
choc qui applaudit sportivement les cracks du Barça. Un rival certes sévère,
mais plaisant.. Un rival que le CORDO ne pourra malheureusement pas recevoir
sur sa pelouse la saison prochaine puisque l’esprit de LA SEGUNDA DIVISION semble
avoir déjà pris possession de l’équipe andalouse..
Voilà ! Démonstration
footballistique des hommes de LUIS ENRIQUE qui ont littéralement corrigé la
lanterne rouge du tableau pour se maintenir en Leader à trois matchs seulement
de la fin du calendrier espagnol. Bilan de cette victoire : huit buts, et
une prestation qui donne toute la confiance nécessaire aux composantes du MES
QUE UN CLUB -joueurs, staff et public- en prévision de la réception du FC
BAYERN MUNCHEN mercredi en demi-finale aller de la CHAMPIONS LEAGUE. Il est
vrai que l’adversaire bavarois sera d’une autre dimension, mais le Barça peut
s’estimer chanceux d’avoir eu à sa disposition un véritable SPARRING PARTNER à
l’image du CORDOBA, aussi docile qu’inoffensif, pour préparer ce test ultime.
Certains diront qu’il ne fallait pas gaspiller d’efforts et qu’il valait mieux
se préserver pour l’ogre allemand.. mais ceux qui ont pratiqué ce sport nous
dirons que gagner en confiance vaut mieux que tout le repos du monde. Ce Mercredi,
on recevra au CAMP NOU un symbole du BARCELONISMO, peut être le plus grand des symboles
vivants en la personne de notre bien aimé « Philosopher » : PEP
GUARDIOLA. On lui offrira des fleurs, un hommage, des applaudissements, du
respect, beaucoup de sympathie et peut-être même un semblant de compassion..
Mais pour le saluer le plus sincèrement, la meilleure des manières reste sans
doute celle de lui montrer une évolution du projet qu’il avait lui-même initié,
8 ans auparavant, aux côtés d’un autre bien aimé aujourd’hui décédé : TITO
VILANOVA. De lui rendre la monnaie de son amour inaltérable du Barça et de ses
valeurs par la beauté du jeu, par la générosité de l’effort et l’efficacité des
mouvements.. Oui, quand on aime, on donne tout. Et ce Mercredi, il faudra tout
donner pour rendre au FC BARCELONE l’estime que la planète footballistique
semble avoir vite oublié, et que LUIS ENRIQUE est en train de rappeler,
doucement, mais sûrement.. quitte même à le faire au détriment d’un ancien
coéquipier.