mardi 22 septembre 2015

CRONICA / FCB vs LEVANTE (4-1) / LIGA BBVA J4



« 12/12 »


En terre catalane, le CAMP NOU accueillait la 4ème journée de LA LIGA BBVA qui mettait aux prises le FC BARCELONE et le LEVANTE. Neuf points au compteur, les hommes de LUIS ENRIQUE étaient en quête de sa douzième pioche dans un contexte particulièrement tendu, et ce en raison du fantôme des blessures qui ne cesse de pourchasser le club BLAUGRANA. Après le drame « RAFINHA », l’ensemble du groupe, notamment le staff médical, restait alarmé en vue d’éviter toute autre blessure qui ne ferait que réduire un effectif déjà assez limité.  

Sans INIESTA, SUAREZ ni JORDI ALBA tous laissés sur le banc, EL MISTER choisissait d’aligner une composition inédite en 4-2-1-3 formée de : TER STEGEN, le revenant de blessure DANI « O GATO » ALVES, BARTRA, MASCHERANO et ADRIANO en défense ; devant eux deux pivots défensifs en les personnes de SERGIO BUSQUETS et IVAN RAKITIC avec LIONEL « EL DIEZ » MESSI seul en milieu offensif derrière MUNIR, SANDRO et NEYMAR en attaque. En face, les hommes de LUCAS ALCARAZ             ,résidants au bas du tableau, ne cherchaient qu’à limiter les dégâts en comptant sur les vétérans JUANFRAN et TONO, le gardien RUBEN, ainsi que le marocain FEDAL en défense ou encore l’algérien GHILAS en attaque.

Comme attendu, le Barça domine la première période en long et en large avec une possession qui dépasse les 70%. Après un quart d’heure de jeu, LIO MESSI est le premier à tenter sa chance mais le lauréat de LA MASIA -RUBEN- s’applique à la parade. Quelques minutes plus tard, NEYMAR fera de même sans parvenir à offrir le premier but de la soirée au public présent au CAMP NOU. Ceci dit, la plus dangereuse des occasions de ce premier acte sera l’œuvre de MUNIR EL HADDADI, excellemment servi par TER STEGEN dans un de ses dégagements millimétrés, l’attaquant d’origine marocaine élimine un défenseur avant de buter sur la sortie de RUBEN.

En seconde période, la défense des visiteurs finit par céder. Cinq minutes après la reprise, une montée courageuse de BARTRA fait parvenir le ballon à LIO MESSI positionné à droite de la surface. D’une louche du gauche, EL DIEZ sert admirablement le même MARC BARTRA qui fait étalage de tout son talent et confiance en soi : Contrôle parfait de la poitrine puis finition de l’intérieur du droit, Gol d’El Barça, Gol de MARCO BARTRA (1-0 Min.50) ! Six minutes plus tard, suite à un débordement de l’intenable DANI ALVES, NEYMAR reçoit un centre parfait de son compatriote avant de s’y mettre à  deux fois pour inscrire le second but catalan de la soirée (2-0 Min.56). Voici un score de plié, NEY dédicace le but à RAFINHA en montrant la tenue du blessé aux tribunes et médias dans un geste très significatif, geste déjà entrepris par BARTRA après son ouverture du score.

Encore cinq minutes et c’est LIONEL MESSI qui se charge de rendre l’addition plus salée suite à un pénalty obtenu par NEYMAR, un pénalty que LA PULGA transforme avec tout le sang-froid du monde d’une frappe imparable du gauche (3-0 Min.61). Contre le cours du jeu, le LEVANTE parviendra à réduire le score après une sortie désastreuse de TER-STEGEN dont profite CASADESUS pour marquer son nom sur la feuille de match, catégorie : Buteur (3-1 Min.66). Mais après un pénalty obtenu, puis étrangement manqué par LIO MESSI, « EL DIEZ » insistera encore plus pour inscrire le doublé. Ce sera chose faite à l’ultime minute de la partie quand l’intenable PULGA passa en revue l’ensemble de la défense adverse d’une série de crochets extérieurs du gauche, avant de mystifier RUBEN d’un plat du pied imparable (4-1 Min.90). Du classique LIO MESSI, du classique Barça.

Victoire sans forcer du FC BARCELONE qui garde seul la tête du classement de LA LIGA BBVA. Douze sur douze pour les hommes de LUIS ENRIQUE à deux points du rival éternel, ainsi que d’un certain CELTA VIGO adversaire lors de la prochaine journée dès Mercredi. En dépit des absences , les BLAUGRANAS ont su imposer leur rythme de jeu pour engranger une victoire satisfaisante face à un adversaire totalement surclassé..  Ce ne sera sûrement pas le cas au BALAIDOS où les BLAUGRANAS devront se préparer à de toutes difficultés. Ceci dit, le capital confiance affiché par les jeunes BARTRA, SANDRO, MUNIR ou même GUMBAO à son entrée -à des degrés différents, certes- démontre toute la maturité atteinte par l’ensemble du groupe FCB. En d’autres termes, LUIS ENRIQUE peut être encore fier d’un autre de ses accomplissement, outre le TRIPLETTE obtenu la saison dernière et outre la SUPERCOPA européenne remportée en début de saison, EL MISTER a pu implique tous les éléments, remplaçants compris, dans sa logique du match par match. Ainsi, quel que soit l’élément sélectionné pour intégrer la feuille de match, voire quel que soit le poste dans lequel il évoluera, nous pouvons être sûrs qu’il appliquera à la lettre la recette du LUCHO.. Ce n’est pas si simple que certains peuvent croire, c’est même le plus difficile à faire.

Força Barça ! 


samedi 19 septembre 2015

CRONICA . AS ROMA vs FCB (1-1) / UEFA CHAMPIONS LEAGUE Groupe E J1


« Un point, et c’est tout.. »


Dans l’enceinte mythique du STADIO OLIMPICO à Rome, l’hymne de la CHAMPIONS LEAGUE retentissait pour annoncer le retour de la plus prestigieuse des compétitions footballistiques avec pour affiche de cette première journée du Groupe E , le choc entre les locaux de l’AS ROMA et le FC BARCELONE, tenant du titre. Un peu plus de 100 jours se sont écoulés depuis la consécration des BLAUGRANAS face à LA JUVE lors de la dernière édition, et voilà que les hommes de LUIS ENRIQUE doivent déjà confirmer leur statut de sérieux prétendant au titre pour l’édition présente, toujours face à un club italien. LA ROMA pour sa part, se devait d’entamer la compétition du bon pied afin de ne pas vendanger ses chances de qualification dans un groupe où le Barça reste le plus grand favori, certes, mais où une deuxième place sera sujet à une farouche compétition entre La Louve et les allemands du BAYER LEVERKUSEN, probablement.

Là où il avait débuté en tant qu’entraîneur d’une première équipe, LUIS ENRIQUE MARTINEZ -accueilli par les applaudissements de l’OLIMPICO- composait son onze avec : TER STEGEN dans les filets, SERGI ROBERTO et JORDI ALBA sur les côtés, PIQUE et MATHIEU en charnière centrale. En milieu de terrain, « LA ENCYCLOPEDIA » BUSQUETS épaulait RAKITIC et « EL CAPI » INIESTA, tandis qu’en attaque, EL TRIDENTE reprenait  ses droits avec LIONEL ANDRES MESSI –qui disputait là son 100ème match en C1- , NEYMAR Jr et LUIS «  LA SALTA » SUAREZ. En face, et même en l’absence du grand FRANCESCO TOTTI, laissé sur le banc, ou encore celle de PJANIC pour cause de blessure ;  RUDI GARCIA pouvait compter sur une composition très rafraichie  par rapport  à celle de la saison dernière avec (entre autres)  l’ex gardien de l’Arsenal CSEZNY, MANOLAS, FLORENZI et DIGNE en défense, le capitaine DE ROSSI au milieu, ou encore SALAH, DZEKO ainsi que le lauréat de La Masia IAGO FALQUE en attaque.

Tous les ingrédients étaient donc réunis pour offrir un spectacle de grande classe au public européen, ainsi qu’aux supporters des deux équipes ; d’autant plus que dans les mémoires CULERS retentissait encore le souvenir d’une défaite impitoyable essuyée par EL CONJUNTO CATALAN une dizaine d’années auparavant sur cette même pelouse (3-0)..du temps de la grande MAGICA alors championne d’Italie, du temps de CAPELLO, des TOTTI, BATISTUTA, CAFU, CANDELLA, MONTELLA et compagnie.. Mais heureusement pour nous, ce temps est bien révolu, et ce avant même qu’une certaine Coupe aux Grandes Oreilles ne soit remportée par El Barça de Pep sur cette même pelouse. Là où tout avait commencé..  

D’entrée de jeu, les hommes de LUIS ENRIQUE obligent les locaux à adopter une attitude plus défensive que leur habitude en les compressant dans leur moitié de terrain. Les occasions ne tardent pas à se succéder et c’est LIO MESSI qui se distingue lors du premier quart d’heure avec une frappe qui frôle la transversale du gardien ROMANISTA. Pour leur part, les italiens semblaient tout miser sur la vitesse du virevoltant SALAH qui ne cessait de déranger JORDI ALBA sur le côté gauche de la défense catalane. Haussant toujours le rythme dans les derniers 40 mètres, les BLAUGRANAS finiront par avoir raison de la Louve romaine lorsque, grâce à une ouverture de JEREMY MATHIEU, « EL RUBIO » RAKITIC se retrouve seul à la droite de la surface. D’un centre appuyé, mais dévié, EL QUATRO parvient à servir LUIS SUAREZ esseulé au deuxième poteau et LA SALTA achève l’offensive catalane par une tête létale ! Gol d’El Barça, Gol d’EL PISTOLERO SUAREZ ! (0-1 Min.21). Premier C’est le premier but AZULGRANA en C1 cette saison, et qui de mieux pour le signer qu’EL NUEVE lui-même. Fidèles à leur style de jeu, les barcelonais ouvrent ainsi le score à l’issue d’une belle construction  ponctuée par un service précis et une finition de sang froid : Du pur Barça !

Suite à l’ouverture du score, les locaux tentent de revenir dans le match mais les BLAUGRANAS semblaient avoir un contrôle total du jeu avec, en plus, un pénalty flagrant non sifflé au profit de LUIS SUAREZ. Semblaient.. puisque 10 minutes après la réalisation de l’URUGAYO, un ballon perdu par RAKITIC dans la moitié adverse permet à l’arrière droit ROMANISTA FLORENZI d’accélérer balle au pied sur l’aile droite. Après avoir dépassé la ligne médiane, l’international italien lève la tête avant de destiner un missile longue distance qui ne laisse aucune chance à un TER STEGEN trop avancé. Anthologique, spectaculaire, dramatique.. ITALIEN quoi ! RETTE DE LA ROMA, GOL DE ALLESSANDRO FLORENZI (1-1 Min.31) ! Folie à l’OLIMPICO, un but gravé dans l’histoire du football européen, Catégorie : Buts depuis la ligne médiane..

En seconde période, le FC BARCELONE tente d’élever le rythme du jeu afin d’achever l’adversaire du jour. En dépit de quelques déchet et lenteur, les BLAUGRANAS continuaient à être maîtres du cuir avec une possession qui dépasse les 70% . Seulement, les locaux prenaient de plus en plus de confiance voyant les minutes s’effriter à leur avantage. NEYMAR, SUAREZ et LIO MESSI tous tentèrent leur chance sans réussite ; et c’est alors qu’EL LUCHO décida d’agir en injectant plus de vitesse au milieu avec l’entrée de RAFINHA à la place d’un RAKITIC visiblement encore épuisé. Une minute plus tard, le drame survint quand un tacle assassin du guerrier belge, RADJA NAIGOLAN, met à terre le jeune talent brésilien sur son premier ballon touché. A sol, se tordant de douleur, RAFINHA est obligé de quitter l’OLIMPICO sur une civière, plus tard le verdict tombera : Rupture du ligament croisé du genou droit.. Au moment où sa carrière décollait internationalement avec une sélection en CANARINHA et un but sous les couleurs de son pays natal, le jeune MASIANO dit Adieu à une saison où il était supposé contribuer grandement. De la pure poisse.. Calendrier, arbitrage, blessures.. CONTRA TODO ! Oui,  contre tout, et tout contre nous !  

Se rattrapant avec l’entrée de MASCHERANO à la place du malheureux n°12 barcelonais, EL MISTER tenta d’apporter l’équilibre nécessaire à la défense croyant fortement que le but finira par venir. Seulement, les dieux de l’arène romaine n’étaient pas du côté catalan. Constat confirmé quand LIO MESSI vit son tir spectaculaire du gauche rebondir sur la transversale, et ce avant que JORDI ALBA ne soit dénié en fin de match par la défense ROMANISTA, in-extremis sur la ligne.. Le Barça avait tout fait, rien n’allait faire pencher le score de son côté. Egalité un partout au sifflet final, un score qui ne reflète pas la véritable physionomie de la rencontre puisque seul l’exploit de FLORENZI était à mettre au profit des locaux, et ce lors d’une partie totalement dominée par les visiteurs catalans.

Un point et c’est tout. Le FC BARCELONE démarre ainsi la CHAMPIONS LEAGUE 2015-2016 par un score de parité obtenu à l’issue d’un match où la réussite n’a pas suivi, mais surtout où la plus grande perte fut la blessure de "MIKI" RAFINHA. Au regard des faits du match, certains CULERS pourront dire que les BLAUGRANAS ont laissé filer deux points qu’ils méritaient amplement. Pourtant, l’un des motifs principaux qui font du public du Barça ce qu’il est a été assuré par nos idoles, et de belle manière : C’est le style de jeu, la marque FCB. Là où d’autres équipes auraient pu abandonner leurs principes pour courir vers un score qu’elles n’auraient jamais obtenu, là où certaines équipes auraient commencé à balancer de longs ballons vers la surface adverse pour éviter tout risque et arriver le plus vite au but, le FC BARCELONE joue balle au pied, avec petites passes redoublées et prise de risque à succession. Le Barça joue, joue et rejoue sa marque de fabrique, son style, sans jamais se lasser ou même se déconcentrer au regard des circonstances liées au temps restant ou au score affiché au tableau. Et cela n’a pas de prix. Même pas deux points en phase de groupe de la CHAMPIONS LEAGUE, même pas une année sans titres, ni même une éternité sans sacre..Nous sommes ce que nous sommes, nous ne changerons jamais. Un point, c’est tout.

Som I Serem… Barça ! SEMPRE CONTRA TODO ! 


mercredi 16 septembre 2015

VIDEO-STORY / PREVIA DEL AS ROMA vs FCB / TORNA LA CHAMPIONS /

" TORNA LA CHAMPIONS ! "



VIDEO N°1 // FCB @ ROMA, ITALIA :



VIDEO N°2 // ENTRAINEMENT FCB @ STADIO OLIMPICO, ROMA :




VIDEO N°3 / Conférence de Presse de LUIS ENRIQUE MARTINEZ // Le retour d'EL LUCHO à l'OLIMPICO :  




VIDEO N°4 / Conférence de Presse de JORDI "LA MOTO" ALBA :




VIDEO N°5 / Match N°100 pour LIONEL ANDRES MESSI en UEFA CHAMPIONS LEAGUE : 





I Força Barça !

mardi 15 septembre 2015

CRONICA / ATLETICO MADRID vs FCB (1-2) / LIGA BBVA J3


« REMONTADA AL CALDERON »

Sur la pelouse du terrifiant VICENTE CALDERON, le FC BARCELONE entreprenait l’un des déplacements les plus périlleux de la saison en affrontant l’ATLETICO MADRID pour le compte de la 3ème journée de LA LIGA BBVA. Après 10 jours de dates FIFA, les Blaugranas –dont la plupart sont internationaux- avaient là un Challenge de haut niveau puisqu’ils devaient non-seulement surmonter la fatigue des voyages, les décalages horaires et autres inconvénients ; mais également surmonter un adversaire qui se présente comme un sérieux prétendant au titre, d’autant plus que cette saison, les COLCHOS NEROS se sont armés convenablement lors du MERCADO estival. Sans Gérard PIQUE suspendu, ni DANI ALVES et CLAUDIO BRAVO tous deux blessés, EL MISTER se retrouvait, en plus, momentanément privé de son arme la plus létale : LIONEL ANDRES MESSI qui, outre son déplacement sur le sol de l’oncle Sam pour les deux matchs amicaux avec l’ALBICELESTE, n’avait pas pu s’entraîner en raison d’un heureux événement, celui de la naissance de son deuxième petit, MATTEO MESSI de son nom. Devant toutes ces complications, l’affiche de la 3ème journée laissait prédire une difficulté augmentée, au détriment des catalans, en faveur de l’ATLETI. 

Pour ce choc des prétendants, LUIS ENRIQUE MARTINEZ choisissait d’aligner : TER STEGEN dans les filets, SERGI ROBERTO, MASCHERANO, VERMAELEN et JORDI « LA MOTO » ALBA en défense. Devant eux, BUSQUETS épaulait RAKITIC et « EL MANCHEGO » INIESTA en milieu de terrain ; tandis que l’attaque était composée de « MIKI » RAFINHA, du « MOHICO » NEYMAR, et du « PISTOLERO » SUAREZ. En face, DIEGO SIMEONE affichait son onze type avec, entre autres :  GRIEZMAN et TORRES en attaque, TIAGO, KOKE et le jeune OLIVER TORRES au milieu, ainsi que les deux bouchers uruguayens de service : GODIN accompagné de JIMENEZ en charnière centrale.

Dès les premières minutes de la partie, le Barça installe son jeu dans la moitié de terrain madrilène alors que les locaux affichent un bloc-équipe très compact, très défensif aussi. La première action dangereuse survient dès la 13ème minute suite à un récital technique d’El Picasso INIESTA qui se débarrasse de deux adversaires avant de servir d’un extérieur magique RAKITIC. Ce dernier se retrouve en position de MANO A MANO, mais OBLAK sort le tir d’EL RUBIO au corner. Les madrilènes réagiront par l’intermédiaire d’EL NINO TORRES qui, servi suite à un pressing réussi de GRIEZMAN sur MASCHERANO, frôle le cadre de TER STEGEN. Après 25 minutes de jeu, les catalans manquent de peu l’ouverture du score. Sur un corner botté côté gauche, LUIS SUAREZ parvient à reprendre le ballon au deuxième poteau. EL URUGAYO prend OBLAK à contre-pied mais la transversale refuse le premier but barcelonais.. Pure malchance. Pure poisse même puisque sur ce même corner, une énième blessure du -jusqu’à là- très convaincant VERMAELEN l’oblige à quitter le terrain,  laissant ainsi sa place à JEREMY MATHIEU dans l’axe de la défense catalane. Les minutes suivantes, les deux équipes se neutraliseront jusqu’au BREAK. Seuls faits de match : Deux pénaltys non sifflés par EL SENOR MATEO LAHOZ en faveur du Barça. Rien d’inhabituel pourtant.. Score nul et vierge à la mi-temps. 

En seconde période,  les techniques de motivation appliquées par EL CHOLO SIMEONE lors du Break font leur effet immédiat. Sept minutes seulement après la reprise, GRIEZMAN se charge d’attirer MATHIEU à hauteur de la ligne médiane pour permettre  à THIAGO de destiner une passe parfaite à TORRES dans l’intervalle. Face à TER STEGEN, EL NINO démontre toute sa qualité et sang-froid par une frappe croisée plat du pied droit. Gol d’El ATLETI (1-0 Min.52). 

Et alors qu’on aurait pu prédire que les locaux allaient mener le match vers leur physionomie préférée, en d’autres termes : Coups, fautes, interruptions de jeu et absence d’occasions, LA REMONTADA catalane pousse son premier cri de guerre dans l’enceinte du VICENTE CALDERON après trois minutes seulement d’incertitude ; et ce grâce à un coup-franc magistralement botté par NEYMAR. Un bijou de frappe enveloppé là où OBLAK ne peut que s’étirer avant de reprendre le cuir depuis ses propres filets, battu… Gol d’El Barça ! Gol d’El Barça ! Gol de NEYMAR JUNIOR DA SILVA ! (1-1 Min.55). L’heure est à la joie des CULERS présents à la capitale, une joie réconfortée quand EL MISTER demanda le changement, LIO MESSI se tenant face à la ligne centrale. LA PULGA remplace un RAKITIC épuisé par le virus FIFA, pour permettre au brillant RAFINHA de retrouver son poste de prédilection au milieu, tandis qu’EL TRIDENTE était maintenant complet en attaque. 

Avec EL DIEZ sur le terrain, le jeu BLAUGRANA prit une ampleur supplémentaire, celle nécessaire pour mettre à mort des COLCHOS NEROS totalement dépassés. Sur une action offensive côté gauche, GABI interrompt un mouvement aux limites de la surface entre NEYMAR et JORDI ALBA. NEY ne lâche pas le morceau et dépossède le capitaine madrilène du ballon pour permettre à LA MOTO ALBA de trouver SUAREZ dans la surface. D’une touche magique, LUISITTO sert LIO MESSI qui bat OBLAK de l’extérieur du gauche. Gol d’El Barça ! Gol d’El DIEZ ! Gol de Lionel MESSI (2-1 Min.77) ! Silence au CALDERON. Pouce dans la bouche, LA PULGA dédie la réalisation à son nouveau-né Matéo, les CULERS eux, remercient  Dieu d’avoir fait que le crack argentin soit des leurs.. Même sans entraînement, même épuisé par la distance parcourue pour les yeux de l’ALBICELESTE, MESSI reste décisif et offre au FC BARCELONE une victoire qui vaut son pesant en or. LA PULGA a même pu tout faire, ou presque, pour achever l’ogre madrilène lorsqu’il accéléra pour servir l’intenable SUAREZ face à OBLAK ; mais l’ex-gardien du Benfica dénie EL URUGAYO du pied gauche. Score final : ATLETI 1, Barça 2. 

Ce sont donc trois points en or que les hommes de LUIS ENRIQUE ont pu ramener depuis la capitale. Trois victoires consécutives, neuf points sur neuf possibles qui permettent aux BLAUGRANAS de s’installer dans le fauteuil du leader, là où ils étaient restés à l’issue de la saison précédente. Une victoire qui prouve la capacité de réaction du Barça lors des moments difficiles, et démontre le stade de maturité et d’excellence atteint par le groupe BLAUGRANA, soudé face à toutes les contraintes hasardeuses, ou pas, qu’on lui continue d’imposer en cette entame de saison. Outre la succession compliquée des matchs programmés, les corps arbitraux ne font à chaque affiche que confirmer leur attitude hostile vis-à-vis  de l’équipe catalane. Pour preuve, au moins trois pénaltys flagrants non sifflés par MATEO LAHOZ au profit du Barça, rien qu’on cette seule rencontre. Alors, nos adversaires peuvent jouer des mains, crocheter nos attaquants en pleine surface, se comporter comme dans une arène de lutte ou un simple terrain de Hand-Ball, l’arbitre n’y verra systématiquement que du feu. Ça nous a pris une SUPERCOPA et trois matchs de LIGA pour en être sûrs. Mais voilà, même l’entraîneur de notre adversaire du jour, DIEGO SIMEONE, l’avait déjà déclaré en début de compétition : « Cette saison, tout sera préparé et fait pour que le REAL remporte le titre ». Seulement, ce qu’EL CHOLO a oublié de mentionner, c’est que rien ne peut être fait pour arrêter le talent, la combativité et LA GRINTA quand la réussite les suit. Et le talent, les joueurs du FC BARCELONE en ont. Beaucoup trop même.. Et à l’égard de ceux qui tentent de déjouer les pions de nos matchs, nous comprenons que ceci peut s’avérer agaçant. Mais pour nous, c’est juste.. Renforçant. 

Força Barça ! SEMPRE CONTRA TODO !





vendredi 4 septembre 2015

CRONICA / FCB vs MALAGA (1-0) / LIGA BBVA J2



" THE VERMAELEN EFFECT "


De retour au CAMP NOU, LA LIGA BBVA dont le FC BARCELONE est le tenant du titre, enchantait les milliers de CULERS présents dans l’antre catalan à l’occasion de la deuxième journée qui mettait aux prises les catalans face aux andalous du MALAGA. Après avoir entamé son compteur de points par une victoire difficile en terre basque, le Barça souhaitait doubler sa mise par une deuxième victoire face à des BIANCOCELESTE qui lui avait mené la vie dure à l’occasion de leur confrontation la saison précédente. Fait : MALAGA reste la seule équipe à avoir pu résister à la tempête offensive BLAUGRANA. Bilan : Une victoire au CAMP NOU, et un nul à la ROSALEDA, tous deux en faveur des descendants d’Andalousie.

Pour ce premier match officiel du championnat au CAMP NOU, EL MISTER retrouvait le CRACK brésilien NEYMAR JUNIOR DA SILVA et pouvait ainsi compter sur LA TRIPLETTA offensive au complet, et ce pour la première fois de la saison. Ainsi, au regard des blessures de DANI ALVES, ADRIANO ou encore DOUGLAS, le Onze Blaugrana était composé de : BRAVO en gardien, MASCHERANO et VERMAELEN en charnière centrale, SERGIO ROBERTO et JORDI ALBA sur les côtés. En milieu de terrain, BUSQUETS revenu à temps de sa blessure face à BLIBAO prenait en charge le poste de milieu défensif derrière EL RUBIO RAKITIC et le MANCHEGO INIESTA. En fin, l’attaque redevenait ce que le monde du football craint le plus en la matière avec EL MOHICO NEYMAR, EL PISTOLERO SUAREZ, et LIONEL « EL DIEZ » MESSI. Après la présentation des trophées raflés par le MES QUE lors de la cérémonie de Gala organisée par l’UEFA à l’occasion du tirage au sort de l’UCL, notamment celui du meilleur joueur évoluant dans les championnats européens remporté haut la main par LA PULGA MESSI ; les spectateurs du CAMP NOU s’empressait d’entendre le sifflet initial, espérant que les siens soient à l’abri de tout facteur footballistique, mais surtout arbitral, qui pourraient leur rendre la tâche plus compliquée qu’elle ne devrait l’être. 

Dès les premières minutes, l’équipe AZULGRANA presse son adversaire en quête d’une ouverture rapide du score.  Cet objectif aurait pu être pleinement atteint par l’intenable LUIS SUAREZ, dès la 4ème minute, si l’arbitre de la rencontre n’avait pas décidé d’annuler un but de la tête sur corner signé EL URUGAYO pour une poussée peu évidente. Plus tard, les catalans toucheront même les bois andalous lorsque EL JEFFECITTO MASCHERANO trouve la transversale de KAMENI d’une tête rageuse. Et le premier but du N°14 en bleu et grenat  tarde toujours à venir.. Malgré la pression offensive des locaux, l’ouverture du score tardait à venir, compliquant ainsi toute la physionomie du match. Aux côtés des efforts andalous, les décisions arbitrales participaient tout autant pour garder le MARCADOR à zéro. Pour preuve, deux pénaltys flagrants sont refusés aux hommes de LUIS ENRIQUE : Le premier sur une main flagrante en pleine surface, joueur au sol ; le deuxième suite à un tacle suicidaire sur LA SALTA SUAREZ. Incroyable !

Lors de la seconde mi-temps, les BLAUGRANAS haussent leur rythme de jeu en quête du but salvateur. LIO MESSI se fera le plus dangereux du TRIDENTE ; mais à deux reprises, LA PULGA est dénié par un KAMENI des grands soirs.. Après plusieurs tentatives des locaux, ainsi qu’un énième pénalty non accordé par l’arbitre de la rencontre Monsieur Jaime LATRE, la délivrance survient à la 73ème minute.. Grâce à un centre ingénieux depuis la gauche de la surface, LUIS SUAREZ oblige KAMENI à repousser le ballon maladroitement vers THOMAS VERMAELEN qui ne se fit pas prier pour propulser le cuir dans les filets d’un gauche limpide.. Gol d’El Barça, Gol d’El Barça, Gol de Thomas VERMAELEN (1-0 Min.73) ! Du point de penalty, et même sans attendre ce juste sifflet qui ne serait jamais venu, le défenseur belge confirme son excellent état de forme par une réalisation des plus précieuses ; une réalisation qui vaut trois points que le Barça n’avait pas pu obtenir la saison dernière face à ce même adversaire, sur cette même pelouse. Un indice de l’excellente mentalité du groupe barcelonais, mais surtout, toute une consécration pour Thomas VERMAELEN qui semble enfin prendre sa revanche sur la malchance des blessures..D'autant plus qu'à une minute de la fin du temps réglementaire, le défenseur belge reçoit une ovation du CAMP NOU, offerte par LUIS ENRIQUE à l'occasion de son troisième changement de la partie. Du tout à fait mérité..Comme quoi, par la persistance, l'effort et la persévérance, tout finit par être acquis.          

Victoire par la plus petites des marges donc pour le FC BARCELONE qui empoche sa deuxième victoire en LIGA BBVA. Six points au compteur, deux succès sur deux possibles face à des rivaux qui nous avaient compliqué la tâche pas si loin que ça. Qu’il s’agisse du MALAGA que le Barça n’avait pu battre la saison précédente, ou de l’ATHLETIC qui avait dénié les CULERS de leurs rêves de REPOKER il y a quelques jours seulement, les deux victoires acquises en championnat relèvent des indices d’amélioration, celle qui doit être soulignée lors des parties compliquées ou le score importe le plus. Certes, pour tout BARCELONISTA convaincu, la manière doit impérativement y être ; mais devant le manque de préparation de certains éléments clés, la fatigue, les blessures, ou encore le manque de compétitivité à ce stade de la saison, il est impératif de prendre tous les points possible dans l’attente du perfectionnement. Malheureusement, les complications dues à la planification du calendrier en cette entame de saison font qu’à la succession d’adversaires tenaces et dangereux, s’ajoutent ces dates FIFA qui obligent les internationaux BLAUGRANAS à servir leur nations respectives loin de la Catalogne, l’espace de quelques 10 jours. Voyages, longues distances à parcourir, mais surtout pression médiatique et publique pour certains ; les hommes de LUIS ENRIQUE devront déjà puiser dans leurs ressources physiques et mentales puisqu’au retour, un déplacement périlleux au VICENTE CALDERON les attend. Là où le Barça avait plié LA LIGA la saison précédente, là où les COLCHOS NEROS nous attendrons de pied ferme. Trois jours après, ROMA et son splendide OLIMPICO..  Périlleux sont ces déplacement, oui.. Mais spectaculaires, aussi.. N’est-ce pas la beauté du football ? N’est-ce pas le prix du sacre, celui à payer pour marquer l’histoire ?  

" Visca Barça !  Sempre Contra Todo ! "