" THE VERMAELEN EFFECT "
De retour au CAMP NOU, LA LIGA
BBVA dont le FC BARCELONE est le tenant du titre, enchantait les milliers de
CULERS présents dans l’antre catalan à l’occasion de la deuxième journée qui
mettait aux prises les catalans face aux andalous du MALAGA. Après avoir entamé
son compteur de points par une victoire difficile en terre basque, le Barça
souhaitait doubler sa mise par une deuxième victoire face à des BIANCOCELESTE
qui lui avait mené la vie dure à l’occasion de leur confrontation la saison
précédente. Fait : MALAGA reste la seule équipe à avoir pu résister à la
tempête offensive BLAUGRANA. Bilan : Une victoire au CAMP NOU, et un nul à
la ROSALEDA, tous deux en faveur des descendants d’Andalousie.
Pour ce premier match officiel du
championnat au CAMP NOU, EL MISTER retrouvait le CRACK brésilien NEYMAR JUNIOR
DA SILVA et pouvait ainsi compter sur LA TRIPLETTA offensive au complet, et ce
pour la première fois de la saison. Ainsi, au regard des blessures de DANI
ALVES, ADRIANO ou encore DOUGLAS, le Onze Blaugrana était composé de :
BRAVO en gardien, MASCHERANO et VERMAELEN en charnière centrale, SERGIO ROBERTO
et JORDI ALBA sur les côtés. En milieu de terrain, BUSQUETS revenu à temps de
sa blessure face à BLIBAO prenait en charge le poste de milieu défensif
derrière EL RUBIO RAKITIC et le MANCHEGO INIESTA. En fin, l’attaque redevenait
ce que le monde du football craint le plus en la matière avec EL MOHICO
NEYMAR, EL PISTOLERO SUAREZ, et LIONEL « EL DIEZ » MESSI. Après la
présentation des trophées raflés par le MES QUE lors de la cérémonie de Gala
organisée par l’UEFA à l’occasion du tirage au sort de l’UCL, notamment celui
du meilleur joueur évoluant dans les championnats européens remporté haut la
main par LA PULGA MESSI ; les spectateurs du CAMP NOU s’empressait
d’entendre le sifflet initial, espérant que les siens soient à l’abri de tout
facteur footballistique, mais surtout arbitral, qui pourraient leur rendre la
tâche plus compliquée qu’elle ne devrait l’être.
Dès les premières minutes,
l’équipe AZULGRANA presse son adversaire en quête d’une ouverture rapide du
score. Cet objectif aurait pu être
pleinement atteint par l’intenable LUIS SUAREZ, dès la 4ème minute, si
l’arbitre de la rencontre n’avait pas décidé d’annuler un but de la tête sur
corner signé EL URUGAYO pour une poussée peu évidente. Plus tard, les catalans
toucheront même les bois andalous lorsque EL JEFFECITTO MASCHERANO trouve la
transversale de KAMENI d’une tête rageuse. Et le premier but du N°14 en bleu et
grenat tarde toujours à venir.. Malgré
la pression offensive des locaux, l’ouverture du score tardait à venir,
compliquant ainsi toute la physionomie du match. Aux côtés des efforts
andalous, les décisions arbitrales participaient tout autant pour garder le
MARCADOR à zéro. Pour preuve, deux pénaltys flagrants sont refusés aux hommes
de LUIS ENRIQUE : Le premier sur une main flagrante en pleine surface,
joueur au sol ; le deuxième suite à un tacle suicidaire sur LA SALTA
SUAREZ. Incroyable !
Lors de la seconde mi-temps, les
BLAUGRANAS haussent leur rythme de jeu en quête du but salvateur. LIO MESSI se
fera le plus dangereux du TRIDENTE ; mais à deux reprises, LA PULGA est
dénié par un KAMENI des grands soirs.. Après plusieurs tentatives des locaux,
ainsi qu’un énième pénalty non accordé par l’arbitre de la rencontre Monsieur
Jaime LATRE, la délivrance survient à la 73ème minute.. Grâce à un
centre ingénieux depuis la gauche de la surface, LUIS SUAREZ oblige KAMENI à
repousser le ballon maladroitement vers THOMAS VERMAELEN qui ne se fit pas
prier pour propulser le cuir dans les filets d’un gauche limpide.. Gol d’El Barça,
Gol d’El Barça, Gol de Thomas VERMAELEN (1-0 Min.73) ! Du point de
penalty, et même sans attendre ce juste sifflet qui ne serait jamais venu, le
défenseur belge confirme son excellent état de forme par une réalisation des
plus précieuses ; une réalisation qui vaut trois points que le Barça
n’avait pas pu obtenir la saison dernière face à ce même adversaire, sur cette
même pelouse. Un indice de l’excellente mentalité du groupe barcelonais, mais
surtout, toute une consécration pour Thomas VERMAELEN qui semble enfin prendre
sa revanche sur la malchance des blessures..D'autant plus qu'à une minute de la fin du temps réglementaire, le défenseur belge reçoit une ovation du CAMP NOU, offerte par LUIS ENRIQUE à l'occasion de son troisième changement de la partie. Du tout à fait mérité..Comme quoi, par la persistance, l'effort et la persévérance, tout finit par être acquis.
Victoire par la plus petites des
marges donc pour le FC BARCELONE qui empoche sa deuxième victoire en LIGA BBVA. Six
points au compteur, deux succès sur deux possibles face à des rivaux qui nous
avaient compliqué la tâche pas si loin que ça. Qu’il s’agisse du MALAGA que le
Barça n’avait pu battre la saison précédente, ou de l’ATHLETIC qui avait dénié
les CULERS de leurs rêves de REPOKER il y a quelques jours seulement, les deux
victoires acquises en championnat relèvent des indices d’amélioration, celle
qui doit être soulignée lors des parties compliquées ou le score importe le
plus. Certes, pour tout BARCELONISTA convaincu, la manière doit impérativement
y être ; mais devant le manque de préparation de certains éléments clés,
la fatigue, les blessures, ou encore le manque de compétitivité à ce stade de
la saison, il est impératif de prendre tous les points possible dans l’attente
du perfectionnement. Malheureusement, les complications dues à la planification
du calendrier en cette entame de saison font qu’à la succession d’adversaires
tenaces et dangereux, s’ajoutent ces dates FIFA qui obligent les internationaux
BLAUGRANAS à servir leur nations respectives loin de la Catalogne, l’espace de
quelques 10 jours. Voyages, longues distances à parcourir, mais surtout
pression médiatique et publique pour certains ; les hommes de LUIS ENRIQUE
devront déjà puiser dans leurs ressources physiques et mentales puisqu’au
retour, un déplacement périlleux au VICENTE CALDERON les attend. Là où le Barça
avait plié LA LIGA la saison précédente, là où les COLCHOS NEROS nous
attendrons de pied ferme. Trois jours après, ROMA et son splendide OLIMPICO.. Périlleux sont ces déplacement, oui.. Mais spectaculaires,
aussi.. N’est-ce pas la beauté du football ? N’est-ce pas le prix du sacre,
celui à payer pour marquer l’histoire ?
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