jeudi 30 octobre 2014

CRONICA / FCB vs RCD ESPANYOL (1-1 / 4-2 ) / SUPERCOPA DE CATALUNYA 2014-15

" Rien de mieux pour se rétablir d’une défaite en CLASSICO à Madrid que d’être Superchampion de la CATALOGNE à GIRONA "

Le FC BARCELONE a remporté, ce Mercredi à GIRONA, la première édition de la SUPER COPA DE CATALUNYA en s’imposant face au RCD ESPANYOL. Cette compétition qui a été reformulée par la FCF (Fédération Catalane de Football) a déjà été remportée 7 fois par les BLAUGRANAS dans ses formule précédentes.

Le match qui s’est déroulé au stade du MONTILIVI a connu une nette domination des hommes de LUIS ENRIQUE. EL MISTER a d’ailleurs opté pour un onze titulaire rempli de nouveautés avec JORDI MASIP dans les filets, ADRIANO en arrière droit, PIQUE et BARTRA dans l’axe de la défense et JORDI ALBA en arrière gauche. Le milieu de terrain a été confié à SERGI SAMPER, SERGI ROBERTO et RAFINHA ALCANTARA tandis que l’attaque était composée de PEDRO, MUNIR et LUIS SUAREZ.

Le Barça n’a pas tardé à marquer la partie de son empreinte par l’intermédiaire de Gérard PIQUE. Le N°3 catalan a ouvert le score dès la 15ème minute suite à un travail remarquable de LUIS SUAREZ. Malgré plusieurs occasions, LOS AZULGRANAS ne parviendront pas à doubler la marque et ce sera finalement le RCD ESPANYOL qui reviendra au score à la 50ème minute par l’intermédiaire de ARBILLA sur coup-franc direct.

Finalement, ce seront les hommes en bleu et grenat qui remporteront le trophée dans leur musée suite à une séance de tirs au but qui a vu SANDRO rater son penalty, et MASIP arrêter le tir du buteur ARBILLA. Quatre à Deux lors de cette séance qui a été clôturée par le tir victorieux de IVAN RAKITIC.

Oui, rien de mieux pour se rétablir d'une défaite en CLASSICO à MADRID que d'être SUPERCHAMPION de la CATALOGNE à GIRONA.

VISCA BARCA, VISCA CATALUNYA ! 

VIDEO / RESUMEN DEL PARTIT: 

lundi 27 octobre 2014

CRONICA / EL CLASSIC : RMD vs FCB (3-1) / LIGA BBVA J9

" Egarés en plein CLASSIC "

Après plusieurs semaines d’attente, de prévisions, d’analyses et de pronostics, l’heure de la vérité sonnait au SANTIAGO BERNABEU, terre du rival éternel, pour EL CLASSICO DE LOS CLASSICOS : REAL MADRID – FC BARCELONE, une 9ème journée de LIGA qui divise, transcende et submerge toute la planète footballistique. EL CLASSIC, la confrontation entre CULES et MERENGUES, le choc de deux conceptions différentes de ce « Sport » qui nous tient tous en passion.  Une histoire de cœur, de politique, de principes sociaux…Et de football aussi. Tout différencie les deux entités, rien ne les unie. La discorde entre le Barça et le club de la capitale ne sera jamais réglée, même si en l’espace de 90 minutes, un bilan momentané est dressé pour rendre fier les uns, et faire sombrer les autres dans le sombre, la honte de la défaite.

C’est le premier CLASSICO de LUIS ENRIQUE en tant qu’entraîneur du FC BARCELONE. L’homme du changement était donc mis en examen face à notre plus rude adversaire. Une confrontation de style donc, mais également une confrontation de chiffres : La plus forte défense du championnat espagnol, le FC BARCELONE qui n’avait toujours pas encaissé le moindre but, face à la plus forte attaque de LA LIGA, le REAL MADRID, fort d’une triplette amoindrie par l’absence de GARETH BALE. Les rôles ne sont pas-t-ils inversés ?? En tout cas, le Barça se présentait au BERNABEU avec une confiance aux sommets, et pour cause, les CULES allaient assister au retour sur les terrains de leur transfert BOMBA de cet été : LUIS SUAREZ alias EL PISTOLERO refoulait les pelouses après 4 mois de suspension. Une heure avant le début du CLASSIC, la nouvelle tombe : LA SALTA SUAREZ est titulaire. Rien de mieux pour monter à bloc la confiance BLAUGRANA.

Ainsi, pour ce match où l’enjeu est plus que points, EL MISTER choisit d’aligner BRAVO dans les filets, DANI « EL GATO » ALVES sur la bande droite, PIQUE et « EL JEFFECITTO » MASCHERANO dans l’axe de la défense, et enfin JEREMY MATHIEU –préféré à JORDI ALBA- en poste d’arrière gauche. Au milieu de terrain, le triangle du BARCA DE LAS SEIS COPAS était de rigueur avec  BUSQUETS en sentinelle, XAVI en MAESTRO et INIESTA en milieu offensif. En attaque, ce sont trois noms qui allaient être alignés ensemble pour la première fois de l’histoire AZULGRANA.. Trois noms qui, rien qu’en les entendant, font peur : NEYMAR-SUAREZ-MESSI ; LA TRIPLETTA est désormais réalité. En face, CARLO ANCELOTTI pouvait compter sur le « revenant » CASILLAS dans la cage, une défense classique avec les bouchers BLANCOS de service, mais une équipe dépourvue de milieu défensif pur avec KROOS et MODRIC en numéros 8, et JAMES-ISCO-RONALDO et BENZEMA pour la manœuvre offensive. Messieurs, tout est en place, à vous de nous faire vibrer : QUE ARRANCA EL CLASSIC !

Rapidement dans le vif du sujet, les deux camps se passent de toute introduction et c’est le Barça qui s’approprie les lumières de la gloire.  Dès la 4ème minute, les MERENDUES présents au BERNABEU reçoivent la douche froide en regardant leur pire adversaire ouvrir le score. Sur un mouvement initié par Lionel MESSI dans le camp BLAUGRANA, LA PULGA se débarrasse de deux adversaires avant de décaler LUIS SUAREZ positionné sur la bande droite. LA SALTA destine un centre précis pour renverser le jeu du côté gauche où NEYMAR est à l’entrée de la surface. NEY contrôle le cuir, élimine CARVAJAL d’un crochet extérieur puis PEPE avant de placer le ballon d’un intérieur du droit létal au ras du deuxième poteau de CASILLAS. GOL DEL BARCA ! GOL DE NEYMAR JUNIOR DA SILVA (4’) !   

Piqués dans le vif, les locaux s’acharnent pour revenir rapidement au score. Karim BENZEMA trouve alors la transversale de la tête sur un centre de RONALDO depuis l’aile gauche. Le match gagne alors en intensité, et l’arbitre Monsieur GIL MANZANO se trouve emporté par la pression du BERNABEU. Lionel MESSI puis NEYMAR sont avertis sur deux fautes anodines. Après un quart d’heure de pression madrilène, le Barça reprend le contrôle de la partie dès la 17ème minute et on revoit les catalans au meilleur de leur jeu. Après un tir croisé dans les mains de CASILLAS, LIO MESSI rate à la 23ème ce qui devrait être qualifié de « Tournant du Match ». Suite à un centre précis de LUIS SUAREZ, LA PULGA se retrouve seul face à la cage mais son intérieur du gauche est touché in-extremis par CASILLAS qui dévie le ballon au corner : C’est tout juste incroyable, un but tout fait que la simple malchance ne tolère pas !

C’est alors que la partie changea de camp, le REAL retrouve les sensations offensives et les erreurs catalanes lui facilite la tâche du retour. Sur un dédoublement côté gauche, MARCELO déborde puis centre à ras terre en direction de la surface. Erreur de débutant, PIQUE touche le ballon de la main : PENAL pour le REAL. A la transformation, CRISTIANO « LA MUNECA » RONALDO qui inflige à BRAVO le premier but de sa saison et met ainsi fin à son record historique d’invincibilité (35’).Un à un,  retour à la case départ  pour les hommes de LUIS ENRIQUE qui avaient jusqu’à là l’ascendant, au jeu et au score, mais qui sont finalement obligés à regagner les vestiaires à la mi-temps avec un gout amer : Le Barça aurait pu tuer le match mais la réussite ne les aura pas suivis.
Après la pause, c’est une partie foncièrement différente à laquelle assistent LOS CULES qui voient leurs idoles sombrer dans les erreurs du passé. Cinq minutes après la reprise, et sur un corner de Tony KROOS côté droit, PEPE se retrouve esseulé au 2ème poteau pour inscrire de la tête le 2ème but des siens (50’). Euphorie dans les gradins, euphorie dans le camp madrilène, et un sentiment d’incapacité côté BLAUGRANA face à ce mal historique que représentent les coups de pied arrêtés pour le Barça.  
Malgré un tir puissant de MATHIEU dévié par CASILLAS, les catalans avaient déjà donné leur langue au chat et le score était déjà plié pour les hommes de LUIS ENRIQUE : Ils allaient perdre EL CLASSIC. Pour preuve, 10 minutes seulement après le premier coup, le deuxième intervient sur une erreur magistrale d’entente entre INIESTA et MASCHERANO. Un ballon anodin renvoyé sur corner par la défense BLANCO et suivi par ISCO est mal géré par le duo ANDRES-JAVIER qui laissent le jeune madrilène s’échapper vers la surface. Le ballon parvient à RONALDO qui lance JAMES à l’entrée de la surface, ce dernier sert BENZEMA dans le carré et l’attaquant français n’a plus qu’à croiser son tir pour battre BRAVO pour la 3ème fois de la soirée. GOL DEL CONJUNTO BLANCO (61’). En 10 minutes, les BLAUGRANAS accusent le naufrage footballistique, un corner et un contre, du pur REAL MADRID pour déstabiliser tout espoir CULE de victoire.

Hormis deux « petites » occasions de l’entrant RAKITIC qui croise trop son tir et de NEYMAR qui tente la tête sur un centre du brillant, et surprenant, LUIS SUAREZ ; les catalans ne font que constater la défaite. C’est une incapacité offensive qui se traduit par l’absence de réel danger. Malgré l’entrée de PEDRO à la place de SUAREZ, puis de SERGI ROBERTO à la place de INIESTA blessé, rien ne change du côté BLAUGRANA.. C’est le silence face au rival éternel qui a su profiter des moments clés de la partie, des moments clés où le Barça a manqué de lucidité. Des erreurs qui nous ont coutés un CLASSIC ; et tandis que les OLES retentissaient du BERNABEU, nous ne pouvions que lamenter notre défaite dans l’attente du sifflet salvateur.  

C’est la première défaite du FC BARCELONE en LIGA, une défaite qui outre la perte de points, intervient face au rival éternel qui semble être toujours sur le nuage de l’après DECIMA. Trois buts à Un, un score net qui sanctionne LUIS ENRIQUE pour son premier CLASSICO et met au clair les faiblesses de l’entité BLAUGRANA. Battus sur le plan physique, mais également mental, les hommes d’EL LUCHO ont commis des erreurs couteuses tant dans leur positionnement sur le terrain que dans leur comportement en possession du ballon. Le rival lui, a su en profiter pleinement. Deux balles arrêtées et une contre-attaque, c’est tout ce qu’il fallait au BLANCOS pour empocher une victoire bien méritée. Du REAL MADRID classique pour nous faire prendre conscience que nous devons encore nous améliorer sur plusieurs aspects de jeu si nous voulons, espérer, battre des adversaires de ce type-là. Des adversaires qui n’ont pas besoin de beaucoup de possession pour arriver à leur but, tandis que nous, nous adulons, et adulerons toujours la possession, les redoublements de passe, les triangulations, l’attaque construite et l’offensive à répétition… Et ce n’est pas une défaite dans un CLASSIC, une saison ni même un décennie d’échecs qui nous fera changer d’avis, d’amour.. de passion.

« SER DEL BARCA, ES EL MILLOR QUE HI HA...

FORCA CULES ! »       


samedi 25 octobre 2014

FORMATION FCB vs RMD / #CLASSICFCB


Nous connaissons désormais l'Onze titulaire aligné par EL LUCHO ENRIQUE pour son premier CLASSIC. Au BERNABEU, le Barça évoluera avec : BRAVO dans la cage, DANI ALVES, PIQUE, MASCHERANO, et MATHIEU en position d'arrière gauche. Au milieu du terrain : SERGIO BUSQUETS, XAVI HERNANDEZ -préféré finalement à RAKITIC- et INIESTA. En attaque, c'est la bonne nouvellle : SUAREZ est titulaire aux côtés de NEYMAR et LA PULGA MESSI.

VISCA BARCA !
#CLASSICFCB

vendredi 24 octobre 2014

VIDEO / ENTRAINEMENT FCB DU 24/10/2014



Final training ahead of the Clasico (24/10/14) par fcbarcelona

Dernier entraînement avant EL CLASSIC pour les hommes de LUIS ENRIQUE. Le Barça finalise ainsi sa préparation en vue du clash de Samedi face au rival éternel.

Pour le déplacement au SANTIAGO BERNABEU, EL MISTER aura à sa disposition la totalité de l'attaque FCB, et ce pour la première fois de la saison. MUNIR, SANDRO, PEDRO, NEYMAR, SUAREZ et MESSI sont tous prêts pour servir et faire valoir leurs qualités de CRACKS et faire ainsi vibrer les filets madrilènes.

Lors de cet entraînement, SERGIO BUSQUETS, absent lors de la dernière rencontre face à l'AJAX, a également complété la séance sans aucun mal. BUSI devrait donc être titulaire face au REAL ce qui laisserait à EL LUCHO le choix d'intégrer MASCHERANO dans l'axe de la défense.

FORCA BARCA ! 

VIDEO / MESSI..EL REY DE ASISTENCIAS EN EL CLASSIC



Messi, el rey de las asistencias en el Clásico par fcbarcelona

Dans un registre autre que celui de SERIAL KILLER des BLANCOS, LIONEL MESSI se distingue par ses chiffres impressionnants en matière de passes décisives.En effet, EL DIEZ en est à 12 passes décisives face au rival éternel en 28 CLASSICOS.

ETOO, HENRY, INIESTA, ALEXIS, PEDRO, et CESC FABREGAS sont les joueurs qui ont pu profiter de ces services inestimables..

Demain viendra peut être le tour d'un autre nom pour s'ajouter à cette liste, qui sait..En tout cas, LIO sera d'attaque..pour marquer, pour passer...Pour vaincre.

VAYAS PULGA ! 

jeudi 23 octobre 2014

CRONICA / FCB vs AJAX (3-1) / UCL J3

« Du football.. Du vrai. »

A quatre jours du CLASSICO, le FC BARCELONE retirait le dossier européen en recevant les néerlandais de l’AJAX AMSTERDAM pour le compte de la 3ème journée du Groupe H. Le Barça, qui s’était incliné lors de sa dernière sortie face au PSG, n’avait plus de choix que de remporter les 3 points de la victoire afin d’éviter tout calcul pour la qualification. La tête au BERNABEU, les hommes de LUIS ENRIQUE se devaient de gérer leurs dépenses physiques sans pour autant affecter leur débit de jeu, face à un adversaire dont les idées footballistiques ne diffèrent pas beaucoup des leurs. D’ailleurs, l’entraîneur aux commandes de l’AJAX n’est autre que l’ex-BLAUGRANA FRANK DE BOER qui avait lui-même expérimenté le FOOTBALL TOTAL de ses mentors, RINUS MICHELS ou JOHANN CRUYFF, tel qu’il fut amélioré par l’entité FCB. C’est ce même FRANK DE BOER d’ailleurs qui avait obligé le Barça d’EL TATA MARTINO à s’incliner lors d’un match retour euphorique à l’AMSTERSDAM ARENA.

Pour cette exhibition du football total, LUIS ENRIQUE ménageait son onze titulaire sans les absents ADRIANO, DOUGLAS et SERGIO BUSQUETS pour cause de blessure, et sans MATHIEU, MASIP, SERGI ROBERTO et VERMAELEN pour décision technique ni SUAREZ qui purgeait sa dernière date de suspension. Ainsi, TER STEGEN –Le titulaire en C1-  était aligné au poste de gardien, alors que DANI ALVES, PIQUE, BARTRA et ALBA composaient la défense. Au milieu de terrain, MASCHERANO réendossait son poste de n°6 pour la deuxième partie consécutive, tandis que le capitaine XAVI HERNANDEZ restait au banc pour permettre à RAKITIC de reprendre ses galons de titulaire. En attaque, le trio le plus habituel d’EL LUCHO avec PEDRO-NEYMAR-MESSI était de rigueur.

Sans introductions, le Barça entame le mach sur les chapeaux de roue. Sept minutes, c’est tout ce dont avaient besoin les BLAUGRANAS pour déstabiliser leur adversaire du jour. Sur un mouvement emmené par LIONEL MESSI, LA PULGA ARGENTINA accélère depuis les 40 mètres avant de glisser le ballon vers NEYMAR positionné à gauche de la surface. NEY ne fait pas dans le détail : Ballon enveloppé de l’intérieur du pied au 2ème poteau, aucune chance pour le gardien CILESSEN qui ne peut que constater les dégâts (1-0). Il est en feu, NEYMAR, qui ne cesse d’améliorer ses chiffres de buteur depuis le début de cette saison, alors que LIONEL lui, confirme son statut de maître des passes décisives.          

En TOTAL CONTROL, les catalans ne manquent pas de rythme offensif et leurs adversaires ne peuvent que les suivre des regards. Résultat :  Un deuxième but à la 23ème minute par l’intermédiaire de l’intenable LIO MESSI. Sur une récupération haute d’EL JEFFECITO MASCHERANO, INIESTA reçoit le ballon à hauteur de la ligne médiane pour destiner une passe appuyée vers MESSI lancé en pleine course. EL DIEZ contrôle le ballon en pleine surface, résiste à la charge du défenseur, avant de croiser un plat de pied létal qui, même si touché par le gardien, finit sa destinée dans les filets néerlandais (2-0). GRANDE LIONEL !

A la demi-heure de jeu, le son des bois retentit au CAMP NOU. Sur une action menée par NEYMAR, MESSI décale PEDRO à droite de la surface mais le tir croisé du CANARI bute sur le poteau gauche de CILESSEN. Visiblement, la poisse ne veut pas se défaire de notre pauvre PEDRO qui ne peut que se lamenter sur son sort. L’AJAX sous la domination catalane, les BLAUGRANAS ahurissaient le compteur de possession pour enregistrer 74 % aux bénéfices des hommes d’EL LUCHO, ainsi qu’un incroyable chiffre de 260 passes réussites contre 85 pour les visiteurs en seulement une demi-heure de jeu.. Ça, c’est du football. D’ailleurs, les catalans auraient pu rendre l’addition plus salée sur un effort individuel du surprenant INIESTA EL MANCHEGO, plein axe, qui se défait de trois défenseurs avant de buter face à un CILESSEN bien positionné. La première mi-temps prend ainsi fin sur un score net de 2-0 et une domination plus que probante des AZULGRANAS.

Après le break, les barcelonais lèvent le pied et laissent souffler leurs adversaires. Seul EL DIEZ continuait à assaillir la défense néerlandaise, il marquera même un but qui lui sera refusé pour cause d’hors-jeu puis fera vibrer le petit filet de CILESSEN pour déclencher les cris du CAMP NOU. A l’heure de jeu, EL MISTER fit tourner son effectif en prévision d’EL CLASSIC.NEYMAR est le premier à être rappelé au banc pour laisser sa place à SANDRO RAMIREZ. Six minutes plus tard, l’instant tant commenté par les médias pendant le match face à EIBAR relatif à l’incapacité d’EL LUCHO de faire sortir LIO MESSI est démenti lorsque LA PULGA céda sa place à MUNIR. Enfin, le troisième réglage de LUIS ENRIQUE portera sur le capitaine de la soirée, EL MACHEGO INIESTA qui est remplacé par le revenant RAFINHA.

Suite à cette coupure de rythme, les hommes de FRANK DE BOER saisiront leurs chances par l’intermédiaire du remplaçant ANWAR EL GHAZI, 2 minutes avant la fin du temps réglementaire. Sur un instant de flottement de la défense catalane, MILIK de reprendre le ballon en pleine surface. Malgré un retour courageux de l’excellent MARC BARTRA, EL GHAZI suit le ballon pour battre TER STEGEN du gauche (88’).

Réveillés par ce retournement de situation, LOS AZULGRANAS ne tardent pas à remettre les pendules à l’heure. Sur une action fulgurante de rupture menée par MUNIR côté droit, le ballon est transmis à PEDRO qui le touche vers RAFINHA, lancé en plein axe. Le MASIANO décale SANDRO à gauche de la surface et le CANARI ne se fait pas prier pour démontrer toute l’ampleur de son talent : Ballon croisé du gauche qui dépasse CILESSEN au 2ème poteau (93’). Quelle fin de match !

Ce sont donc trois précieux points qui ont été mérités, et remportés par les hommes de LUIS ENRIQUE à l’issue d’une partie plaisante de football. Du football comme on l’aime, du jeu, du rythme, pas de retenue, pas de calculs.. Rien de mieux que deux équipes qui adulent la possession de balle et l’offensive répétée pour présenter un plat somptueux de foot aux spectateurs européens. Grace à ce score, les catalans rehaussent leurs chances de qualification malgré la victoire in-extremis du PSG face à l’APOEL NICOSIA. Barça-AJAX a donc parfaitement tenu ses promesse ; mais après la ressemblance, la similarité, vient le contraste, la différence, l’opposition.. C’est le CLASSICO DE LOS CLASSICOS, une partie qui transcende toute appartenance pour tenir en laisse toute la planète footballistique, le temps d’une partie.  Nous avons nos principes, ils ont les leurs.. A nous maintenant de leur démontrer ce qu’est le Football.. Celui du Barça.. Bref, Le vrai.


FORCA BARCA ! FORCA CULES !  

mardi 21 octobre 2014

FCB vs AJAX / VIDEO : Conférences de Presse de NEYMAR et LUIS ENRIQUE MARTINEZ :


FCB vs AJAX / Liste des convoqués :


Pour le match d’aujourd’hui face à l’AJAX en CHAMPIONS LEAGUE, LUIS ENRIQUE a fait appel à une liste  de 18 joueurs en l’absence de MATHIEU, VERMAELEN, MASIP et SERGI ROBERTO pour décision technique, de SUAREZ pour sanction, et de ADRIANO et DOUGLAS pour cause de blessure. 

SERGIO BUSQUETS a finalement lui aussi été écarté de la convocation, par précaution, en raison d’une légère contusion, et c'est le jeune mais brillant SERGI SAMPER qui en profite pour revenir dans le groupe. 


Ainsi, les convoqués pour le match de ce soir sont : Ter Stegen, C. Bravo, Montoya, Piqué, Rakitic, Xavi, Pedro, A. Iniesta, Messi, Neymar Jr, Rafinha, Mascherano, Bartra, Jordi Alba, Dani Alves, Samper, Sandro et Munir.

BON SEMANA DE CLASSIC !


Afin d’affronter le rival éternel dans les meilleures conditions possibles, EL MISTER LUIS ENRIQUE a prévu un programme de préparation spécifique pour son groupe lors de LA SEMANA DEL CLASSIC. Une semaine décisive, tant en Champions League qu’en LIGA.  

Pas de repos, entraînement quotidiens prévus en vue d’entreprendre à bien d’abord le choc face à l’Ajax, puis de pouvoir récupérer en fraicheur et explosivité physique pour entamer le voyage vers la capitale avec la rage de la victoire.

Voici donc le Programme :
LUNDI 20 :
11.00 : Entrenament a la Ciutat Esportiva Joan Gamper
MARDI 21 :
11.00 : Entrenament a la Ciutat Esportiva Joan Gamper
20.45 : Partit al Camp Nou : // FC Barcelona-Ajax //
MERCREDI 22 :
11.00 : Entrenament a la Ciutat Esportiva Joan Gamper
JEUDI 23 :
11.00 : Entrenament a la Ciutat Esportiva Joan Gamper
VENDREDI 24 :
11.00 hores: Entrenament a la Ciutat Esportiva Joan Gamper
SAMEDI 25 :
9.30 : Entrenament a la Ciutat Esportiva Joan Gamper dels jugadors no convocats
18.00 : Partit al Santiago Bernabéu : // Real Madrid CF-FC Barcelona //
DIMANCHE 26 :
FESTA


BON SEMANA DE CLASSIC !    

SORTEO DE LA COPA DEL REY 2014/2015


SORTEO DE LA COPA DEL REY 2014/2015

Le FC BARCELONE connaît désormais ses adversaires en COPA DEL REY. Suite au tirage au sort, les BLAUGRANAS affronteront le 3 et 17 Décembre le SD HUESCA lors des 16èmes de finale, avant de rencontrer le vainqueur de la confrontation entre VALLADOLID et ELCHE.

Il est à rappeler qu’en cas de qualification, le Barça pourrait rencontrer le vainqueur d’un choc pressenti entre le REAL DE MADRID et l’ATLETICO, ce qui présenterait une grande affiche du football espagnol avant même d’atteindre le carré d’Or.

FORCA BARCA ! 

lundi 20 octobre 2014

CRONICA / FCB vs EIBAR (3-0) / LIGA BBVA J8

« A sept jours du CLASSICO »

Sur la pelouse mythique du CAMP NOU, le FC BARCELONE recevait l’un des nouveaux promus en LIGA BBVA, l’équipe de l’EIBAR, pour le compte de la 8ème journée. Après 10 jours de dates FIFA, les hommes de LUIS ENRIQUE reprenaient les affaires dans un championnat où ils continuent à être LEADER sans avoir encaissé de buts. Seulement, ce match contre l’EIBAR s’apparentait plus à une préparation, et pour cause, la prochaine journée de LIGA ne sera autre qu’EL CLASSICO DE LOS CLASSICOS avec un déplacement tant attendu vers la terre du rival éternel : Le SANTIAGO BERNABEU. Chaque chose en son temps, les trois points face à EIBAR n’allaient pas seulement servir au compteur, il s’agissait également de gérer la récupération des joueurs internationaux, de ne pas gaspiller d’efforts à 3 jours de la réception de l’AJAX en Champions League, et enfin, de faire le plein de confiance côté joueurs, et côté public, en prévision du choc face au REAL.

Pour toutes ces raisons, EL MISTER choisit de laisser au repos MONTOYA, RAKITIC, SERGIO BUSQUETS, VERMAELEN et MASIP ; INIESTA était mis au banc tandis que DOUGLAS, blessé, et SUAREZ, qui purgeait sa dernière journée de sanction en LIGA, complétaient le groupe des  absents. Ainsi, l’invincible BRAVO tenait la cage, DANI ALVES, PIQUE, MATHIEU et ALBA formaient la ligne de défense, EL JEFFECITO MASCHERANO reprenait le poste de milieu défensif, tandis que le capitaine XAVI était accompagné du jeune SERGI ROBERTO au milieu de terrain. En attaque, c’est finalement PEDRO qui a été choisi pour compléter le trio aux côtés des « intouchables » NEYMAR Jr et LIONEL « EL DIEZ » MESSI.

Outre les préparatifs traditionnels, dans les coulisses du CAMP NOU, on avait également prévu une probable célébration : Celle au cas où MESSI déciderait d’égaliser le record historique de ZARRA en marquant les deux buts qui le séparent désormais de l’emblématique chiffre du buteur historique de tous les temps en LIGA : 251 buts. Car avec LA PULGA, il faut s’attendre à tout.. Sauf s’il décide de forcer le BERNABEU aux applaudissements, mais ça, c’est une autre histoire.

Dès l’entame de la partie, le Barça contient son adversaire en s’appropriant la possession du ballon. La première occasion de la partie est à mettre au compte de PIQUE qui, de la tête, ne parvient pas à trouver le cadre suite à un corner de XAVI. Le premier réel danger catalan interviendra à la 20ème minute. A droite de la surface, Lio MESSI combine en une-deux avec ALVES pour se retrouver face au gardien. Malgré l’angle fermé, EL DIEZ tenta le petit pond mais IRURETA dévie le cuir au corner. Tandis que les BLAUGRANAS monopolisaient le ballon, ils n’arrivaient cependant pas à élever le rythme de la partie. XAVI HERNANDEZ manquera de peu de reprendre de la tête un centre de MESSI avant qu’EL CAPITA ne s’essaie lui-même en frappant vers les filets des 20 mètres ; IRURETA, le gardien de l’EIBAR, montra alors de très bons réflexes en plongeant pour dévier le ballon au corner.

Mais avant la fin de ce premier acte, le drame aurait pu se produire au bénéfice des visiteurs. Sur un ballon anodin depuis la défense de l’EIBAR, DANI ALVES s’effaça pour laisser PIQUE à la lutte avec CAPA. Pris de vitesse, le n°3 catalan perdit le duel en course et BRAVO ne fit pas mieux puisqu’il fut éliminé par CAPA qui se retrouva face aux filets déserts.. Heureusement, l’ailier de l’EIBAR manqua l’immanquable : Ballon à côté de la cage qui le suppliait de marquer un but on peut plus facile ! Quatre minutes plus tard, BRAVO sera le sauveur lorsque SAUL échappa à la vigilance de PIQUE mais la parade du portier chilien éloigne le danger vers le corner. Match facile, sous contrôle…  Pas tant que ça finalement.

En seconde période, les hommes d’EL LUCHO tenteront l’assaut vers la victoire. Exactement comme en première mi-temps, ce sera PIQUE qui tentera sa chance sur corner, toujours sans trouver le cadre. Dix minutes seulement après la reprise, le public du CAMP NOU assiste à une scène digne des matchs de Rugby les plus violents. SERGI ROBERTO est victime d’un choc terrible qui le met en difficulté de respirer. Une scène qui rappelle l‘agressivité que les BLAUGRANAS sont obligés d’essuyer à chaque rencontre. Victimes de leur technique, les barcelonais se voient affliger gratuitement des entrées violentes l’une plus grave que l’autre…Les arbitres eux, continuent d’obtempérer, sans y voir de grand mal..SERGI ROBERTO quittera le terrain à la 55ème minute pour laisser sa place à INIESTA, direction le tunnel pour le MASSIANO qui semble avoir été littéralement « sonné ».

Avec EL PICASSO sur le terrain, le Barça ne tardera pas à mettre fin au suspense. Sur une action initée par XAVI, Leo MESSi reçoit le ballon aux 20 mètres. LA PULGA fixe la défense avant d’illuminer le CAMP NOU d’une passe magistrale dans l’intervalle. XAVI, qui avait plongé dans l’espace, se retrouve face à IRURETA et l’expérience du MAESTRO catalan parle : petit lobe du droit, ballon dans les filets. GOL DE XAVI ! GOL DEL CAPITA ! (Min 55’) Et une autre passe décisive pour MESSI, la 7ème de la saison..Cela fait chaud au cœur de voir le n°6 barcelonais plonger dans les espaces. Il l’avait déjà fait en première mi-temps mais il avait été un peu court, cette fois il le refait avec succès, et la réussite est à la clé. Et le souvenir du premier but lors du classico de LA MANITTA revient en surface. Visiblement, ceux qui avaient imaginé que XAVI HERNANDEZ était bon pour la retraite se fourraient le doigt dans l’œil. XAVI sera toujours XAVI, jamais rien de moins.

Avec le score à leur avantage, les catalans tenteront de doubler la marque mais PEDRO, qui profita d’un caviar servi par INIESTA, manqua de réussite face au gardien : L’épisode transparence continue pour EL CANARI qui semble avoir perdu toutes ses facultés décisives. Ensuite, ce sera MESSI qui donnera la tourmente à la défense adverse suite à un-deux avec son « meilleur » collaborateur DANI ALVES qui le resservit d’un petit ballon lobé, mais la reprise de LA PULGA est renvoyée par IRURETA.    A 20 minutes de la fin,  SANDRO est appelé pour remplacer PEDRO en attaque. Ce sera à ce moment que NEYMAR décida de sortir de l’ombre en reprenant majestueusement un centre précis de DANI ALVES. Au point de pénalty, NEY usa de son droit pour une reprise au premier poteau qui ne laissa aucune chance au gardien (Min 72’). Et de 8 pour NEYMAR qui améliore son compteur de buts en LIGA.

Deux minutes plus tard, c’est l’instant LIONEL MESSI au CAMP NOU. L’action débute aux 35 mètres où LA PULGA s’en va de 2 défenseurs avant de combiner avec NEYMAR qui lui retouche le ballon instantanément. En pleine course, MESSI infiltra la surface pour se mettre sur son gauche et croiser un tir imparable : Le ballon heurte le poteau gauche avant d’aller mourir dans les filets : GOL DE LA PULGA ! (74’) Historique ! C’est le 250ème but de l’enfant terrible de ROSARIO en LIGA, plus qu’un petit but pour atteindre le record de TELMO ZARRA et devenir le buteur le plus prolifique de l’histoire du championnat espagnol. IMMESSIONANTE !  

C’est donc une victoire nette 3-0 pour les protégés de LUIS ENRIQUE qui font le plein de confiance avant d’entreprendre une semaine on peut plus décisive. Au menu, la réception de nos « amis de toujours » l’AJAX d’AMSTERDAM en C1 avant de mettre les voiles vers les cieux de la capitale pour EL CLASSICO DE LOS CLASSICOS. N’ayant toujours pas encaissé le moindre but, le Barça semble être au point pour affronter son Rival de tous les temps. Les chiffres donneront peut être un léger avantage aux catalans qui conservent le fauteuil de leader grâce à cette 7ème victoire et avec un GOL AVERAGE plus que satisfaisant. Seulement, EL CLASSIC ne se joue pas aux statistiques ni aux pronostics. Ce n’est pas un match comme les autres, c’est tout simplement une bataille, une confrontation de deux logiques contradictoires, deux manières opposées de concevoir ce qu’est le football. Alors, les discussions pour élire le plus spectaculaire des deux clubs ou le plus efficace, le plus titré ou le plus sacré, peuvent durer des heures, voire des jours, entre les supporters des deux camps. Mais sans trop s’éloigner dans le temps, il est nécessaire de rappeler à nos adversaires ne pas céder à l’euphorie de leur DECIMA tant attendue, car faut-il le rappeler : 1) La saison dernière, malgré qu’elle ait été injustement qualifiée de catastrophique, le Barça a battu le Real en championnat à l’aller comme au retour. 2) Lors de notre dernière visite au BERNABEU, nous avons inscrit 4 buts dont 3 de l’intenable LIONEL MESSI qui pourrait récidiver samedi prochain et devenir le meilleur buteur de tous les temps en LIGA. Et là, le public du BERNABEU ne pourra qu’applaudir comme ce fut le cas face à l’immensité du talent de RONALDINHO ou du « PIBE DE ORO » MARADONA.. Ça, ce sont les faits, c’est l’histoire que rien ni personne ne peut jamais effacer.. Le reste n’est que souhaits et désirs..

VISCA BARCA ! VISCA CATALUNYA !


vendredi 17 octobre 2014

#MESSI10ANOS



Cela fait 10 ans maintenant…Dix ans qu’un enfant venu de ROSARIO a foulé pour la première fois les pelouses espagnoles lors du Derby face à l’ESPANYOL. Il portait le Numéro 30 BLAUGRANA et remplaçait un crack du calibre d’EL MAGO DECO.

Depuis rien n’a plus été pareil. La définition même du talent a été élevée à des niveaux supranaturels, celui de la prestation footballistique à des critères de chef-d’œuvre artistique.

Dix ans de passion, d’extase, de pur art. Quatre ballons d’Or, oui Quatre. Un nombre illimité de dribles, de OLE poussés par le public, de…ressentis par ses adversaires. 

Dans le football, il n’y a qu’un autre « DIOS » :  LIONEL ANDRES MESSI.

Merci pour ces 10 ans au Barça.

TE QUEREMOS PULGA !  TE QUEREMOS LIO !

#MESSISEMPRECULE

SUAREZ BOTA DE ORO !



Luis SUAREZ a reçu ce Mercredi, à Barcelone, le prix du Soulier d'Or récompensant le meilleur buteur des Championnats majeurs d'Europe. Ex-Aequo avec Cristiano "LA MUNECA" RONALDO, l'avant-centre uruguayen s’est vu attribuer sa première BOTA DE ORO à la suite d’une saison de Folie avec les REDS de LIVERPOOL. Bilan : 31 buts, l’un plus beau et plus décisif que l’autre.

LA SALTA, qui a reçu le soulier d’or des mains de KENNY DAGLISH, a affirmé qu’il était prêt à 100% pour entreprendre son retour sur la scène footballistique professionnelle sous les couleurs BLAUGRANA. Après 2 matchs amicaux disputés avec LA CELESTE, celui qu’on a surnommé « EL GORDO » en signe d’un soi-disant surpoids devrait réapparaître sur la pelouse du BERNABEU pour EL CLASSICO DE LOS CLASSICOS.

C’est donc une véritable reconnaissance qu’a été cette cérémonie de LA BOTA DE ORO, une reconnaissance envers un talent brut du football mondial qui a souvent été trop malmené. Un phénomène qui a ses tares, c’est vrai, mais qui garde en lui toute la passion d’un enfant venu des pauvres quartiers uruguayens pour surprendre plus d’un.

" ENHORABONA LUIS SUAREZ !  
BOTA DE ORO, 31 GOLES, SIN PENALTYS ! "

VIDEO :     CEREMONIE DE REMISE DE LA BOTA DE ORO 2014/2015 :

mardi 14 octobre 2014

VIDEOS /: " BLAUGRANAS IN ASIA "


Dans la cadre de leurs tournées internationales, les sélections d’Uruguay, du Brésil, et de l’Argentine se sont imposées sur le sol asiatique respectivement face au Oman (3-0), le Japon (4-0) et Hong Kong (7-0). Facteur Commun : Les 3 sélections comptent parmi leurs rangs les 3 avant-centres Blaugranas qui devraient former, à partir du 25 Octobre, EL TRIDENTE DE LA MUERTE ou le Triangle de la Mort dans l’effectif d’EL LUCHO ENRIQUE.

C’est ainsi qu’on a vu LUIS SUAREZ inscrire 2 des 3 buts uruguayens dans les filets de la sélection du Sultanat de OMAN. Le premier par une reprise aérienne du gauche, puis le deuxième par un lobe subtile qui a réduit le gardien EL HABSI au rang de spectateur. Malgré quelques Kilos en plus, celui qu'on appelle affectueusement désormais "EL GORDO" semble avoir retrouver les sensations du professionnalisme.


NEYMAR Jr, quant à lui, continue à écrire l’histoire au sein de la CANARINHA. Cette fois, c’est 4 buts que la star brésilienne a inscrit face à ses fans japonais pour devenir, à 23 ans, le 5ème buteur de l’histoire de sa sélection. Visiblement, O REY PELE ne sera plus Roi dans quelques années. Le football brésilien n’aura plus qu’un nom à garder en mémoire : NEYMAR !



Pour finir, c’est au tour de LIONEL MESSI qui s’est distingué lors de la victoire écrasante de la sélection ALBICELESTE face au HONG KONG. Après une défaite lors du SUPERCLASSICO face au Brésil il y a quelques jours, et un penalty raté par LA PULGA, les argentins d’EL TATA MARTINO n’ont fait qu’une bouchée de leurs hôtes asiatiques. Une rencontre qui a vu « EL DIEZ » inscrire 2 buts et adresser une passe décisive alors qu’il n’a rejoint le terrain qu’à l’heure de jeu.


Visiblement, le TRIANGLE DE LA MORT est sur la bonne voie de préparation en vue d’engloutir tout adversaire. Bizarrement, il y en a un qui vient à l’esprit lorsqu’on se rappelle la date du 25 Octobre. Ils portent le blanc et habitent la capitale du royaume d’Espagne…

Alors, on le fait ce CLASSICO ? 

jeudi 9 octobre 2014

VUELVE "EL PISTOLERO" SUAREZ !


Après un avant-gout disputé sans public sous les couleurs du BARCA ATHLETIC face aux U19 indonésiens, l’heure est à l’exhibition pour LUIS SUAREZ qui marquera son retour dans le monde du ballon rond.

Au menu, 2 matchs amicaux sous les couleurs de la sélection uruguayenne, et ce avant le retour imminent en compétition officielle de celui qu’on surnomme LA SALTA avec la fin de la sanction prononcée à son encontre par la FIFA. Un retour qui coïncidera avec EL CLASSICO DE LOS CLASSICOS au SANTIAGO BERNABEU.  

Mais avant le retour, pourquoi ne pas suivre EL PISTOLERO sur la route de la « réinsertion footballistique ».. Alors, à vos Agendas :  

VENDREDI 10 OCTOBRE : URUGAY vs ARABIE SAOUDITE (19:15 h. GMT +2)

LUNDI 13 OCTOBRE : URUGAY vs OMAN (16:30 h. GMT +2)


« TORNA EL PISTOLERO, TORNA LA SALTA SUAREZ ! » 

CRONICA / RAYO VALLECANO vs FCB (0-2) / LIGA BBVA J7

"Victoire catalane au VALLECAS"

Pour le compte de la 7ème journée du championnat espagnol, le FC BARCELONE, leader invaincu au classement général, se déplaçait en capitale sur la pelouse dangereuse du VALLECAS afin d’y affronter le club local du RAYO VALLECANO. Trois jours seulement après un défaite très médiatisée face au PSG en C1, les hommes d’EL LUCHO ENRIQUE avaient pour objectif de rassurer les CULES en démontrant un rétablissement footballistique aussi rapide que convaincant face à un rival des plus coriaces : Le RAYO VALLECANO de PACO JIMENEZ, l’une des rares équipes à avoir pu prendre plus de possession face au Barça, roi incontestable en la matière.. Ce fut la saison dernière en dépit d’un score fleuve en faveur des BLAUGRANAS alors entraînés par EL TATA MARTINO. Cependant, ce Barça 2014-2015 est beaucoup plus intense, beaucoup plus agressif, beaucoup plus rapide.. Et ce n’est pas un seul faux pas européen qui allait établir le contraire.  

Sans RAKITIC et MASCHERANO laissés sur le banc, EL MISTER ENRIQUE proposait un onze composé de l’invincible BRAVO dans les filets, à 20 minutes seulement d’un record historique de CLEAN SHEATS en LIGA BBVA, de MARC BARTRA et PIQUE dans l’axe, et de DANI ALVES et JEREMY MATHIEU sur les flancs. En milieu de terrain, le trio du BARCA DE LAS SEIS COPAS était reconduit en les personnes de SERGIO BUSQUETS, EL PICASSO INIESTA et le capitaine légendaire et emblématique EL MAESTRO XAVI HERNANDEZ. En attaque, la pépite de LA MASIA MUNIR EL HADDADI était de retour au côté du DUO NEYMAR Junior et  LIONEL ANDRES « EL DIEZ » MESSI.

Dès le début de la partie, les locaux seront les premiers à manifester le danger face aux cages catalanes. Le virevoltant BUENO tente sa chance des 20 mètres  par une frappe croisée mais BRAVO, attentif, plonge pour dévier le ballon au corner. Ce même BUENO allait encore se distinguer par une frappe depuis l’intérieur de la surface mais le portier chilien bloque cette fois le ballon. Les BLAUGRANAS répondront par l’intermédiaire de LA PULGA qui aurait pu ouvrir le score si TONO n’était pas sorti in-extremis pour intervenir au corner.

Le Barça ayant la possession du cuir, les minutes qui allaient suivre furent une véritable démonstration de football offensif. Les deux équipes évoluant avec deux blocs placés à hauteur de la ligne médiane, pressant systématiquement l’adversaire lors de chaque sortie de ballon, les espaces restaient très réduits mais chacun deux protagonistes risquaient de payer cash toute erreur de placement défensif. A la demi-heure de jeu, le Barça finit par contourner la ligne défensive du RAYO par un centre en profondeur, seulement, l’arbitre de touche intervient pour annuler le but marqué par MESSI pour cause d’hors-jeu. Mais si la première claquette ne fut pas prise, la deuxième sera validée puisque ce même MESSI allait profiter d’un dégagement, depuis la ligne médiane, de Gérard PIQUE pour emmener le ballon de la tête avant de battre le gardien TONO d’un lobe subtile du gauche, grâce à un sang-froid digne des plus dangereux SERIAL KILLERS (Min 35’). Et voici que le VALLECAS passa en mode MUTE, 239 buts en LIGA pour LA PULGA qui n’est plus qu’à 2 buts seulement du record historique de TELMO ZARRA, celui du meilleur buteur de toute l’histoire du championnat espagnol, et ce depuis son officialisation en 1929. QUE GRANDE LIONEL !

Les malheurs des locaux allaient se succéder, l’audace tactique de PACO JIMENEZ qui reste certes à applaudir, faisait que le bloc du RAYO évoluait presqu’aussi haut que celui des Blaugranas. Et hormis quelques exceptions, évoluer de la sorte face au Barça relève du suicide footballistique. Une minute plus tard, la preuve : Sur un autre dégagement de l’excellent Marc BARTRA, MUNIR EL HADDADI contrôle le ballon avant de le glisser vers NEYMAR lancé en direction de la surface. D’une adresse exemplaire, NEY emmène le ballon avant de croiser son tir du droit et battre TONO pour la seconde fois de la soirée (Min 36’). En deux minutes seulement, le RAYO est abattu, le VALLECAS abasourdi, et le Barça n’a plus qu’à faire son choix : Gérer son avance, ou achever son adversaire le cas échéant.

A quelques minutes de la fin de ce premier acte, MUNIR aurait pu inscrire son nom au tableau d’affichage à côté des 2 cracks que sont LIONEL et NEYMAR, mais ce ne fut pas le cas. Seul face à TONO, le jeune MASIANO fait le mauvais choix de crocher le gardien qui le fauche en pleine surface. L’arbitre n’y voit que du feu, pas de penalty sifflé.. Une véritable frustration pour MUNIR surtout lorsqu’on revoit la faute flagrante du gardien, et d’autant plus qu’il aurait pu aussi faire preuve d’altruisme et servir NEYMAR, seul face aux filets.

En deuxième mi-temps, le Barça semble contrôler parfaitement son sujet. EL DIEZ sera le premier à se manifester par un coup-franc bloqué par TONO. Egalement très en vue, Gérard PIQUE tentera sa chance sur corner mais la tête d’EL PRESIDENTE frôle la transversale adverse. Boostés par les chants du public local, le RAYO reviendra momentanément dans la partie, LEO BATISTAO obligera d’ailleurs BRAVO à intervenir pour dévier une frappe dangereuse des pieds du brésilien vers le corner. Il furent même trop motivés ces hommes de PACO JIMENEZ, la preuve : JORGE MORCILLO reçoit, à l’heure de jeu, un carton rouge suite à une entrée musclée sur NEYMAR Jr. Evoluant désormais à 10, les locaux maintiennent leur attitude très honorable en pressant systématiquement le Barça dans toutes les zones du terrain. Mais rien de plus.. D’ailleurs, les catalans auraient pu rendre l’addition plus salée, notamment par l’intermédiaire de LIO MESSI qui, étrangement, manque à deux reprises le cadre sur des occasions franches que LA PULGA MORTAL n’a pas l’habitude de rater. Incapables de contrer leurs adversaires, les locaux se remettront à l’engagement physique pour voir un autre des leurs expulsé :  AQUINO, entré en seconde période, reçoit le carton rouge lors du temps additionnel pour laisser ses coéquipiers à 9, le temps d’une minute.

Score final : 2-0 en faveur des catalans sur le sol de la capitale espagnole, mais un RAYO VALLECANO qui n’a pas démérité en démontrant une attitude offensive digne d’éloges. C’est la 6ème victoire du FC BARCELONE en 7 matchs de LIGA BBVA. Une série qui permet aux poulains de LUIS ENRIQUE de conserver le fauteuil du leader lors des dates FIFA prévues pour les 10 jours à venir. Les BLAUGRANAS conservent également la virginité de leurs filets, BRAVO est d’ailleurs et désormais LE titulaire du record en la matière. Des chiffres qui réconfortent tous les CULES quant aux prétentions de leurs idoles pour cette saison, et qui effacent par la même occasion les répercussions négatives de la prestation insuffisante face au PSG en C1.  De retour des dates internationales, les BLAUGRANAS n’auront plus que deux matchs dans le collimateur, celui face à EIBAR au CAMP NOU, puis l’AJAX en CHAMPIONS LEAGUE, avant d’entamer le dossier chaud de la saison, celui du CLASSICO DE LOS CLASSICOS face au rival éternel.         


mercredi 1 octobre 2014

CRONICA / PSG vs FCB / UCL GROUPE F J2

" Dans la Joie, dans la Douleur... "

C’est devant un public de stars et de personnalités publiques que le PARC DES PRINCES accueillait le match comptant pour la 2ème journée du Groupe F de la prestigieuse CHAMPIONS LEAGUE, mettant aux prises les catalans du FC BARCELONE et les locaux du PARIS SAINT-GERMAIN. Après une victoire sur le fil lors de la précédente journée, les BLAUGRANAS avaient l’obligation de remporter la victoire en vue de se prémunir de tout aléa dans un groupe plus compliqué qu’il ne parait. Premier véritable TEST de la saison pour EL LUCHO et ses poulains, le déplacement dans le fief parisien dopé aux PETRODOLLARS qataris n’allait pourtant pas être une partie de plaisir. Même sans leur joueur fétiche IBRAHIMOVIC, où encore EL POCHO LAVEZZI ou THIAGO SILVA tous OUT pour blessures, les parisiens disposaient d’un effectif « galactique » qui donnerait du fil à retordre à un Barça, beaucoup moins craint qu’auparavant.

Pour ce Match aux allures d’Opérette, LUIS ENRIQUE misait sur une formation « Type » en faisant appel à TER STEGEN dans les filets -Le gardien titulaire en C1-, à DANI ALVES, MASCHERANO, MATHIEU et JORDI ALBA en défense. En milieu de terrain, le Trio BUSQUETS, RAKITIC et INIESTA était de rigueur en vue de servir le triangle d’attaque composé de PEDRO, NEYMAR et LIO MESSI. Vêtus de la fluorescente troisième tenue pour la première fois de la saison, LOS AZULGRANAS étaient prêts pour redorer leur image sur la scène européenne et y confirmer le visage radieux affiché en LIGA, et ce face à un adversaire de taille.

Le début de la partie exprimera la volonté tactique des deux camps. Le Barça tient le ballon mais le PSG presse très haut, mettant en difficulté les arrières catalans à chaque construction offensive. Justement, ce sera le cas de DANI ALVES qui se retrouva, dès la 9ème minute, esseulé face au pressing français au moment de la relance. En difficulté, EL GATO tenta l’exploit individuel mais se retrouva, en fin de compte, coupable d’une faute de main, réprimée d’un carton jaune. Malheureusement pour les CULES, ce coup-franc sera botté par LUCAS vers son compatriote DAVID LUIZ qui, après avoir contrôlé le ballon, parvient à se retourner du  gauche pour battre TER STEGEN au ras du deuxième poteau (10’). Un à Zéro pour les locaux, le PARC DES PRINCES exulte en regardant le Barça encaisser son premier but de la saison, toutes compétitions officielles confondues.

La joie des français ne sera cependant que d’une courte durée, très courte même. Une minute plus tard, et sur une action de génie, le trio INIESTA-NEYMAR-MESSI combine avec une rapidité de tonnerre. Après avoir échangé le ballon avec NEYMAR, EL MANCHEGO placé à gauche de la surface servit LIONEL MESSI dans l’axe : Sans contrôle, plat du pied gauche instantané de LA PULGA qui bat SIRIGU au poteau lointain (11’). Un à Un, balle au centre. Réaction rapide et efficace des catalans qui remettent les parisiens à leur place, et le score à la parité.

Après ce début de match déchaîné, les deux équipes vont tenter d’asseoir leurs styles de jeu. Les BLAUGRANAS dominent le jeu et se créent deux occasions par l’intermédiaire de PEDRO, qui frappe sans conviction au-dessus de la cage, puis de NEYMAR dont le lobe piqué du droit survole le cadre. Cependant, les locaux restaient dangereux sur chaque balle arrêtée. Et ce sera justement sur un corner, lui aussi obtenu à la suite d’une perte de balle d’un arrière catalan, en l’occurrence JORDI ALBA, que les parisiens s’offriront une autre montée de bonheur.  Depuis la droite, le lauréat de LA MASIA THIAGO MOTTA centre en direction du deuxième poteau où MARCO VERRATTI, 1,65m,  aidé par une sortie très hasardeuse de TER STEGEN et une couverture fébrile de RAKITIC, parvient à mettre le ballon de la tête dans les filets non-protégés (26’). Avantage aux locaux, le Barça sombre sur la scène parisienne et accuse, encore une fois, sa faiblesse « historiquement reconnue » sur balles arrêtées.

Par la suite, les hommes de LUIS ENRIQUE ne manqueront pas de motivation pour revenir au score, ce qui leur manquera par contre, c’est la précision requise pour trouver le cadre. Andres INIESTA sera le premier à envelopper une frappe des 20 mètres, au-dessus du cadre. Même scénario pour LIONEL MESSI qui, à la dernière minute de la 1ère mi-temps, botta un coup-franc des 30 mètres, mais le tir de l’astre argentin passe juste au-dessus de la transversale. Les frappes cadrées.. Une véritable utopie au Barça depuis quelque temps maintenant. Au final, 60% de possession catalane sans grand danger pour les locaux qui rentrent au vestiaire avec l’avantage du score dans la poche, et la joie du public « Chic » du Parc des Princes dans les oreilles.

En seconde mi-temps, la noyage catalane prendra une forme plus effrayante. D’abord, DANI ALVES manque de peu l’expulsion lorsqu’il intervient sur un ballon aérien qui aurait pu lui couter un 2ème carton jaune. Rien de grave, mais ce qui est véritablement grave c’est que, dans un moment de déconcentration dû à un joueur parisien au sol, la défense barcelonaise s’égare avec une naïveté digne des matchs d’amateurs. Profitant de ce moment de fébrilité, VAN DER WIEL destine un centre précis au 2ème poteau où l’excellent MATUIDI est là pour mettre le ballon, du plat du pied gauche, entre les jambes d’un TER STEGEN aux abonnés absents (54’). Incroyable, le Barça qui n’avait jusqu’à ce match encaissé aucun but depuis le début de la saison se retrouve avec 3 buts concédés.

Comme après l’ouverture du score parisienne, les catalans trouveront cette fois encore les ressources nécessaires pour réagir au coup encaissé. Deux minutes seulement après l’annonce du 3ème but des locaux, DANI ALVES centre vers la surface où LIO MESSI, au point de penalty, est retenu par deux défenseurs. Le ballon passe et c’est NEYMAR qui l’attendait de pied ferme au 2ème poteau : Contrôle puis intérieur du droit pour battre SIRIGU et réduire le score en faveur du Barça (56’).    

C’est alors que LUIS ENRIQUE décida d’intervenir pour remanier son effectif et causer le choc tactique à même de ramener les siens dans la partie. A l’heure de jeu, MUNIR prend la place d’un PEDRO toujours transparent, avant que XAVI ne remplace un RAKITIC moins brillant que d’habitude. Moment d’histoire à l’entrée du CAPITA : C’est le 143ème match disputé par XAVI HERNANDEZ en C1, le maestro du barça, à 34 ans, anéantit ainsi le record du Blanco RAUL GONZALEZ et inscrit son nom dans les registres d’or du football européen.

Malgré leur nette domination, les BLAUGRANAS peineront à se créer de réelles occasions. Avec XAVI sur le terrain, la fluidité de jeu catalane est de rigueur, seulement, MUNIR affiche quelques difficultés d’adaptation dues à la pression énorme que connaissait la partie. Néanmoins, ce sera lui, MUNIR, qui sera à l’origine du danger catalan lorsqu’il destine un centre rentrant vers ALBA, seul au deuxième poteau, mais le tir de l’international espagnol est sorti in-extremis par un tacle kamikaze de MARQUINOS.

Au regard de l’évolution de la partie, LUIS ENRIQUE tenta le tout pour le tout lorsqu’il fit appel au jeune SANDRO pour remplacer un DANI ALVES qui flirtait dangereusement avec le carton rouge. Avec toute une armada offensive en attaque, les BLAUGRANAS allaient passer à côté de l’égalisation lorsque MUNIR tenta sa chance des 30 mètres, avec une confiance digne d’un trentenaire, d’un tir surpuissant du gauche qui rebondit sur le poteau gauche de SIRIGU. Personne n’en croit ses yeux, boulet de canon du jeune Crack catalan mais toujours ce manque de réussite qui le suit depuis maintenant 4 matchs : INCREIBLE ! Les jeunes n’ayant pas froid aux yeux, ce sera l’autre promu du Barça B qui se fera remarquer lors du temps additionnel, SANDRO tenta sa chance du gauche mais son tir côtoie la cage parisienne. Pas de chance, pas de bol, pas d’égalisation.

Voilà, le Barça s’incline sur la pelouse du PARC DES PRINCES et encaisse sa première défaite officiellede l’ère LUIS ENRIQUE. L’invincibilité défensive prononcée en LIGA a été remplacée par une fébrilité des temps les plus sombres : 3 buts encaissés dont 2 sur balles arrêtées, l’éternelle faiblesse BLAUGRANA. Sur deux des buts, les hommes d’EL LUCHO ont su réagir dans la minute qui suit, un bon signe…Seulement, ce ne fut pas suffisant. N’est-ce pas tout le sens de ce sport qu’est le football, marquer plus que son adversaire, car le problème, ce n’est pas d’encaisser 3 buts tant qu’on peut en marquer 4. Mais, quand on y arrive pas, c’est la définition même de la défaite. Aujourd’hui, le Barça ne fait plus peur, encore moins en Europe. Avec regret et incapacité, nous permettons à nos adversaires de se vanter d’accueillir un « Grand » du football mondial, ou plutôt, une équipe qui jusqu’à peu l’était, d’inviter des hommes politiques et des stars du SHOWBIZ, de remplir leurs stades jusqu’aux guichets fermés, de vendre des droits télé, et en plus : de se payer une victoire face à nous. Mais que voulez-vous ? Les cycles sont partout dans la vie, même en football. C’est désolant.. Mais ce n’est pas pour autant qu’on abandonnera notre sentiment CULE. 

Dans la joie, dans la douleur : SEMPRE BARCA !
Nous nous relèverons.