mercredi 28 mai 2014

Tel un Parfum de Renouveau


Après l'annonce de la nomination de LUIS ENRIQUE MARTINEZ à la tête du staff technique du FC BARCELONE, ce sont plusieurs remaniements qui se sont succédés au CAN BARCA, tel un parfum de renouveau.

Tout d'abord, les piliers sur lesquels sera bâti le Barça "version LUCHO" ont été consolidés. Tel fut le cas de PIQUE et de SERGIO BUSQUET qui ont tous deux renouvelés leur contrat, aux côtés de LEO MESSI qui a vu ses revenus contractuels révisés en hausse. Ensuite, il y a eu l'annonce du retour des 2 joueurs prêtés lors de la saison précédente : RAFINHA (CELTA VIGO) et GERARD DELOFEU (EVERTON), tous deux purs produits de LA MASIA.

Enfin, et avec le départ de l'une des légendes du BARCELONISMO moderne en la personne de VICTOR "EL MURO" VALDES, les cages du FC BARCELONE seront gardés par le jeune GOALKEEPER allemand, ANDER TER STEGEN qui a été présenté aux CULES la semaine dernière.Une valeur sûre pour les années à venir.

Le reste, certes, est à venir..mais le reste n'est pour l'instant que rumeurs, souhaits, ou affabulations. MARQUINOS, ou TIAGO SILVA, HUMMELS ou LAPORTE, CUADRADO ou MATHIEU, REUS ou KROOS..Des noms, des prénoms, des surnoms mêmes ne cessent de tourbilloner dans la sphère du MES QUE UN CLUB. Seuls les besoins sont certains : Remplacer le départ de PUYOL dans la charnière centrale, négocier les conséquences d'un imminent départ de DANI ALVES et y trouver remplacement, et enfin, trancher dans ce que la GENTE DEL BARCA appelle "EL PLAN B", soit un avant-centre pur qui pourrait remédier à la question qui a tourmenté le public catalan lors des 2 dernières saisons et qui a, sans doute, été à l'origine de plusieurs de leurs déceptions : Des centres, oui..Mais pour qui ??
Pour rappel, le N°9 n'a jamais été un interdit dans l'histoire du Barça, y revenir serait "presque" une vertu.

A bon Entendeur.    

  

mercredi 21 mai 2014

BENVINGUT "EL LUCHO" !


C'est Officiel : LUIS ENRIQUE prend les reines techniques du FC BARCELONE.

L'ex joueur, capitaine, et entraîneur de la filiale vient de signer un contrat de 2 ans qui le met à la tête du Staff technique du Barça.

Après avoir fracassé les records réalisés par PEP GUARDIOLA avec le BARCA ATLHETIC en réalisant la montée à LA LIGA ADELANTE puis en se classant 3ème comme étant la meilleure filiale de l'histoire du CLUB, LUIS ENRIQUE aura maintenant pour mission de réitérer le succès, cette fois, avec l'équipe première.

EL LUCHO devient ainsi le 8ème capitaine de l'histoire du Barça à devenir entraîneur de l'équipe catalane et rejoint ainsi NOGUES, SAMITIER, KUBALA, CESAR, RIFE, CRUYFF, et enfin GUARDIOLA au rang des légendes du BARCELONISMO.

MUCHA SUERTE LUCHO !   

GRACIAS AL TATA MARTINO !


Après une seule et unique saison au CAN BARCA, le tacticien argentin GERARDO "EL TATA" MARTINO quitte le banc du FC BARCELONE. Annoncé lors de la conférence de fin de match contre l'ATLETI, le départ d'EL TATA était pressenti dans l'environnement CULE au regard de l'énorme pression affligée au natif de ROSARIO.

Malgré des conditions sportives et extra-sportives très difficiles, GERARDO MARTINO a essayé d'apporter sa propre touche au modèle FCB. Mais si la première partie de la saison a été un succès, le restant de la TEMPORADA a été on peut plus moyen. Après avoir remporté la SUPERCOPA face à l'ATLETICO grace à la CABEZA DE NEYMAR, et après avoir ponctué la phase aller à la 1ère place du classement général en LIGA, le retour des fêtes de fin d'année a vu le Barça sombrer dans le manque de continuité et la perte de visibilité. Eliminés en 1/4 de finale de la CHAMPIONS LEAGUE pour la première fois depuis 7 ans, les BLAUGRANAS ont ensuite perdu leur fauteuil de LEADER en LIGA, perdu la finale de LA COPA DEL REY face au REAL, avant de "re-perdre" LA LIGA lors de la dernière et ultime journée au CAMP NOU.

Celà étant, la touche d'EL TATA a pu être ressentie sur le plan du jeu catalan. Le jeu direct, le jeu en anticipation, les actions de rupture, et les longs ballons vers l'attaque en cas de récupération ont été les principales facettes du FOOTBALL façon TATA. Néanmoins, la philosophie CULE n'a pas été enchantée de voir ces nouveaux principes s'incruster dans LA TIK I TAKA barcelonaise, surtout quand ces boulversements ne rapportent pas de titre. Bilan : GERARDO MARTINO a mené le MES QUE UN CLUB lors de 59 Matchs officiels dont 40 victoires, 11 matchs nuls et 8 défaites.

Les plus forts moments d'EL TATA MARTINO ont sans doute été la victoire aller-retour lors du CLASSICO DE LA LIGA, on se rappellera également son inébranlable confiance accordée à ALEXIS SANCHEZ et CESC FABREGAS, et de sa prise de décision d'appeler LEO MESSI au banc malgré l'agacement de l'astre argentin. Des moments qu'on sauvegardera dans nos mémoires, ne serait-ce que pour s'apercevoir qu'il existe d'autres manières de gérer le groupe Barça, d'autres manières de concevoir le 4-3-3, et d'autres manières de répondre à la pression des médias.

Aujourd'hui, GERARDO MARTINO n'est plus entraîneur du Barça. Sa réussite ou son échec ne sont pas les sujets de nos propos. Aujourd'hui, en guise de reconnaissance, nous désirons remercier l'homme pour une année de sa vie, dédiée au service de notre CLUB.
L'histoire, s'en rappellera.

GRACIAS GERARDO "EL TATA" MARTINO,
MUCHA SUERTE MISTER !    

lundi 19 mai 2014

Résumé de Match : FCB vs ATLETICO MADRID / LIGA BBVA J38 - ULTIMA JORNADA-

« Bravo aux Champions »


Dans l’enceinte mythique du CAMP NOU, la « Finale » de la LIGA BBVA prenait lieu entre le FC BARCELONE, dauphin, et l’équipe de l’ATLETICO DE MADRID, leader au classement général . Entre BLAUGRANAS et ROJIBLANCOS, la lutte avait été farouche tout au long de cette saison. Après leur confrontation en SUPERCOPA remportée par les catalans après 2 matchs nuls, les deux protagonistes s’était affrontés à 3 reprises sans pouvoir se départager ; avant que l’ATLETI, emmené par EL CHOLO SIMEONE ne parvienne à s’imposer lors de la phase retour des ¼ de finale de la CHAMPIONS LEAGUE, éjectant ainsi le BARCA du rêve européen. Le Barça, l’équipe qui a passé le plus de journées sur le fauteuil virtuel du LEADER, n’avait d’autre choix que de s’imposer dans ce SUPECHOC pour remporter le titre de champion ; tandis que les madrilènes, avaient-eux le luxe du choix entre victoire et match nul pour s’assurer d’un sacre historique qui mettrait fin à l’hégémonie décennale du Barça-Real en LIGA. 90 minutes pour résumer tous les efforts d’une saison, un match où on a tout à gagner mais aussi tout à perdre. Comme à l’accoutumé, le peuple CULE a répondu présent pour supporter les siens : SOM EL BARCA disait la fabuleuse mosaïque affichée par le CAMP NOU à l’entrée des joueurs, un message pour rappeler la grandeur du BARCELONISMO en ces temps de crise. Pour ce choc des opposés de style, GERARDO « EL TATA » MARTINO était sans doute heureux de pouvoir récupérer deux de ses joueurs blessés en la personne de PIQUE, aligné en défense aux côtés d’EL JEFFECITTO MASCHERANO, et du magicien brésilien NEYMAR Jr, resté au BANQUILLO aux côtés de XAVI, auquel CESC FABREGAS a été préféré en milieu de terrain. C’est donc sur un classique 4-3-3 que le tacticien argentin misait pour cette rencontre décisive, en attaque : ALEXIS, PEDRO et MESSI avaient la lourde tâche de faire vibrer les filets de l’ogre ROJIBLANCO : 90 minutes pour en découdre, à vous messieurs les joueurs.  

Dès le sifflet initial, la lourdeur de l’enjeu se fait ressentir sur la pelouse. Le Barça, qui disposait d’une légère domination sur le plan de la possession, affichait clairement sa volonté de victoire. En face, le danger potentiel de l’ATLETI se faisait ressentir sur chaque coup de pied arrêté. Après un quart d’heure de lutte physique, les COLCHOS NEROS allaient devoir se passer de leur attaquant fétiche DIEGO COSTA qui, encore une fois, se blessait face aux catalans comme c’était le cas en CHAMPIONS LEAGUE. Malheureux, les madrilènes vont l’être encore plus lorsque le maestro turque ARDA TURAN est également forcé à quitter le terrain suite à une intervention musclée de CESC FABREGAS. Deux blessés après vingt minutes seulement, c’est dire le volume d’engagement physique de cette partie acharnée. Seule différence par rapport aux précédentes confrontations, les catalans montrent les crocs et répondent avec agressivité au jeu madrilène. La première occasion de la partie sera l’œuvre du chilien ALEXIS SANCHEZ qui parvient à se suspendre dans les airs pour reprendre un centre de DANI ALVES de la tête, mais le ballon du JUGADOROZO est beaucoup trop faible pour inquiéter DIEGO COURTOIS. De la même manière, et toujours sur un centre de DANI ALVES, PEDRO RODRIGUEZ se hisse pour dévier le ballon de la tête, au-dessus du poteau. Mais à la 33ème minute, le public de CAMP NOU sera récompensé pour son support et l’infaillibilité de l’ATLETICO tombe finalement à l’eau. Sur une action construite côté droit, CESC FABREGAS parvient à trouver MESSI à l’intérieur de la surface. LA PULGA contrôle le ballon de la poitrine mais il est obligé de le céder face à la pression de MIRANDA. Seulement, ALEXIS SANCHEZ rode dans les parages et dans un angle fermé, EL NINO MARAVILLA déclenche une reprise instantanée du droit qui foudroie COURTOIS en pleine lucarne. STRATOSPHERIQUE ! GOLAZO D’EL NINO MARAVILLA : 1-0 pour le Barça. Le CAMP NOU chavire, les voix s’élèvent et les cœurs des CULES se serrent d’émotion : les BLAUGRANAS revêtissent momentanément la tenue du CHAMPION.  

Suite à ce but, les hommes d’EL CHOLO SIMEONE craquent de nervosité : deux cartons successifs sont attribués aux ROJIBLANCOS qui sentent le titre leur échapper. Malgré une légère pression lors des dernières minutes de ce premier acte, notamment sur corners, les madrilènes ne parviennent pas à égaliser. Le Barça résiste, mais la nervosité finit également par gagner ses joueurs : LEO MESSI et BUSQUETS sont tous deux avertis sur le chemin des vestiaires pour protestations. Il faut le dire, c’est un arbitrage très approximatif que Monsieur Mateu LAHOZ a présenté lors des 45 premières minutes : laxiste, passif, un peu même inéquitable. Enfin.. C’est avec un avantage d’un but que les BLAUGRANAS vont à la pause, donnant ainsi à leurs supporters plus de raisons de rêver d’un sacre spécialement historique.

Après le Break, c’est un ATLETICO très remonté qui rejoindra la pelouse du CAMP NOU. Surement boostés par le speech d’EL CHOLO en mi-temps, les ROJIBLANCOS donneront leur tout dès le début de la seconde période. DAVID VILLA trouve même le poteau après une reprise puissante du gauche,  une minute seulement après la reprise. Après 4 minutes de déferlement, les madrilènes touchent le JACKPOT sur corner, face à l’incapacité de réaction BLAUGRANA. Suite à un corner botté par KOKE depuis la droite, le défenseur uruguayen DIEGO GODIN saute plus haut que tout le monde pour battre PINTO de la tête et offrir un but historique à la HINCHADA rouge et blanche.  Un but partout, l’ATLETICO pique le dossard du champion au Barça et enfile momentanément l’habit du sacré (49’).

Nous y voilà donc, moment de vérité, le Barça dispose de 40 minutes pour prouver son mérite. Un but, c’est tout ce qu’il faut aux catalans pour toucher le rêve. Hélas, ce sera sans leur métronome que les hommes d’EL TATA devront réaliser l’exploit puisque SERGIO BUSQUETS est forcé à abandonner le terrain suite à une  légère blessure au niveau de la hanche droite. En larmes, BUSI doit laisser les siens remplacé par ALEX SONG.  Débute alors une lutte physique sans mercis entre les deux équipes qui se bataillent littéralement pour le titre. A l’heure de jeu, EL TATA fait appel à NEYMAR pour remplacer PEDRO et mise ainsi sur la superstition puisque NEY est le seul des BLAUGRANAS à avoir réussi à marquer face à l’ATLETICO, tant en SUPERCOPA qu’en CL. Après un mois de blessure, EL FLACO est ainsi associé à MESSI et ALEXIS dans la quête du but salvateur.

Seulement , et malgré sa possession, le Barça ne parvient pas à se créer de réelles occasions. Les locaux peinent à être incisifs et manquent souvent de vitesse et de prise d’initiative. Même si, en l’espace d’une seconde, nous avions cru à l’incroyable lorsqu’un but de LEO MESSI est refusé valablement pour cause d’hors-jeu. GERARDO MARTINO se tient la tête, se lamente surement, car il sait que seul un exploit individuel peut déstabiliser les « guerriers » d’EL CHOLO. Mais le temps s’écoulait, et s’écoulait, sans que la pression offensive catalane ne puisse être ponctuée par des occasions. C’est ainsi que XAVI HERNANDEZ est appelé à la rescousse à la place de CESC pour les 15 dernières minutes de la partie. Tristement, seule une frappe lointaine de DANI ALVES est à mettre au compte des BLAUGRANAS, visiblement incapables de se surpasser pour obtenir la gloire perdue. En face, les ROJIBLANCOS combattaient pour chaque centimètre, pour chaque seconde qui s’éclipsait en leur faveur. Au temps réglementaire, 3 minutes seulement furent ajoutées par un corps arbitral peu convaincant, mais cela ne réduit en rien le mérite de l’ATLETICO qui marchait sereinement vers le sacre historique, ni l’incapacité frustrante du Barça qui se manifestait, et de manière flagrante, telle une réflexion de toute une saison.

C’était tout juste inéluctable, le sifflet final finit par retentir au CAMP NOU pour annoncer non seulement la fin de la partie, mais la fin de la saison espagnole qui s’achève en sacrant l’ATLETICO DE MADRID : CHAMPION de la LIGA BBVA 2013-2014 à l’issue d’une lutte interminable avec l’ogre catalan qui termine au 2ème rang. Un sacre mérité au regard du rendement surhumain des « guerriers d’EL CHOLO » qui ont prouvé que, par l’effort, le travail et la dévouement,  les moyens financiers et les préjugés historiques peuvent être dépassés. Bravo au CHAMPION ! Les BLAUGRANAS félicitent dignement les vainqueurs, le public tout entier du CAMP NOU se lève pour applaudir son adversaire : Un geste qui reflète la grande sportivité du peuple CULE et de toute l’entité du Barça qui donne une leçon de FAIR PLAY aux rivaux et aux mauvais perdants. Ceci dit, c’est une grande amertume qui est ressentie côté CULE après une saison où nous n’avons finalement gagné qu’une Supercoupe espagnole.. Mais c’est déjà ça. Constat : La transition « façon TATA » s’est beaucoup moins bien déroulée que la Transition « façon TITO », et on n’a qu’à comparer les chiffres, la qualité de jeu, le spectacle produit et les titres obtenus. Tout au long de la saison, le Barça a manqué de continuité, d’endurance et de PUNCH lors des moment décisifs. Amoindris par une énorme pression extra-sportive, le groupe catalan n’a pas pu se surpasser pour atteindre le niveau de jeu qu’il a présenté lors des dernières 7 saisons. Comme pressenti et annoncé auparavant, le changement dit « profond » s’impose au sein du MES QUE UN CLUB. Un changement qui sera mené par EL LUCHO ENRIQUE sur le plan technique, dans l’attente impatiente du changement administratif de la JUNTA DIRECTIVA et le retour tant attendu du clan LAPORTA, annoncé pour 2016. Mais ceci est une autre histoire...L’heure est maintenant à l’analyse, l’évaluation et la critique. L’heure est aussi à l’acceptation, la méditation et la décision. Mais plus que tout, l’heure est aux félicitations, aux remerciements, et à la fidélité : « BRAVO ATLETI, GRACIAS EL TATA, FORCA BARCA ! »    


« A la saison prochaine ! »

samedi 17 mai 2014

MOSAIQUE FC BARCELONE vs ATLETICO MADRID


UN BON DIA PER GUANYAR LA LIGA !

#FORCABARCA

Accord FC BARCELONA / LEO MESSI :


Selon le Site Officiel du Fc Barcelone, il y a eu accord entre le Club et LA PULGA pour la réévaluation et la prolongation de son contrat. 
Plus d'informations seront révélées par le MES QUE UN CLUB lors des prochains jours.
#PULGASEMPRECULE

GRACIES PUYI !




Gracies Puyi !
Gracies Capita !
Gracies TIBURON !
................................ #graciespuyol

lundi 12 mai 2014

Résumé de Match : ELCHE vs FCB / LIGA BBVA J37

« EINS HI DEIXAREM LA PELL » // «  Quitte à y Laisser La Peau »

Suite aux rebondissements inattendus qui s’étaient produits lors de la dernière journée, le FC BARCELONE, deuxième au classement général et autrefois écarté  des calculs pour être champion, entreprenait son « OPERATION LIGA » en vue du titre espagnol. A deux journées de la fin des animosités, deux victoires assureraient le sacre aux hommes d’EL TATA MARTINO qui devraient s’imposer dans les deux rencontres restantes pour gagner un titre qui semblait, il y a 7 jours seulement, loin de tout espoir. La première de ces 2 « finales » prenaient place à l’ESTADIO MARTINEZ VALERO, véritable forteresse de l’équipe du ELCHE qui pointe à la 14ème place et nécessite un point pour conserver mathématiquement sa place en élite. Sur cette pelouse, ELCHE conserve son invincibilité depuis le début de l’année 2014, c’est dire que cette rencontre aux allures de facilité risque de prendre un autre tournant. Conscients de l’opportunité qui s’offre à eux, les BLAUGRANAS n’ont plus de choix que de se montrer à la hauteur de leurs prétentions. Une victoire sur le MARTINEZ VALERO confirmerait les chances du Barça pour le titre, mais une victoire de l’ATLETICO qui recevait, au même horaire, l’équipe de MALAGA prolongerait le suspense jusqu’à la prochaine et dernière journée où les catalans recevraient les COLCHOS NEROS pour un match on peut plus décisif.  

Le début des péripéties est marqué par un attentisme flagrant de la part des deux équipes, preuve de l’importance des enjeux de cette partie. Le Barça contrôle totalement le cuir sans parvenir à percer le double rideau défensif de l’ELCHE.  Seul remède à ce blocage footballistique : Les frappes depuis l’extérieur de la surface. Le premier antidote sera l’œuvre du « MANCHEGO » Andres INIESTA après une reprise aérienne depuis l’entrée de la surface mais son tir est dévié in-extremis par le gardien local. Ensuite, ce sera LEO MESSI qui, après une de ses accélérations vertigineuses en diagonale, frappe aux poteaux mais MANU HERRERA boxe au corner. A 10 minutes de la fin de la première mi-temps, les catalans passent à côté de l’ouverture du score quand une tête ajustée de PEDRO frôle le poteau droit. Le danger barcelonais se fera sentir encore plus lorsqu’un coup-franc placé à droite de la surface est enveloppé par LEO MESSI ; le centre-tir de l’argentin frôle le poteau gauche de MANU HERRERA sans trouver preneur.  Après un dernier tir du chilien ALEXIS SANCHEZ bloqué par le gardien, la première mi-temps prend fin au MARTINEZ VALERO sur le score nul et vierge de 0-0. Au Barça, il manque la concrétisation de cette domination, un but qui changerait la physionomie d’un match que les catalans dominent sans équivoque grâce aux bonnes prestations de CESC (aligné au dépend de XAVI HERNANDEZ resté sur le banc ), ALEXIS et LEO MESSI. Du côté de Madrid, même score dans la rencontre opposant l’ATLETI à MALAGA tandis que le REAL était mené sur la pelouse du BALAIDOS par le CELTA VIGO de LUIS ENRIQUE, abandonnant ainsi tout espoir pour le sacre.

Après un quart d’heure de repos, les deux protagonistes rejoignent la pelouse avec l’objectif d’en découdre. Le Barça sera d’ailleurs le premier à confirmer cette volonté lorsque DANI ALVES parvient à lancer LEO MESSI en pleine surface, LA PULGA croche son défenseur avant de buter sur l’excellent MANU HERRERA qui, des pieds, éloigne l’effort de l’astre argentin. Affichant jusqu’à là une attitude très défensive, les joueurs du ELCHE se créeront leurs premières occasions de la partie, sans grand danger. L’occasion la plus claire du match sera à signaler du côté BLAUGRANA lorsqu’une remontée rapide menée par MESSI et CESC trouve PEDRO à gauche de la surface. El CANARIO centre à ras terre et c’est DANI ALVES qui se présente à la réception mais EL GATO ne parvient pas à dévier le ballon du talon : INCREIBLE ! Occasion vendangée par l’arrière droit brésilien qui aurait pu, s’il avait préféré la facilité à la beauté du geste, offrir le but salvateur la GENTE DEL BARCA..

A 20 minutes de la fin des débats, et avec l’entrée de CRISTIAN TELLO à la place de PEDRO RODRIGUEZ sur la bande gauche, la nouvelle tombe en provenance du VICENTE CALDERON : L’ATLETICO MADRID est mené par MALAGA 1-0 tandis que le REAL a définitivement sombré au BALAIDOS 2-0. Si le Barça marque, et gagne, ce sera à ex-aequo qu’ils se retrouveront avec les COLCHOS NEROS ce qui facilitera considérablement les options du club catalan lors de la dernière journée.  Seulement, la pression BLAUGRANA n’est pas suffisante pour faire craquer les hommes de ELCHE, renforcés par les encouragements de leurs supporters et par le manque de réussite de leurs adversaires : Pour preuve, et à 7 minutes de la fin du temps réglementaire, ADRIANO tente sa chance des 20 Mètres mais sa frappe enveloppée du droit frôle le poteau droit des locaux !  Entretemps, l’ATLETICO parvient à égaliser face au MALAGA pour faire durer le suspense dans une LIGA extraordinairement indécise. Le FC BARCELONE lui, n’a pas pu s’imposer sur la pelouse difficile de MARTINEZ VALERO, on comprend mieux maintenant pourquoi cette équipe de ELCHE n’a pas été battue ici depuis Décembre 2013. Au sifflet final, les BLAUGRANAS vont aux premières nouvelles pour apprendre que leurs chances sont toujours intactes tandis que le public du ELCHE applaudit les siens et célèbre le maintien : Quel Contraste !

Suite à ce match nul, le Barça conserve tous ses espoirs de LIGA et mise le tout pour le tout dans sept jours au CAMP NOU. Le destin entre les mains, les BLAUGRANAS n’auront de choix que de s’imposer face au véritable rival de cette saison : L’ATLETICO MADRID de DIEGO SIMEONE. Ce même ATLETICO qui nous a éliminé en CHAMPIONS LEAGUE, ce même ATLETICO qui a éjecté le REAL du duel habituel vers le sacre et qui nous a rendu la vie si difficile en championnat. En l’espace de 90 minutes, nous aurons l’occasion non seulement de venger une élimination européenne, mais également de ponctuer, par le succès et la joie, une saison aussi compliquée que triste pour le MES QUE UN CLUB. Alors que nous avions égaré presque tout espoir pour le titre, alors que certains joueurs avaient déjà déclaré la compétition perdue, voici que le destin nous offre la chance de nous rattraper sur un plateau d’or. Au CAMP NOU, il faudra se battre comme jamais contre une équipe dont les armes essentielles restent la fougue, l’agressivité, la GRINTA et l’esprit collectif. Nous y laisserons notre peau, peut-être, mais nous sortirons champions, pourquoi pas. Car si les championnats ne connaissent pas habituellement de finale, Barça-ATLETICO en sera une : 90 minutes pour la gloire, 90 minutes pour l’orgueil, 90 minutes pour l’histoire…90 minutes : Pour le Barça !   

« EINS HI DEIXAREM LA PELL » // « Quitte à y laisser la peau ! »

FORCA BARCA ! 

mardi 6 mai 2014

Résumé de Match : FCB vs GETAFE / LIGA BBVA J36


« ADIOS TITO…ADIOS LA LIGA ?! »


Devant un CAMP NOU en deuil, les BLAUGRANAS du FC  BARCELONE  recevaient l’équipe du GETAFE pour le compte de la 38ème journée de la LIGA BBVA. « TITO, PER SEMPRE ETERN » furent les mots transposés par le public CULE sur une gigantesque banderole, brandie à l’entrée des joueurs sur le terrain en mémoire du technicien catalan, FRANCESC  « TITO » VILANOVA décédé il y a une semaine à la suite d’une lutte acharnée contre la maladie du cancer. Malgré leur dernière victoire sur la pelouse du MADRIGAL, les hommes d’EL TATA MARTINO restaient très affectés par les circonstances tristes que vit le MES QUE UN CLUB actuellement. Ceci dit, seule la victoire permettrait aux barcelonais de conserver leurs minimes espoirs de LIGA dans une course farouche et indécise contre les deux clubs de la capitale. Sans VALDES, PIQUE, PUYOL, ALBA et NEYMAR, le onze BLAUGRANA se devait de sortir son épingle du jeu, face à une rude équipe du GETAFE qui défend ses dernières chances de maintien. 
Le début de cette partie sera marqué par une domination catalane au niveau de la possession du ballon. Malgré cela, les locaux tarderont à se créer du danger devant les filets de leurs visiteurs qui affichaient un très bon positionnement défensif. Il faudra donc attendre la 23ème minute pour voir la vigilance du bloc GETAFE craquer sur devant la pression offensive des BLAUGRANAS. Sur une action initiée par LA PULGA MESSI, le ballon parvient à XAVI HERNANDEZ qui écarte le jeu sur l’aile droite où DANI ALVES adresse un centre minutieux en retrait en direction du point de penalty. A bout de course, c’est bien LEO MESSI qui vient reprendre ce ballon de plein fouet : Plat du pied gauche en pleine lucarne, GOLAZO DE LEO, 1-0 au tableau.

Quelques minutes plus tard, et devant la peine trouvée par les catalans pour doubler le score, ce seront les poulains du roumain COZMIN CONTRA qui créeront la surprise au CAMP NOU. Sur u coup-franc anodin des 30 mètres, SARABIA fait usage d’une louche pour lober le mur barcelonais. Le ballon dans les airs, c’est l’avant-centre LAFITA qui lutte contre PEDRO pour parvenir à contrôler le ballon avant de fusiller PINTO d’un angle peu évident et inscrire le but de l’égalisation pour son équipe (37’). Seul Hic, l’arbitre de touche lève son drapeau pour signaler une faute de main contre LAFITA, mais l’arbitre de la rencontre insiste pour contredire son adjoint : Le but du GETAFE est finalement validé devant l’incompréhension totale du public présent au stade. Au REPLAY, si la faute de main n’est pas nette, le coude utilisé par LAFITA contre PEDRO est flagrant.. Le tableau affiche pourtant l’égalité.

En seconde période, le Barça maintiendra sa pression offensive. Malgré plusieurs occasions créées par le onze BLAUGRANA, le score restera inchangé jusqu’à l’intervention du technicien GERARDO MARTINO qui, comme  à l’image des dernières rencontres, fait usage de changements dont les répercussions ne tardent pas à apparaître sur le score de la rencontre. Comme à l’accoutumée, c’est le joker CESC FABREGAS qui rejoint le terrain, cette fois à la place de MASCHERANO. Un choix difficilement explicable puisqu’il oblige BUSQUETS à reculer pour assurer la garde de la charnière centrale à côté de MARC BARTRA. Mais voilà, c’est bien CESC FABREGAS qui sera à l’origine du deuxième but catalan. Sur une action construite, EL QUATRO fait usage d’un excellent appel pour recevoir le ballon à droite de la surface avant de le transmette en retrait pour PEDRO qui bute sur la défense. A l’affut, c’est le chilien ALEXIS SANCHEZ qui reprend le ballon du gauche et bat le gardien JULIO CESAR au ras du poteau. Délivrance pour le public du CAMP NOU qui voit ses idoles sortir de l’ombre de la parité (67’).          

Hélas, et alors que les CULES s’apprêtaient à fêter leur victoire, les visiteurs réalisent le Hold-up parfait pendant le temps additionnel. Sur une action jouée côté gauche, SARABIA centre en direction de la surface où LAFITA saute plus haut que tout le monde pour battre PINTO de la tête et donner aux siens, un point précieux dans leur lutte pour le maintien (92’). INCREIBLE ! Douche froide aux locaux qui voient leurs derniers espoirs de LIGA s’évaporer en l’espace d’un clin d’œil. Une frustration énorme bat alors de son ail sur un Barça déjà très attristé, et un public déjà en deuil.

Après le sifflet final, on voit les joueurs du FC BARCELONE se lamenter sur le destin d’une saison qu’ils ont eux-mêmes participé à vendanger. Par notre manque de continuité, notre manque de réussite, notre manque de concentration lors des moments clé d’une saison où la pression extra-sportive a été telle qu’il aurait fallu des ROBOCOPS, ou presque, pour garder le mental et l’esprit de victoire intacts. La LIGA, nous ne l’avons pas perdue par ce match nul contre GETAFE, nous l’avons perdue à domicile contre VALENCE, à l’extérieur contre ATHLETIC BILBAO ou encore des équipes telles le VALLADOLID, LA REAL SOCIEDAD ou LEVANTE. Seulement voilà, 24heures après les déclarations des BLAUGRANAS qui constataient la perte du titre, un rebondissement inattendu vient chambouler toutes les prédictions et les aprioris : Défaite des COLCHOS NEROS de l’ATLETI, match nul des MERENGUES à domicile…et le suspens mathématique continue. Alors, nous nous lamenterons : Si seulement le Barça  n’avait pas encaissé ce but de LAFITA à la 92ème minute, si seulement le REAL n’avait pas réussi à égaliser à cette même 92ème minute, si seulement nous avions pu remporter les trois points.. Si seulement .. Maintenant, le destin nous redonne une autre mini chance de garder espoir : Nous, CULES POR LA VIDA, avons le devoir de supporter ces joueurs que les tristesses et les désillusions ont réduit au rang de simples prétendants. En pleine crise, nous luttons contre le désespoir pour rêver encore plus, l’espace de 2 journées qui pourraient, peut-être, offrir un sourire inattendu à un peuple CULE, et surtout à des joueurs, qui ne connaissent plus que la morosité.