mercredi 30 octobre 2013

Résumé de Match : CELTA DE VIGO vs FCB / LIGA BBVA J11


"LA DECIMA VICTORIA"  


Sur la pelouse du BALAIDOS, le FC Barcelone, leader au classement général, se déplaçait pour affronter l’équipe galicienne du CELTA DE VIGO pour le compte de la 11ème journée. Trois jours seulement après une victoire convaincante au CLASSICO DE LOS CLASSICOS, les hommes d’EL TATA MARTINO se devaient d’empocher les trois points sur un terrain qui, historiquement, ne leur a pas toujours réussi. L’adversaire de la soirée, entraîné par l’une des figures emblématiques du Barça contemporain en la personne de LUIS ENRIQUE, est une équipe bâtie sur le modèle FCB autour de 3 joueurs clés formés à la MASIA et qui sont : ANDREU FONTAS, RAFINHA, et NOLITO. Clonage ou inspiration, peu importe pour EL TATA qui restait fidèle à son principe de rotation : pas moins de 5 joueurs ayant été présents au CLASSIC ont été mis au repos : PIQUE, MASCHERANO, XAVI, INIESTA et NEYMAR . En leur lieux et places BARTRA, PUYOL, SONG, PEDRO et ALEXIS SANCHEZ endossaient la charge de la victoire.

Dès les premières minutes, l’effet LUIS ENRIQUE se fait ressentir. Le CELTA prend l’initiative offensive et presse les catalans à hauteur de leur surface. Cela étant, ce seront le Barça qui ouvrira le bal dès la 9ème minute. Grace à un pressing haut, CESC récupère le ballon et s’infiltre dans la surface de réparation. EL QUATRO tente de trouver le deuxième poteau mais le jeune gardien JOEL plonge à la rescousse laissant ainsi à ALEXIS SANCHEZ le chemin libre pour inscrire, du plat du pied, la première réalisation de la soirée, sa 6ème en LIGA. Buteur lors du CLASSICO, EL NINO MARAVILLA ne cesse de surprendre les uns, et confirmer les attentes des autres. « EL JUGADOROSO » comme le nomme la presse catalane, aurait même pu doubler la mise lorsqu’il profite d’un centre de PEDRO au deuxième poteau pour smacher le ballon de la tête mais JOEL renvoie le cuir du pied gauche.

A la demi-heure de jeu, LEO MESSI sort du lot suite à un festival technique : Au menu, un SOMBRERO, un crochet du gauche puis un autre du droit, avant que LA PULGA ne place le ballon à côté du poteau droit. C’est alors que les galiciens décidèrent de sortir de leur sommeil en se créant deux occasions dangereuses par l’intermédiaire de RAFINHA qui frappe à double reprise obligeant VICTOR VALDES à intervenir en deux temps. Blessé, ADRIANO se joint à une infirmerie déjà comblée, le brésilien laisse sa place au jeune MONTOYA sur le couloir gauche. La fin de la première période verra LEO MESSI se créer une autre occasion dangereuse lorsqu’il se jeta sur un centre de DANI ALVES mais sa déviation passe à côté.

En seconde période, les BLAUGRANAS porteront le coup du KO à leurs hôtes galiciens ; trois minutes seulement leur furent suffisantes pour clore tous les débats. A la 48ème minute, MESSI donne la tourmente à deux défenseurs puis combine avec ALEX SONG avant de glisser le ballon vers l’axe pour CESC FABREGAS qui tire sans contrôle. Le ballon heurte la transversale, puis touche le dos de JOEL pour finir dans les filets. Mais si ce but n’est attribué au gardien galicien, CESC insistera pour porter son nom au tableau d’affichage. Six minutes plus tard, le N°4 catalan profite d’une accélération de LEO MESSI pour s’infiltrer à gauche de la surface et battre JOEL du gauche au premier poteau (64’). Auteur de deux passes décisives, LEO MESSI continuait sans succès sa quête des filets.  Sur un centre de DANI ALVES, CESC remet le ballon d’une touche pour LA PULGA qui contrôle le ballon de la poitrine avant de reprendre du droit obligeant JOEL à se déployer au corner.

Mis à part un coup-franc de NOLITO sur la barre transversale, les hommes de LUIS ENRIQUE ne pouvaient que contempler l’interminable feuilleton de LEO MESSI luttant contre la malchance pour trouver les filets. Après une occasion de PEDRO qui frôle la transversale, le match se transforma en un monologue de LA PULGA qui fit tout sauf marquer. Tout d’abord, EL DIEZ fit usage d’un contrôle orienté pour éliminer deux défenseurs avant de dépasser un troisième pour tirer vers les filets mais un plongeon de JOEL mis la balle au corner. Sur une action de contre, LEO MESSI partait à 2 contre 2 avec PEDRO à ses côtés avant de s’entêter à éliminer son adversaire pour frapper au deuxième poteau mais JOEL, encore lui, plonge pour écarter le danger. Enfin, et à la dernière minute du temps additionnel, LA PULGA se débarrassa de deux joueurs à l’extérieur de la surface avant desservir un boulet de canon que JOEL touche de la pointe des doigts. Incroyable, il ne s’agit plus d’état de forme, c’est tout simplement la poisse qui se dressait désormais en obstacle face au quadruple ballon d’or.

Victoire nette des catalans qui s’imposent sans forcer en terre galicienne. EL TATA a su réaliser sa dixième victoire en LIGA tout en conservant ses joueurs frais pour le DERBY DE CATALUNYA en fin de semaine. Sur un nuage depuis la victoire en CLASSICO, le Barça maintient ainsi son fauteuil de Leader en tant que seule équipe invaincue du championnat. Trois points, trois buts, mais surtout des filets vierges. Seule tâche noire, la blessure musculaire de ADRIANO, et le manque de réussite dont souffre LEO MESSI. Comme quoi, on ne peut pas tout avoir dans la vie.

    

lundi 28 octobre 2013

Résumé de Match // EL CLASSICO : FC BARCELONA vs REAL MADRID / LIGA BBVA J10


« FORCA TITO, FORCA BARCA »


« Força TITO ! » C’est par ces mots que le CAMP NOU accueillait les deux équipes les plus titrées d’Espagne en vue du choc de la 10ème journée de la LIGA BBVA. EL CLASSICO DEL MUNDO, ou EL CLASSIC comme il se dit en Catalogne, revenait pour enflammer la passion des supporters CULES et MERENGUES et tenir en laisse, le temps de 90 minutes, toute l’actualité du globe footballistique. BARCA-REAL DE MADRID, une rancune qui ne date pas d’hier. Non seulement une question de football, c’est surtout une divergence de principes, une lutte politique, sociale et doctrinale.

Côté catalan, EL DIA DEL CLASSICO se prépare depuis une semaine, si ce n’est plus. Cela fait 5 CLASSICS que la TIKI TAKA DEL BARCA s’est enrayée face au cadenas madrilène, un sixième serait un record. Trois points séparent les deux équipes au classement général ce qui, outre l’enjeu idéologique, remontait les enchères sportives. EL TATA MARTINO, qui disputait son premier classico, se devait de prouver son mérite, celui de diriger la plus talentueuse équipe de tous les temps, statistiques à l’appui. En face, Carlo ANCELOTTI pouvait compter sur le plus cher, et injustifié d’ailleurs, transfert de l’histoire : le gallois GARETH BALE qui venait s’ajouter à des GALACTICOS désormais guère brillants. Côté Barça, NEYMAR Jr disputait son premier CLASSIC et rêvait d’inscrire son nom avec des lettres d’or lors d’une partie qui a toujours vu naître les grands : Le Classico, véritable « Fabrique de Légendes ».. Pour cette rencontre pas comme les autres, EL TATA choisissait de compter sur le trio CESC-NEYMAR-MESSI en attaque et accordait sa confiance en défense a la PAREJA composée de MASCHERANO et PIQUE. « CARLITTO », comme l’appelait les Tifosis milanais, faisait preuve de prudence justifiée en utilisant trois stoppeurs de formation, deux milieux dont un est défensif, et trois commettes de rapidité devant : DI MARIA, RONALDO et BALE. Du pur Real Madrid mélangé à la sauce défensive italienne.   

Le début des hostilités sera marqué par un round d’observation où la lutte fut plus tactique et physique que technique, avec un léger ascendant en faveur des Catalans. Le métronome du Barça, Sergio BUSQUETS sera le premier à en payer les pots cassés lorsqu’il se voit averti dès la 8ème minute de jeu. Hormis une frappe contrée de LA PULGA MESSI, LOS CULES devront attendre que NEYMAR sorte de son ombre pour mettre deux joueurs dans le vent avant de tenter sa chance du gauche sans inquiéter le portier madrilène. Une minute plus tard, la sentence tombe et la Perle brésilienne brille de mille feux : Sur une longue transversale de MASCHERANO, NEYMAR tente de conserver le ballon dans le jeu mais ce sera grâce à un pressing du majestueux BUSQUETS que INIESTA parvient à prendre possession du cuir. EL PICASSO accélère et, tel un magnat, attire les défenseurs en blanc vers lui avant de glisser le ballon à gauche de la surface pour NEY. EL MOHICO, après avoir fixé gardien et défense, enveloppe une petite frappe de l’intérieur du pied droit. Le ballon touche VARANE et s’en va mourir dans le petit filet gauche de DIEGO LOPEZ : GOL DEL BARCA, GOL DE NEYMAR (19’) !

Euphorique, le CAMP NOU voit sa recrue d’été briller et le onze d’EL TATA mener au score face au rival éternel. Dans la foulée, les BLAUGRANAS auraient même pu doubler la marque, une minute plus tard, par l’intermédiaire de LEO MESSI. LA PULGA reçoit une passe lumineuse de Andres INIESTA qui le laisse presque seul face au gardien mais l’astre argentin, visiblement très loin de son état de forme, ouvre trop son pied et gaspille une occasion franche de porter l’estocade à l’ogre madrilène. Désormais, le Barça dictait le Tempo de la partie pressant les meringuais dans leur moitié de terrain, hélas, sans causer de danger. 

Déboussolés, LOS BLANCOS ne se relèveront du coup dur qui leur a été porté qu’à la fin de la première mi-temps lorsque Cristiano RONALDO parvient à déborder côté gauche puis centre en direction de KHEDIRA obligeant Victor VALDES à sortir le grand jeu pour arrêter la balle en deux temps.      
En seconde période, les deux Coaches continuent la lutte tactique et les afficionados des deux camps guettent le but salvateur : celui de l’égalisation côté madrilène, celui du KO côté CULE. Les catalans reviendront rapidement à la charge par l’intermédiaire de NEYMAR qui, lancé par une longue passe d’EL PICASSO INIESTA, reprend le ballon du gauche en fin de course mais son tir est bloqué par DIEGO LOPEZ. Andres INIESTA qui jouait, jusqu’à lors les Pères noëls à l’égard de ses coéquipiers, sera à l’origine d’une action dangereuse des madrilènes. Pressé par MODRIC à hauteur de la ligne médiane, EL PICASSO cède et permet au croate de servir RONALDO qui fusille Victor VALDES d’un puissant gauche mais le portier catalan écarte le danger au corner. Entré en cours de la deuxième période, Karim BENZEMA signera la plus périlleuse des occasions du REAL. Aux 20 mètres, le français contrôle le ballon puis envoie un boulet de canon qui laisse VALDES en position de spectateur mais le cuir rebondit sur la transversale. Visiblement,  la chance a choisi son camp, le Barça est béni.

Loin des superstitions, EL TATA MARTINO répondait aux changements effectués par l’adversaire en repositionnant son équipe.  Après l’entrée de ALEXIS à la place de CESC, ce sera au tour de ALEX SONG de se joindre au milieu de terrain catalan à la place d’EL PICASSO INIESTA, auteur d’une partie monstre et d’une prestation hors-normes. Ces remaniements apporteront leurs fruits à 12 minutes de la fin de la partie. Sur une action de rupture, NEYMAR Jr. reçoit un dégagement à hauteur de la ligne médiane ; EL MOHICO contrôle le ballon de la poitrine, puis de la cuisse, avant de lancer ALEXIS SANCHEZ  dans un RAID solitaire face au jeune VARANE. EL NINO MARAVILLA croche VARANE du droit pour se créer l’espace nécessaire, puis lève la tête pour apercevoir DIEGO LOPEZ légèrement avancé. Et là, moment de magie : « EL JUGADOROZO » ALEXIS mystifie le portier madrilène par un lobe somptueux des 20 mètres. Le ballon dans les airs ; c’est comme si les pendules du CAMP NOU s’étaient arrêter le temps d’une seconde pour proclamer le génie du chilien. Battu, DIEGO LOPEZ ne pouvait qu’admirer « LA VASELINA » qui lui a été infligée par le N°9 catalan : 2-0, GOLAZO DE ALEXIS, GRANDE BARCA  (78’)!

Hystériques, LOS CULES chaviraient de bonheur et le CAMP NOU chantait sa suprématie dans un moment de liesse indescriptible. On pouvait entendre le fameux « MADRID CABRON, SALUDA EL CAMPEON » à des milliers de mètres de l’ancre catalan. Et c’est là que DANI ALVES profita de l’occasion pour signer un festival technique qui restera dans les annales : EL GATO récupère le ballon dans le camp barcelonais puis accélère balle au pied  pour atteindre la surface de réparation madrilène. Suivi par Cristiano RONALDO, le brésilien fait usage d’une feinte de corps avant d’infliger le petit pond au chouchou des MADRIDISTAS. Humilié, CR7 tente en vain de suivre DANI ALVES, ce dernier tentera de trouver la brèche depuis l’angle fermé mais finit par buter sur DIEGO LOPEZ. Piqués dans le vif, LOS BLANCOS tentent de revenir à la charge par l’intermédiaire de KHEDIRA qui se retrouve en position de MANO a MANO face à Victor VALDES, mais le portier catalan sort le grand jeu pour effectuer la parade et bloquer la frappe enveloppée du milieu allemand. En fin de partie, EL TATA effectuait son dernier changement : PEDRO à la place de NEYMAR auteur d’un CLASSICO de mémoire. Un But, une passe décisive et une STANDING OVATION méritée pour le crack brésilien qui a signé une excellente entrée en la matière. A la première minute du temps additionnel, une perte de balle de LEO MESSI permet aux BLANCOS de repartir en contre par l’intermédiaire de CRISTIANO RONALDO qui file sur l’aile gauche avant de servir le jeune JESE MARTINEZ plein axe, le CANTERANO temporise avant de tirer aux buts. Malgré avoir touché le ballon, VICTOR VALDES est battu, le REAL réduit l’écart (91’). Hélas pour nos rivaux, les jeux sont faits, rien ne pouvait plus gâcher la joie CULE.

A l’issue de la rencontre, la supériorité du Barça est proclamée. Les hommes en Bleu et Grenat ont su dompter l’ogre madrilène avec l’art et la manière. Fidèles à leur style de jeu, les catalans ont pu sortir leur épingle du jeu lors d’un duel tactique acharné qui a vu EL TATA MARTINO sortir en maître et NEYMAR Jr. jaillir en Crack. Un CLASSICO de plus, mais un CLASSICO mémorable par cet esprit de Reconnaissance que traduit  la mosaïque « FORCA TITO » qui a habillé le CAMP NOU dès les premières secondes. Mémorable, ce CLASSIC le sera aussi grâce à la grande Technicité qu’a affiché le onze catalan tout au long de la partie, a l’image du « CANO » que DANI ALVES a infligé à CRISTIANO RONALDO, mais surtout, grâce à ce moment de Magie que fut  la « VASELINA » de ALEXIS SANCHEZ. Fidélité, Reconnaissance, Technicité et Magie : En voici quatre mots qui résument toute l’idéologie du FC BARCELONE. Pour nous, ces quatre principes sont intangibles ; et ce n’est pas un nouveau président, un nouvel entraîneur, une nouvelle recrue ou une nouvelle stratégie marketing qui nous fera céder. C’est là que réside toute la différence entre un CULE  et un MADRIDISTA, et elle est de taille!

SER CULE ES EL MILLOR,

FORCA TITO, FORCA BARCA ! 


mercredi 23 octobre 2013

Résumé de Match : MILAN AC vs FCB / UCL J3


« SAN SIRO AUTOBUS »


Pour le compte de la 3ème journée de la CHAMPIONS LEAGUE, le mythique stade du SAN SIRO s’habillait de ses plus belles couleurs pour accueillir le choc de la 8ème poule entre les ROSSONERIS du Milan AC et les BLAUGRANAS du FC BARCELONE . Pas moins de 11 Titres de C1 entre ces deux géants du football européen qui s’affrontent pour la quinzième prise, 7 victoires pour le Barça contre 4 pour les milanais. A quelques jours du CLASSICO DEL MUNDO, Gerardo MARTINO fidèle à son principe de rotation, fit confiance au revenant MASCHERANO en défense et au trio Sud-américain ALEXIS-NEY-MESSI aux avant-postes. En face, la troupe d’ALLEGRI présentait tant d’allures de déjà-vu que de traces de renouveau : AMELIA aux filets au lieu d’ABIATTI, ROBINHO-KAKA en attaque tandis que BALOTELLI restait sur le banc.  

Le début des hostilités est marqué par un manque flagrant de concentration de la part des catalans qui peinent à entrer dans la partie. Les milanais, eux, ne se font pas prier pour sauter sur l’occasion. Après un but de MUNTARI refusé pour hors-jeu, les locaux ouvrent la marque à la 9ème minute. Sur un long dégagement  anodin, MASCHERANO se mélange les pinceaux et permet à ROBINHO de partir en cavale face à PIQUE avant de combiner avec KAKA pour battre VALDES du droit et enflammer un SAN SIRO déjà en feu. C’est le premier but encaissé par le Barça en CHAMPIONS LEAGUE, rien de mieux qu’une gifle italienne pour sortir de son sommeil.         

Pourtant, les hommes d’EL TATA MARTINO ne parviendront à se créer d’occasions que 10 minutes plus tard, et ce sera sur balle arrêtée lorsque MESSI trouve le filet extérieur sur un coup-franc rentrant. Apparemment, LA PULGA ne faisait que s’échauffer puisqu’à la 24ème minute, la lumière du de l’astre argentin finit par jaillir sur la capitale lombarde. Grace à une récupération grandiose de SERGI BUSQUETS, Andres INIESTA se procure le ballon aux 40 mètres puis sert LEO MESSI, étrangement esseulé, à la droite de la surface. Sur cette zone du terrain, la fin de l’histoire est déjà connue. LA PULGA met MEXES dans le vent par un crochet extérieur avant de résister à la charge de CONSTANT pour battre AMELIA d’un sublime intérieur gauche. Un à Un, balle au centre. 

Malgré cette réaction, les BLAUGRANAS ne parvenaient pas à effacer les déchets qui entachaient leur jeu offensif. LEO MESSI continuait à multiplier les mauvaises passes, tandis que ALEXIS ne parvenait pas à faire la différence. C’est là que NEYMAR finit par sortir de son ombre en essayant à double reprise de trouver le cadre depuis l’extérieur de la surface, mais en vain. Au four et au moulin, le maestro  XAVI HERNADEZ  finit par trouver la brèche suite à une passe lobée qui, hélas, fut reprise mollement par ALEXIS SANCHEZ.  Avant la fin de ce premier acte, NEYMAR profite d’un mauvais dégagement de la tête de ZAPATA pour reprendre le ballon en première intention, mais sa volley passe à quelques pas des filets.   

La seconde mi-temps commencera par une lourde pression offensive des hommes en SAGNERA qui tentent de faire plier le bonzaï ROSSONERO. Sur une action typique de passes dédoublées, XAVI lance INIESTA en pleine course à l’entrée de la surface ; EL PICASSO emmène le ballon du droit pour se retrouver en MANO-MANO face à AMELIA mais sa frappe du gauche est bloquée par l’excellent portier italien. Mis à part une reprise du droit de LEO MESSI qui s’en va errer dans les tribunes, les catalans peinent à percer le double rideau milanais. A la 71ème minute, les CULES voient la « Balle de Match » ratée par leurs idoles. Sur une sublime passe lobée de LA PULGA MESSI, ADRIANO contrôle le cuir du droit à quelques mètres des filets avant de le reprendre du gauche…à côté. « INCREDIBLE ! »   


Malgré l’entrée en jeu de CESC à la place de ALEXIS et de PEDRO à la place de NEYMAR, le FC BARCELONE ne parvient pas à surmonter l’Autobus rouge et noir qui siège devant les poteaux. Les hommes d’EL TATA inscrivent ainsi le second match nul en l’espace de 4 jours et peinent à prendre l’ascendant pour la deuxième fois consécutive. Ceci dit, dans 4 jours, l’efficacité devra être au rendez-vous.  Le REAL MADRID au CAMP NOU, c’est l’histoire d’une longue querelle où la tolérance et la compassion n’ont pas lieu d’être. 90 minutes qui garantissent la suprématie pendant toute une demi-saison. 90 minutes qui rappellent le sens de toute une vie en bleu et grenat.


lundi 21 octobre 2013

Résumé de Match : OSASUNA vs FCB / LIGA BBVA J9


« La Malédiction du REYNO DE NAVARRA »

A sept jours d’un Classico imminent, le FC BARCELONE, leader au classement général se déplaçait pour affronter l’une des lanternes rouges du championnat, l’équipe de l’OSASUNA de PAMPELUNE. Match piège pour les hommes d’EL TATA MARTINO qui refilait son fameux Polo Vert-Pistache dans l’espoir de surmonter une superstition selon laquelle EL REYNO DE NAVARRA dit « ESTADIO EL SADAR » serait un enfer dont les BLAUGRANAS sortent rarement vainqueurs. Plus qu’une superstition, un chiffre :  Seulement 3 victoires lors des 11 dernières confrontations tenues sur ce terrain où la ferveur des supporters locaux, souvent au rendez-vous, ne facilite pas la tâche. Optimistes malgré tout, les CULES avaient reçu avec tout le bonheur du monde, la nouvelle du retour de leur légendaire capitaine : A 35 ans, CARLES PUYOL Allias « EL TIBURON » reprenait l’activité en titulaire après 220 jours d’absence, avec  5 Kilos en moins, de la hargne et de la combativité à en revendre. Un autre revenant, LEO MESSI, faisait banquette afin de garder sa fraicheur pour le choc de la mi- semaine en C1 face aux italiens du MILAN AC. Cinq matchs en 15 jours, un véritable TOURMALET que les catalans devaient inaugurer avec la meilleure des manières possibles.  

Après un quart d’heure d’observation, les barcelonais entamaient enfin leur pression offensive par le biais du trio d’attaque PEDRO-CESC-NEYMAR. Mais ce sera Andres INIESTA le premier à tenter sa chance par une frappe à ras terre, facilement captée par le gardien. Dans son rôle de n°10, Francesc FABREGAS apparaissait clairement comme le fer de lance de l’organisation offensive catalane, après avoir tenté de trouver NEYMAR dans l’intervalle, EL QUATRO est à « quelques secondes » près d’ouvrir la marque lorsqu’il dévie un centre de MONTOYA, titularisé à la place de DANI ALVES . Hélas, CESC n’aura droit finalement qu’à un avertissement, le REPLAY montre clairement que le MASIANO y est allé avec la main, surement inspiré par la « main de dieu » de DIEGO, ou celle de l’autre DIOS aujourd’hui sur le banc : LEO « LA PULGA » MESSI. Dépourvu de tout danger, le Barça ne tenait finalement qu’aux multiples percées de NEYMAR ; mais à chaque fois, la rudesse des interventions défensives se joignait à la passivité de l’arbitre pour avorter les efforts du MOHICO d’EL BARCA. A une minute de la fin de la première mi-temps, MARC BARTRA, titulaire en défense aux côtés d’EL TIBURON, profite d’un corner botté par XAVI pour se créer la plus dangereuse occasion AZULGRANA mais la tête du jeune stoppeur passe au- dessus. Au sifflet de l’arbitre, le bilan est maigre, les minutes défilent éloignant ainsi la 9ème victoire consécutive des esprits CULES.    

En seconde période, les locaux prennent confiance et rêvent désormais d’un exploit autrefois improbable, laissant ainsi plus d’espaces dans leur ligne défensive. Des « creux » que les BLAUGRANAS s’empêchent d’exploiter par l’intermédiaire de passes dans l’intervalle, marque de fabrique du onze catalan. La première est l’œuvre de CESC qui trouve MONTOYA en pleine surface mais le centre à ras terre de ce dernier passe à quelques centimètres de NEYMAR qui s’est jeté sur le ballon tel un affamé sur un bout de pain, mais en vain. Quelques minutes plus tard, XAVI fait usage d’une passe lobée pour trouver CESC en position de MANO A MANO, ce dernier rate complétement son lobe permettant au gardien de saisir aisément le ballon. FABREGAS, piètre musicien de l’orchestre barcelonais, manquera l’immanquable suite à un deuxième caviar servi dans l’intervalle par le Maestro XAVI HERNANDEZ. Le numéro 4 du Barça temporise pour fixer le gardien avant d’envoyer le ballon dans les tribunes : Juste Incroyable.

Les plus vifs d’esprits, dont EL TATA MARTINO, percevaient clairement que si Leo MESSI était au lieu et place de CESC, le Barça aurait surement et largement l’avantage au score. C’est alors qu’EL MISTER fait appel à l’astre argentin, revenant après trois semaines d’absence, pour sauver les meubles du leader lors des dernières vingt minutes de la partie. Mais tout cela n’est que fantaisie, il semble que les hommes vêtus en SAGNERA ont déjà laissé passer le train de la victoire. Même le « MESSI » n’y changera rien ; EL DIEZ obtient en effet une occasion flagrante suite à une passe lobée de SERGIO BUSQUETS, mais LA PULGA glisse après avoir contrôlé le cuir à quelques mètres du gardien, avant d’être gêné par le retour in-extremis de la défense des rouges et noirs. Une défense qui a eu le mérite de mettre les mains et les pieds pour faire taire la symphonie victorieuse du Barça et devenir la première équipe, depuis 32 journées en LIGA, à préserver la virginité de ses filets devant l’ogre catalan.  


Ainsi, le FC BARCELONE signe sa meilleure entame de saison, 25 points sur 27 possibles, mais laisse filer deux points importants dans la course vers le titre mettant en péril son fauteuil de leader pour le bonheur des COLCHONEROS de l’ATLETICO. Heureusement pour nous, ces derniers seront battus, plus tard dans la soirée en terre catalane par LOS PERRICOS de l’ESPAGNOL , permettant ainsi aux hommes d’EL TATA de préserver, à un point de différence, la première marche du Podium. Si ceci une bonne nouvelle, la mauvaise est que le Barça ne compte plus que trois points sur le rival éternel, un écart qui enflamme un CLASSICO déjà très embrasé. A nous de doubler cet écart par une victoire face au REAL au CAMP NOU. Une victoire, pour l’orgueil, pour la passion, pour ce sentiment CULE qui mobilise tout un peuple inconditionnellement fidèle.

A POR LA VICTORIA EN EL CLASSICO, A POR EL ORGUL CULE !


vendredi 11 octobre 2013

Résumé de Match : FCB vs VALLADOLID / LIGA BBVA J8


« ANTI DEPENDENCIA »


Pour le compte de la 8ème journée du championnat espagnol, le FC BARCELONE, leader au classement général, recevait l’équipe du VALLADOLID sur la pelouse du CAMP NOU. Revenus victorieux de leur croisade européenne, les hommes en bleu et grenat devaient se passer de plusieurs pièces maîtresses. Outre l’absence de LEO MESSI, la rotation d’effectif obligeait BUSQUETS, INIESTA et PEDRO à rester sur le banc pour repos. En défense, la titularisation de MARC BARTRA représentait un nouveau test pour le jeune MASIANO, tandis que TELLO obtenait les galons de titulaires à gauche de l’attaque confirmant ainsi NEYMAR en position de n°10. Après quelques minutes disputé à ce poste face au CELTIC, NEY endossait dès le départ la lourde tâche de se substituer à la PULGA dans l’axe offensif. 

Malgré un début prometteur des locaux, ce seront les visiteurs qui ouvriront la marque dès la  10ème minute de la rencontre. Un corner rentrant du talentueux EBER parviendra à trouver la tête de JAVI GUERRA suite à une erreur de marquage de ADRIANO CORREA. C’est le premier but de la rencontre, mais pas du côté attendu (10’). Le sursaut d’orgueil sera l’œuvre du plus jeune joueur présent sur le terrain, BARTRA élimine un adversaire avant de fusiller la cage des 25 Mètres ; un tir surpuissant que le gardien détourne difficilement au corner. Une minute plus tard, la réaction CULE fait enfin mouche. Sur une action bâtie côté gauche, NEYMAR décongestionne le jeu vers l’aile droite pour ALEXIS SANCHEZ qui ne fait pas dans le détail : Contrôle à l’entrée de la surface, puis boulet de canon en pleine lucarne. GOLAZO pour EL NINO MARAVILLA qui estompe toute forme de critique (14’). Score à égalité, Ballon au centre ! 

Dans leur déchainement offensif, les catalans auraient pu doubler la mise lorsque TELLO se retrouva seul en pleine surface suite à une excellente passe de NEYMAR. Hélas, le jeune CRISTIAN tarde à armer sa frappe, intervention in-extremis de la défense. Le crack brésilien continuera à illuminer le CAMP NOU sans parvenir à concrétiser. En position de MANO A MANO, NEY ne parvient pas à briller lorsqu’il se retrouva face au gardien DIEGO MARTINO qui dévie le ballon au corner. Mais à la demi-heure de jeu, ce ne sera pas la maladresse, ni la malchance qui freinera les ardeurs du N°11 catalan, ce sera l’injustice ! Deux actions qui se suivent et se ressemblent, deux penaltys dont un flagrant que l’arbitre omet de siffler . « FUERA, FUERA ! » hurle le CAMP NOU par une PANOLADA assourdissante.    

En deuxième période, les hommes d’EL TATA MARTINO seront décidés à achever leur REMONTADA. Après avoir tenté sa chance sur coup-franc, NEYMAR donne la tourmente à deux défenseurs qu’il élimine grâce à un sublime passement de jambes. EL MOHICO lance TELLO à gauche de la surface qui remet le ballon en retrait pour XAVI qui, du point de penalty, dévie le cuir de l’intérieur du pied droit dans les filets adverses (53’). Football de Salon, Football du Barça ! Les minutes suivantes verront NEYMAR manquer sa deuxième occasion claire de la soirée lorsque sur un de ses RAIDS imparables, le brésilien fait preuve d’égoïsme sans parvenir à trouver les filets. La malchance perdurera et ce sera à CRISTIAN TELLO d’en payer les frais lorsque sa frappe enveloppée est repoussée par la transversale.

Mais à la 64ème, le cadenas saute suite à une action de rupture. Une récupération de DANI ALVES permettra à XAVI de trouver NEYMAR qui sans grand mal, fait sortir ALEXIS seul face au gardien. « EL JUGADOROZO » ne se fait pas prier pour battre DIEGO MARTINO du droit inscrivant ainsi son  4ème but en LIGA, son sixème doublé depuis sa venue au Barça. Décidés à porter l’estocade à leurs adversaires du jour, les BLAUGRANAS récidiveront lorsque le trio ALEXIS-ALVES-XAVI  se joue de la défense côté droit. Résultat de la combinaison : ALEXIS, balle au pied, seul face au gardien ! EL NINO MARAVILLA fera dans l’altruisme absolu pour permettre à NEYMAR d’inscrire, avec toute l’aisance du monde, son deuxième but en championnat (70’). Récompense méritée pour EL MOHICO qui se verra refuser un autre pénalty flagrant par l’arbitre de la rencontre, le troisième de la soirée. Visiblement, les arbitres espagnols ne parviennent toujours pas à suivre la créativité du crack brésilien, différence de dimension footballistique oblige. Le restant des minutes verra l’introduction de PEDRO à la place de TELLO, et de BUSQUETS à la place de PIQUE dans l’axe défensif ainsi que deux occasion de buts CULE par l’intermédiaire de NEYMAR, puis de ALEXIS qui rate le triplé en fin de match.


Huitième victoire consécutive pour les hommes d’EL TATA MARTINO qui peut se prévaloir de la meilleure entame de saison de l’histoire BLAUGRANA. Un chiffre que « EL PROFESSOR» a obtenu grâce à son excellente organisation de jeu et sa claire voyance tactique. Sans la PULGA MESSI, le stratège argentin a pu battre la DEPENDENCIA qui affolait tout le CAN BARCA, avec l’art, la manière, et les buts !   


mercredi 2 octobre 2013

Résumé de Match : CELTIC vs FCB / UCL 2013-2014 J2


" THE MEN IN BLACK "


C’est par un "YOU’LL NEVER WALK ALONE" assourdissant qu’un CELTIC PARK bouillonnant accueillait la 2ème journée de la CHAMPIONS LEAGUE entre les verts et blancs du CELTIC et les BLAUGRANAS du FC BARCELONE. Vêtus de leur tenue noire, les hommes d’EL TATA MARTINO avait pour devoir de nier la MESSI-DEPENDENCIA et de confirmer l’efficacité et le pragmatisme apporté par le stratège argentin. Sans LA PULGA, MASCHERANO et ALBA, les barcelonais pouvaient compter sur l’ingéniosité du MAGO brésilien NEYMAR JR ainsi que le très bon état de forme de l’international espagnol CESC FABREGAS pour sortir victorieux de la brume écossaise.

Dès le sifflet de l’arbitre, les hommes en noir se précipitent pour presser leurs hôtes. Le Barça réussit ainsi à obtenir deux corners consécutifs lors des trois premières minutes de la partie avant que DANI ALVES ne tente de percer le mur par une frappe lointaine qui finit aux tribunes. Le danger sera cependant écossais lorsque le grec SAMARAS parvient à se défaire du marquage avant de buter sur une excellente sortie de VICTOR VALDES qui se déploie au corner. Visiblement très inspiré, NEYMAR met le feu dans la défense Scottish par une percée fulgurante avant de tirer à côté du poteau. Le PICASSO DEL BARCA ne fera pas mieux en tirant des 25 mètres au-dessus du cadre.

Condensés dans un double rideau défensif, les joueurs du CELTIC peinait à mettre le pied sur le ballon tandis que le Barça continuait à manquer de lucidité face au but ; ADRIANO combine avec NEYMAR avant de tirer, en fin de course, dans le petit filet du géant anglais FORSTER. Mais à quatre minutes de la fin de la première période, les catalans passent à côté de l’ouverture du score. PEDRO initie le mouvement plein axe par un sublime petit pond avant d’élargir le terrain du côté droit où DANI ALVES centre en première intention, à la réception NEYMAR qui, d’une touche de magie, dévie le ballon en pleine course du gauche. FORSTER est battu mais le cuir passe à quelques centimètres du poteau gauche. INCREDIBLE !  

Le second acte de cette pièce footballistique connaitra un tournent crucial. Agacés par les feintes vertigineuse de NEYMAR, les joueurs du CELTIC perdent la boule par l’intermédiaire de leur capitaine BROWN qui, après avoir taclé le crack brésilien, insiste à le piétiner dans un comportement « MADE BY PEPE ». BROWN voit rouge, l’arbitre aussi ! Une expulsion qui propulse les CULES au rang d’indiscutable favori. Ce sera le jeune MARC BARTRA, auteur d’une partie irréprochable, qui tentera sa chance des 30 mètres par une frappe centrée que FORSTER se couche pour bloquer. Sifflé à chaque ballon joué, NEYMAR combine avec XAVI mais rate complètement sa frappe au grand plaisir des supporters écossais.

Et là, sursaut d’orgueil ! Les hommes du coach LENNON passent à côté d’un parfait HOLD-UP. Trois minutes décideront du sort de la partie puisque le CELTIC rate coup sur coup deux occasions flagrantes d’ouvrir le score. La première par l’intermédiaire du gaucher COMMONS qui oblige VICTOR VALDES à sortir le grand jeu par une frappe appuyée que le portier catalan vole pour repousser au corner. GRANDE VICTOR (73’)! La deuxième intervient sur ce même corner ; MULGREW, fraichement entré, se retrouve seul face au cadre mais sa tête passe à quelques centimètres du poteau. C’est alors que EL TATA décida d’intervenir en introduisant ALEXIS SANCHEZ à la place de PEDRO (75’) décalant ainsi NEYMAR à la position de 9,5. La sentence tombera la minute qui suivra et ce sera du côté catalan que la chance penchera. Sur un long dégagement de la défense, NEYMAR résiste à la charge pour lancer ALEXIS dans l’intervalle. EL NINO MARAVILLA contrôle le ballon à droite de la surface, puis lève la tête pour servir CESC au deuxième poteau. EL QUATRO, de la tête, prend à contre-pied le gardien FORSTER et inscrit un but salvateur qui vaut son pesant en or (76’).

A la quête de l’estocade, EL TATA lance TELLO à la place du buteur de la soirée, CESC FABREGAS, misant ainsi sur la vitesse fulgurante du jeune MASIANO. Mais ce sera sans compter sur l’immense talent du gardien FORSTER qui après avoir bloquer un gauche puissant de NEY, se relève pour dévier un deuxième de ALEXIS au corner. FORSTER en SUPERMAN, cela continuera jusqu’à l’ultime minute de la partie lorsque le géant anglais se retrouve en position de MANO A MANO face à NEYMAR qui bute sur un positionnement et une parade exemplaires. NEY, auteur d’une partie généreuse, devra encore attendre pour ouvrir son compteur de buts en Europe. 


Deuxième victoire et deuxième CLEAN SHEET consécutives des BLAUGRANAS qui conservent la première place du Groupe 8. Là où le Barça de TITO avait failli il y a un an, EL TATA démontre toute l’ampleur de son génie et parvient à sortir son épingle du jeu lors d’une partie tactiquement compliquée. Sans LEO MESSI, les hommes en noir ont su gérer l’absence de leur CAPO pour remporter les trois points grâce à une prestation qui devra tenir lieu de référence pour le reste de la saison. Conclusion : Efficacité et Pragmatisme balancent avec Fougue et Technicité pour trouver l’équilibre de ce nouveau jeu CULE, telle est la recette gagnante Made By EL TATA.. Et ça marche !