lundi 21 octobre 2013

Résumé de Match : OSASUNA vs FCB / LIGA BBVA J9


« La Malédiction du REYNO DE NAVARRA »

A sept jours d’un Classico imminent, le FC BARCELONE, leader au classement général se déplaçait pour affronter l’une des lanternes rouges du championnat, l’équipe de l’OSASUNA de PAMPELUNE. Match piège pour les hommes d’EL TATA MARTINO qui refilait son fameux Polo Vert-Pistache dans l’espoir de surmonter une superstition selon laquelle EL REYNO DE NAVARRA dit « ESTADIO EL SADAR » serait un enfer dont les BLAUGRANAS sortent rarement vainqueurs. Plus qu’une superstition, un chiffre :  Seulement 3 victoires lors des 11 dernières confrontations tenues sur ce terrain où la ferveur des supporters locaux, souvent au rendez-vous, ne facilite pas la tâche. Optimistes malgré tout, les CULES avaient reçu avec tout le bonheur du monde, la nouvelle du retour de leur légendaire capitaine : A 35 ans, CARLES PUYOL Allias « EL TIBURON » reprenait l’activité en titulaire après 220 jours d’absence, avec  5 Kilos en moins, de la hargne et de la combativité à en revendre. Un autre revenant, LEO MESSI, faisait banquette afin de garder sa fraicheur pour le choc de la mi- semaine en C1 face aux italiens du MILAN AC. Cinq matchs en 15 jours, un véritable TOURMALET que les catalans devaient inaugurer avec la meilleure des manières possibles.  

Après un quart d’heure d’observation, les barcelonais entamaient enfin leur pression offensive par le biais du trio d’attaque PEDRO-CESC-NEYMAR. Mais ce sera Andres INIESTA le premier à tenter sa chance par une frappe à ras terre, facilement captée par le gardien. Dans son rôle de n°10, Francesc FABREGAS apparaissait clairement comme le fer de lance de l’organisation offensive catalane, après avoir tenté de trouver NEYMAR dans l’intervalle, EL QUATRO est à « quelques secondes » près d’ouvrir la marque lorsqu’il dévie un centre de MONTOYA, titularisé à la place de DANI ALVES . Hélas, CESC n’aura droit finalement qu’à un avertissement, le REPLAY montre clairement que le MASIANO y est allé avec la main, surement inspiré par la « main de dieu » de DIEGO, ou celle de l’autre DIOS aujourd’hui sur le banc : LEO « LA PULGA » MESSI. Dépourvu de tout danger, le Barça ne tenait finalement qu’aux multiples percées de NEYMAR ; mais à chaque fois, la rudesse des interventions défensives se joignait à la passivité de l’arbitre pour avorter les efforts du MOHICO d’EL BARCA. A une minute de la fin de la première mi-temps, MARC BARTRA, titulaire en défense aux côtés d’EL TIBURON, profite d’un corner botté par XAVI pour se créer la plus dangereuse occasion AZULGRANA mais la tête du jeune stoppeur passe au- dessus. Au sifflet de l’arbitre, le bilan est maigre, les minutes défilent éloignant ainsi la 9ème victoire consécutive des esprits CULES.    

En seconde période, les locaux prennent confiance et rêvent désormais d’un exploit autrefois improbable, laissant ainsi plus d’espaces dans leur ligne défensive. Des « creux » que les BLAUGRANAS s’empêchent d’exploiter par l’intermédiaire de passes dans l’intervalle, marque de fabrique du onze catalan. La première est l’œuvre de CESC qui trouve MONTOYA en pleine surface mais le centre à ras terre de ce dernier passe à quelques centimètres de NEYMAR qui s’est jeté sur le ballon tel un affamé sur un bout de pain, mais en vain. Quelques minutes plus tard, XAVI fait usage d’une passe lobée pour trouver CESC en position de MANO A MANO, ce dernier rate complétement son lobe permettant au gardien de saisir aisément le ballon. FABREGAS, piètre musicien de l’orchestre barcelonais, manquera l’immanquable suite à un deuxième caviar servi dans l’intervalle par le Maestro XAVI HERNANDEZ. Le numéro 4 du Barça temporise pour fixer le gardien avant d’envoyer le ballon dans les tribunes : Juste Incroyable.

Les plus vifs d’esprits, dont EL TATA MARTINO, percevaient clairement que si Leo MESSI était au lieu et place de CESC, le Barça aurait surement et largement l’avantage au score. C’est alors qu’EL MISTER fait appel à l’astre argentin, revenant après trois semaines d’absence, pour sauver les meubles du leader lors des dernières vingt minutes de la partie. Mais tout cela n’est que fantaisie, il semble que les hommes vêtus en SAGNERA ont déjà laissé passer le train de la victoire. Même le « MESSI » n’y changera rien ; EL DIEZ obtient en effet une occasion flagrante suite à une passe lobée de SERGIO BUSQUETS, mais LA PULGA glisse après avoir contrôlé le cuir à quelques mètres du gardien, avant d’être gêné par le retour in-extremis de la défense des rouges et noirs. Une défense qui a eu le mérite de mettre les mains et les pieds pour faire taire la symphonie victorieuse du Barça et devenir la première équipe, depuis 32 journées en LIGA, à préserver la virginité de ses filets devant l’ogre catalan.  


Ainsi, le FC BARCELONE signe sa meilleure entame de saison, 25 points sur 27 possibles, mais laisse filer deux points importants dans la course vers le titre mettant en péril son fauteuil de leader pour le bonheur des COLCHONEROS de l’ATLETICO. Heureusement pour nous, ces derniers seront battus, plus tard dans la soirée en terre catalane par LOS PERRICOS de l’ESPAGNOL , permettant ainsi aux hommes d’EL TATA de préserver, à un point de différence, la première marche du Podium. Si ceci une bonne nouvelle, la mauvaise est que le Barça ne compte plus que trois points sur le rival éternel, un écart qui enflamme un CLASSICO déjà très embrasé. A nous de doubler cet écart par une victoire face au REAL au CAMP NOU. Une victoire, pour l’orgueil, pour la passion, pour ce sentiment CULE qui mobilise tout un peuple inconditionnellement fidèle.

A POR LA VICTORIA EN EL CLASSICO, A POR EL ORGUL CULE !


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