" Grâce aux Joueurs, grâce au Public ! "
Dans un CAMP NOU bondé de CULES, les catalans du FC
BARCELONE recevaient les anglais du MANCHESTER CITY pour le compte de la phase
retour des huitièmes de finale de la CHAMPIONS LEAGUE. Grace à la victoire
réalisée à l’ETIHAD STADIUM lors du match aller, les BLAUGRANAS pouvaient
compter sur une avance de 2 buts à l’extérieur pour gérer la qualification aux
quarts de finale. Malgré leur méforme en LIGA, les barcelonais devaient réagir
en présentant un jeu à la fois spectaculaire et efficace pour faire taire les
critiques et la pression médiatique qui ne cessent d’empirer depuis le début de
l’année 2014. Pour cette partie, tous
les Cracks de l’effectif ont été appelés à la titularisation, le milieu
SERGIO-XAVI-CESC-INIESTA reprenait les reines à la plus grande joie des CULES avec
NEYMAR en position de seul attaquant épaulé par la plus létale des armes
catalanes LEO « LA PULGA » MESSI. Un 3-5-2 compact qui a pour
objectif la rétention de la possession, le contrôle, la récupération, l’effet
surprise et la concrétisation.. Autrement dit : Le Football du Barça, le
Vrai !
Les premières minutes verront un acteur principal de la
partie sortir déjà du lot, ce sera l’arbitre de la rencontre Monsieur LANNOY
qui omettra de siffler un penalty flagrant de LESCOTT sur LEO MESSI. LA PULGA
se présentera d’ailleurs comme une effroyable migraine à l’égard des défenseurs
anglais puisque l’astre argentin parviendra, quelques minutes plus tard à se
défaire de YAYA TOURE et LESCOTT avant de se heurter à la sortie de HART puis
rattraper le ballon sur la ligne obligeant KOMPANY à sauver les siens
in-extremis. Imparable PULGA. Mais à la 18ème minute, l’arbitre de
la rencontre reviendra pour voler la vedette à LEO MESSI en annulant un but
barcelonais pour un hors-jeu imaginaire de JORDI ALBA, le but inscrit par
NEYMAR aurait dû être validé mais la décision arbitrale est catégorique. Cela étant, les catalans étaient en TOTAL
CONTROL, une possession de balle légèrement plus à leur avantage mais des
récupérations systématiques grâce à la fougue et l’engagement affiché dans
l’entrejeu. En face, les CITIZENS se faisaient de plus en plus agressifs et
ANDRES INIESTA, qui ne cessait d’émerveiller sur la bande gauche, aurait pu en
payer les frais suite à une intervention très musclée qui a visé son genou
gauche. Heureusement, plus de peur que de mal.
A la 39ème minute, la pression AZULGRANA
atteindra son pic. En une minute, les barcelonais auraient pu ouvrir la marque
à deux reprises : La première fut l’œuvre de NEYMAR qui reçoit une passe
lobée de ANDRES INIESTA et parvient à contrôler le cuir de la tête mettant à
terre son adversaire direct. Arrivé à la surface, NEY cherche le premier poteau
à ras terre mais HART touche le ballon de la pointe des doigts et le renvoie au
corner. La suite de l’action verra LEO MESSI destiner une passe précise dans
l’intervalle pour XAVI HERNANDEZ qui plonge pour reprendre le ballon mais le
portier anglais renvoie du poing. Malgré
une dangereuse occasion de NASRI bloquée par VICTOR VALDES, les BLAUGRANAS vont
rapidement revenir à la charge lorsqu’un festival de LEO MESSI permit à NEYMAR
de se retrouver seul face à HART, le ballon légèrement trop long obligea NEYMAR
à temporiser, feinter HART avant de chercher les filets mais ce sera sans
compter sur KOMPANY revenu pour éloigner le danger sur la ligne. Avec un peu de
réussite, le Barça aurait pu sortir victorieuse d’une première mi-temps qui a
vu les anglais répondre à la technicité catalane par un jeu rude et physique
incluant coups de coudes et obstructions systématiques. Malgré leurs petites
tailles et leurs physiques relativement frêles, les barcelonais ont su
résister.
Le second acte de cette partie démarrera sur les chapeaux de
roues. Six minutes seulement s’étaient écoulées depuis la reprise lorsqu’une
récupération de NEYMAR lui permit de lancer MESSI sur le côté droit. Arrivé à
la surface, LEO fixe LESCOTT pour l’éliminer d’un crochet extérieur gauche
avant de placer un ballon précis à ras terre qui s’en va heurter le poteau
droit de JOE HART. INCREIBLE ! La réponse des CITIZENS se fera toute aussi
dangereuse lorsqu’un centre de KOLAROV fut repris de la tête par EDIN DZEKO,
entré à la mi-temps, mais VICTOR VALDES vole à la rescousse pour mettre le
ballon au corner. Très belle parade du portier catalan qui sort le grand jeu
pour conserver la virginité de ses filets : GRANDE VICTOR ! Ceci dit, les anglais auraient pu battre le
génie du portier catalan lorsqu’un mouvement offensif fut lamentablement raté
par ZABALETTA qui dévisse complétement sa frappe du gauche.
Après un dangereux tir de LEO MESSI qui côtoie les poteaux,
la partie entamait sa dernière ligne droite lorsque les catalans parvinrent à
briser le cadenas anglais. Sur un ballon joué d’une touche par DANI ALVES, CESC
FABREGAS tenta de trouver LEO MESSI dans l’intervalle, le défenseur LESCOTT
coupe la trajectoire mais finit par se mélanger les pinceaux laissant à LA
PULGA l’occasion d’achever HART d’un subtile ballon piqué du gauche (67’).
Enfin ! Voici un but qui se fête pour LEO MESSI, létal en CHAMPIONS
LEAGUE grâce à ses 8buts en 5 matchs, d’autant plus que cette dernière
réalisation ouvre les portes de la qualification aux quarts de finale pour le
MES QUE UN CLUB. Deux minutes plus tard, les catalans auraient pu doubler la
marque lorsqu’un mouvement d’école est ponctué par une lourde frappe de XAVI
HERNANDEZ qui oblige JOE HART à se déployer au corner.
Sept minutes plus tard, l’arbitre de la rencontre réitère
ses décisions controversées lorsqu’il omet de siffler un possible penalty de
PIQUE sue DZEKO. Furieux, ZABALETTA proteste auprès du français qui le renvoie
aux vestiaires suite à un 2ème avertissement. Comme à l’aller, les
CITIZENS évolueront à 10 pour les dix dernières minutes. Néanmoins, et malgré
l’entrée de ALEXIS et SERGI ROBERTO à la place de NEYMAR, auteur d’une
prestation louable, et de CESC FABREGAS respectivement, les anglais du
MANCHESTER CITY parviendront à protéger leurs filets contre la pression
catalane. Même plus, à une minute de la fin du temps réglementaire, les
CITIZENS parviennent à égaliser le score. Sur un corner joué côté droit DZEKO
saute plus haut que tout le monde pour trouver de la tête son capitaine VINCENT
KOMPANY, visiblement en position d’hors-jeu, qui dévie le ballon dans les
filets catalans (89’). Malgré les protestations barcelonaises, le collège
arbitral est intraitable mais ses décisions ont été, tout au long de la partie,
on peut plus discutables.
Et alors que des joueurs ordinaires, évoluant au sein un
club ordinaire, auraient pu lever le pied puisque la qualification était d’ors
et déjà assurée ; les BLAUGRANAS signent le but de la victoire dans le
temps additionnel. Suite à une combinaison entre MESSI et SERGI ROBERTO, le
ballon parvient à ALEXIS sur le côté droit. D’une touche, EL CHILENO lance
ANDRES INIESTA pour un MANO a MANO que le PICASSO du Barça gagne en éliminant
HART d’un crochet extérieur avant de crocher sur la ligne du corner et servir
DANI ALVES d’une PASSE DE MUERTE ingénieuse. EL GATO met le plat du pied pour
battre 3 défenseurs et inscrire le but de la victoire (91’). Deuxième but de
DANI ALVES en CHAMPIONS LEAGUE ; en guise de célébration une danse de
PITBULL et des signes à l’AFFICION leur demandant d’élever la voix, un peu
plus, toujours plus.. Une image de protestation et de réconciliation en même
temps avec le public du CAMP NOU qui a, sans nul doute, joué un rôle capital dans cette victoire et
qualification de ses idoles.
C’est donc avec un score cumulé de 4-1 que le FC BARCELONE
clos le dossier tant redouté du MANCHESTER CITY. Redouté, oui.. Mais uniquement
par les médias et les publics adverses qui rêvent de voir ce cycle catalan
arriver à sa fin. Les vrais Barcelonistas eux, sont ceux qui ont supporté de
manière inconditionnelle l’équipe qui nous a fait rêver pendant plus de 6ans
maintenant, et pendant toute une vie auparavant. Car ces joueurs, ce sont à peu
près les mêmes qui ont fait du Barça l’équipe la plus spectaculaire de tous les
temps, qui ont réalisé l’exploit de LAS SEIS COPAS et laissé à l’histoire tout
un art révolutionnant le football…On a tendance à l’oublier parfois, le onze
catalan s’est donc chargé de la piqure du rappel : Le Barça est ce qu’il
est.
FORCA BARCA, VISCA EL ORGUL CATALAN !
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