RESUME DE MATCH : FCB vs OSASUNA LIGA BBVA J21

A quelques jours d’un Classico décisif en COPA DEL REY, le FC BARCELONE continuait à mener la danse de la LIGA BBVA en recevant l’équipe du OSASUNA de PAMPLOUNE sur la pelouse du CAMP NOU. Privés de TITO VILANOVA et de quelques joueurs clés laissés aux repos, tel DON ANDRES INIESTA, le BARCA affichait une formation offensive qui ne peignait guère à se créer des occasions dès les premières minutes de la rencontre.

La première semence sera récoltée par l’astre argentin LEO MESSI qui initie une offensive depuis la ligne médiane avant de lancer EL GUAJE VILLA dans l’intervalle. Le gardien ANDRES FERNANDES anticipe le ballon mais manque au passage son dégagement qui revient dans les pieds de XAVI HERNANDEZ.  El MAESTRO élimine MIGUEL FLANO d’un petit pond spectaculaire avant de servir MESSI face aux buts. Un moment de magie est alors observé au CAMP NOU, EL DIEZ déstabilise le gardien sans même toucher le ballon, comme s’il ne faisait que danser aux pas du TANGO dans les rues de ROSARIO. « BAILA LA PULGA ! » et le premier but de la soirée en faveur des BLAUGRANAS (10’).

Treize minutes plus tard, les visiteurs montreront une force impressionnante de caractère, marque de la région de NAVARRA   dont ils sont originaires, lorsque LOE RAOUL égalise en faveur de l’OSASUNA. Sur une touche jouée côté gauche de la défense, MARC BERTRAN arrive à centrer malgré l’excellent repli défensif de VILLA, LOE RAOUL reprend avec puissance du gauche à l’entrée de la surface. VALDES est battu, c’est le but de l’égalisation (23’).

Un sursaut d’orgueil s’imposait aux catalans, sur une offensive menée par ADRIANO sur le flanc gauche, ARRIBAS inervient de la main pour arrêter le tir du brésilien. L’arbitre, sans remords, indique le point de penalty et sort le deuxième carton jaune de la soirée pour le défenseur espagnol, le second pour main volontaire. C’est le tournant du Match. LA PULGA MESSI se charge d’exécuter la sentence : Penalty tiré avec puissance de l’extérieur du pied au ras du poteau gauche. Trentième but de LEO MESSI en LIGA, le deuxième de la soirée. Et le match peut continuer… Sauf que désormais, c’est l’avalanche catalane sur les champs de la NAVARRE.  MESSI touche le poteau sur une frappe de l’intérieur des 18mètres, avant que PEDRO ne se proclame buteur de la soirée aux côtés d’El Diez, ce sera d’ailleurs le seul à pouvoir le faire. Suite à un excellent appel de balle de DANI ALVES, XAVI, comme à la coutume, sert le brésilien à l’intérieur de la surface. Malgré une probable position d’hors-jeu, EL GATO contrôle le cuir, fixe la défense adverse avant de servir sur un plateau PEDRO RODRIGUEZ qui inscrit le troisième but de la rencontre, le dernier de cette première mi-temps.

En seconde période, le BARCA continuera à mener l’assaut tout en se préservant pour le Classico de la COPA. Deux minutes après un but refusé pour cause d’hors-jeu, LEO MESSI inscrira son troisième but du match et se voit mériter le coup de chapeau. LA PULGA accélère des 45 mètres et lance DAVID VILLA à gauche. EL GUAJE fait preuve d’un talent hors norme en fixant son défenseur et en servant LEO MESSI dans l’espace. LA PULGA élimine le gardien adverse et croise le ballon dans les filets (56’). Mais si l’on croit la légende, EL DIEZ ne s’arrête jamais de surprendre. EL BALON DE ORO revient après seulement une minute pour clore le festival offensif BLAUGRANA et profite d’un excellent mouvement d’attaque construit côté gauche pour dévier le ballon de ADRIANO CORREA dans les filets de ANDRES FERNANDES, malheureux portier d’OSASUNA (57’). L’astre argentin inscrit ainsi son quatrième but de la soirée, le 32^ème en LIGA, et démontre ainsi toute l’ampleur de son talent aux quatre ballons d’or. Si CRISTIANO RONALDO avait cru, grâce à son triplé, pouvoir coloniser les journaux du Lundi, LA PULGA le dénie en inscrivant toujours plus : Ainsi fut le SUPER HAT TRICK, ainsi fut le 202^ème but de LEO MESSI dans l’histoire de la LIGA ESPANOLA.

Au sifflet de l’arbitre, c’est une GOLEADA que le FC BARCELONE a infligé à l’équipe d’OSASUNA, cinq buts à un suite à une partie jouée au rythme d’une séance de préparation pour une demi-finale de la COPA pas comme les autres. Le BARCA montre les crocs avant de se déplacer au SANTIAGO BERNABEU pour affronter son rival éternel.       

RESUME DE MATCH: MALAGA vs FCB / COPA DEL REY 1/4 VUELTA

A POR EL CLASSICO !

Privés de leur entraineur TITO VILANOVA, reparti à New York pour son combat face au maudit virus, les joueurs du FC BARCELONE  se déplaçaient sur la pelouse de la ROSALEDA pour clore l’épineux dossier du MALAGA, cette fois ci en match retour des quarts de finale de la COPA DEL REY.  Les hommes de PELEGRINNI, motivés par la dernière défaite du BARCA à l’ANOETA face au REAL SOCIEDAD , et appuyés par le public local croyaient pleinement en leurs chances de qualification. Le score du match aller (2-2) laissait tous les espoirs permis dans une compétition où les surprises sont souvent d’actualité.

D’entrée de jeu, les catalans sont les premiers à chercher la brèche, les offensives catalanes sont construites à trois derrière et les déplacements des CULES semblent bientôt porter leurs fruits. Ce sera chose faite lorsque PEDRO initie un mouvement  côté droit, le ballon arrive dans les pieds d’el MAESTRO XAVI qui sert DANI ALVES à la limite de l’hors-jeu. Le brésilien contrôle le ballon avant de le centrer point de penalty pour PEDRO qui inscrit de la tête le premier but de la rencontre  (8’). C’est le scénario idéal pour les hommes de JORDI ROURA, coach pour l’occasion, inscrire un but lors des premières minutes et récidiver pour sécuriser la qualification. Mais c’était sans compter sur la motivation des joueurs andalous qui n’étaient visiblement pas là pour admirer la TIKI TAKA DEL BARCA. Trois minutes furent suffisantes pour remettre les pendules à l’heure. DUDA mène un contre fulgurant côté droit, le portuguais réussit à fixer la défense catalane pour sevir JOACHIM dans la profondeur. L’ancien international espagnol fait preuve d’une bonne couverture de balle avant d’expédier le ballon dans les filets de PINTO d’une excellente frappe du droit à ras terre. Un but partout et un MALAGA qualifié (12’).  Pourtant, les BLAUGRANAS continueront à exercer leur football habituel et tenter de percer le double rideau défensif, marque déposée du chilien MANUEL PELEGRINI. L’occasion la plus dangereuse de cette première mi-temps est à mettre au compte de ANDRES INIESTA qui combine avec CESC FABREGAS avant de tirer vers les buts, le ballon heurte la transversale pour confirmer la poisse qui contredit dernièrement le génie catalan. A noter un certain déchet dans les phases de jeu du barça, l’état de la pelouse mais aussi les six cartons jaunes amassés par les joueurs de MALAGA en 45 minutes y sont forcemment pour quelque chose.

De retour des vestiaires, les BLAUGRANAS veulent rapidement en découdre. A la 48^ème minute, PIQUE reçoit un centre millimétré de ANDRES INIESTA qu’il lui délivre en pleine surface. Tel un numéro 9, PIQUENBAUER contrôle le ballon de la poitrine avant de le reprendre du gauche dans les filets adverses pour fêter le deuxième but du BARCA de la soirée, ainsi que la naissance de MILAN le nouveau-né du central catalan. Qualifiés, les catalans vont chercher le coup de grace avant de se faire surprendre par une action menée côté gauche de l’attaque andalous, JOACHIM décale ROQUE SANA CRUZ à l’entrée de la surface. L’expérimenté avant-centre paraguayen fusille à bout portant PINTO avec une classe irréprochable. C’est l’égalisation du score qui s’affiche au tableau et la qualification pour l’ALBICELESTE locale. Piqués dans le vif, les joueurs du BARCA contiueront à appuyer sur le champignon et relèvent le rythme du Match pour assomer l’équipe du MALAGA.

Sur un mouvement initié côté gauche, ANDRES INIESTA combine avec CESC FABREGAS. Ce dernier élimine DEMICHELIS d’un excellent contrôle orienté avant de servir el MANCHEGO dans la surface. Le crack d’ALBACETE ne se fait pas prier pour inscrire le troisième but CULE de la soirée. Ensuite viendra le tour de LEO MESSI qui profite d’un très bon appel de balle de DANI ALVES. EL GUATTO reçoit le ballon côté droit et centre en première intention. La PULGA, de la tête, inflige le coup de grâce à l’équipe andalouse. 4-2 au tableau, et une qualification méritée, presque empochée. Rien n’arrêtera le FC BARCELONE lors des dix dernières minutes, ni le courage de l’équipe de MALAGA digne de tous les applaudissements, ni même les douleurs aux adducteurs de LEO MESSI qui demande le remplacement dans une image à laquelle les SOCIOS ne peuvent s’habituer.

Au sifflet final, le BARCA se qualifie aux demi-finales de la COPA DEL REY pour rencontrer le rival éternel, le REAL MADRID. Un choc que les CULES attendaient avec impatience pour rectifier le tir de la SUPERCOPA et du Match aller en LIGA. Préparez les armes, l’ogre madrilène est dans la cour, à nous de l’expédier vers l’élimination. Un classico pour l’orgueil, un classico pour la suprématie que les médias de la capitale continuent de mettre en doute, oubliant l’écart des 15 points au classement, et surtout l’écart flagrant en matière de plan de jeu, de continuité, et surtout de spectacle. En catalogne, on se fait toujours un plaisir de rappeler la vérité.          

RESUME DE MATCH LIGA BBVA J20 REAL SOCIEDAD vs FCB

"DEROTTA CATALAN" 

Après un frustrant match nul en milieu de semaine face à MALAGA en Coupe, le FC BARCELONE reprenait la scène du championnat espagnol pour affronter les basques du REAL SOCIEDAD au stade  ANOETA. Pour regagner leur confiance amochée, les BLAUGRANAS alignaient leur équipe type sur un terrain qui, même pendant l’ère GUARDIOLA, ne leur a jamais réussi. En face, les poulains de Philippe MONTANIER, dépourvus de tout complexe, n’étaient pas là pour leur faciliter la tache, tous les espoirs sont permis.

Le Match démarre par un scénario classique, un BARCA supérieur dans toutes les phases de jeu qui voulait en découdre rapidement pour s’assurer une bonne entame de match. La première occasion sera l’œuvre de LEO MESSI qui reçoit un caviar signé ANDRES INIESTA, l’astre argentin seul face au gardien dévisse étrangement son tir. Ce ne sera que partie remise puisque sur un dégagement raté du portier chilien Oscar BRAVO, Andres INIESTA récupère le ballon côté gauche et lance LEO MESSI dans l’axe ; ce dernier profite de l’écran de CESC FABREGAS pour décaler du gauche avant de placer le ballon à ras terre dans les filets basques. Avec classe et habitude, LA PULGA ouvre le score à la désuétude du public local (7’).

Cette première réalisation allait permettre aux catalans d’assoir leur jeu et remporter haut la main la bataille du milieu de terrain. A la 25^ème minute, une action typique du BARCA conclura un mouvement offensif initié par le trio BUSQUETS- CESC- XAVI. EL MAESTRO fait preuve d’une VISTA irréprochable et lance DANI ALVES dans la surface, le brésilien contrôle, puis centre vers PEDRO qui dévie le ballon dans les buts. 2-0 grâce à ce mouvement MADE IN BARCA, la soirée ne faisait que commencer.

Les hommes de TITO VILANOVA pouvaient terminer la mi-temps avec un score plus large, mais c’était sans compter sur LA MALASUERTE qui allait se mettre en faveur des locaux. LEO MESSI accélère dans l’axe pour retrouver un ballon en profondeur signé XAVI HERNANDEZ, LA PULGA devance la sortie de BRAVO qu’il lobe du gauche. Hélas, le cuir touche le poteau avant de s’arrêter sur la ligne adverse, comme si les pendules s’étaient figées pour constater et déclarer : Un Tournant du Match. Quelques minutes plus tard, le Real SOCIEDAD initie une attaque côté gauche, centre dévié qui finit dans les pieds de CARLOS VELA, le mexicain lance « EL CHORY » CASTRO seul dans la surface. L’ex joueur de MALLORQUE ne fait pas dans le détail, contrôle du gauche puis frappe surpuissante dans les filets de VICTOR VALDES (41’). A cinq minutes de la fin de la première mi-temps, les basques refaisaient surface et échappaient à la coulée définitive. Les BLAUGRANAS s’étaient permis l’interdit, une lueur d’espoir scintillait désormais dans l’ancre du SAN SEBSATIAN.     

De retour des vestiaires, la révolution basque allait continuait. PIQUE paie les frais de son manque de concentration, et se voit attribuer un deuxième carton jaune, désormais le BARCA jouera à 10. A la 62^ème minute, CHORY CASTRO profite d’un marquage latent des catalans sur corner. Sur un centre côté droit, CASTRO contrôle le ballon dans la surface, se met sur son pied droit pour frapper vers les filets, le ballon dévié par MASCHERANO finit dans les filets BLAUGRANAS. Au pied du mur, les catalans allaient faire preuve de bravoure en continuant à développer leur jeu habituel de passes. Malgré leur infériorité numérique, les hommes de TITO VILANOVA menaient toujours le débat, sans pouvoir concrétiser leurs espoirs. 20 Minutes de frustration pour le public CULE qui pour la première fois de la saison, sent le danger de la défaite approcher. Pendant le temps additionnel, les basques du REAL SOCIEDAD allaient voir leur effrontément récompensé. Sur un mouvement initié côté droit, AGUIRETXE profite d’un marquage beaucoup trop tolérant de MASCHERANO et plonge pour rencontrer le centre de CARLOS MARTINEZ. L’avant centre basque dévie le ballon dans les filets de VICTOR VALDES. Incroyable, le BARCA vient d’encaisser un troisième but qui anéantit tous leurs espoirs de victoire.

Impensable lorsque le BARCA menait 2-0, c’est la preuve que rien n’est impossible en football et que seul le plus courageux, mais aussi le plus organisé et concentré, empoche les points de la victoire. La défaite est un apprentissage, un moment pour faire le vide, pour travailler à corriger ses erreurs. C’est la première DEROTTA des CULES cette saison, c’est la fin d’une série historique de victoires qui a battu tous les records, mais aussi toutes les espérances. Bravo à cette équipe légendaire qui a attendu le 19 JANVIER pour perdre les premiers trois points en LIGA. Après le CELTIC GLASGOW, le REAL SOCIEDAD le redit haut et fort : NADA ES IMPOSSIBLE ! A nous d’en tirer la leçon.   

RESUME DE MATCH : LIGA BBVA J19 MALAGA vs FCB

Dix Huit Victoires et Un Match Nul : 

Sur la pelouse de LA ROSALEDA, les BLAUGARANAS du FC BARCELONE se déplaçaient pour affronter l’équipe du MALAGA locale. Le BARCA DE TITO, décidés de réaliser le record de la meilleure phase Aller du championnat espagnol, IDA DE LA LIGA BBVA, avaient pour adversaire la meilleure défense de la compétition. Une formation alliant talent et expérience, emmenée par EL ARCITECTO, le chilien Manuel PELLEGRINI. Hormis l’absence d’EL TIBURON PUYOL, l’équipe type a été alignée côté CULE pour ce « Choc des Leaders » entre premiers et quatrièmes au classement.

Le match démarre par une séance d’observation tactique où les deux équipes se sont neutralisées en vue de dicter le rythme de la partie. La première action houleuse intervient suite à une main flagrante de WILLY CAVALLERO qui anticipe à la sortie de la surface, une course fatale de l’ailier canarien PEDRO RODRIGUEZ. Solides, les joueurs de PELEGRINI pressaient haut et restaient condensés en milieu de terrain en comptant sur les montées de JOACHIM côté droit, et du dangereux et expérimenté ELISEU côté gauche. Malheureusement pour les locaux, cette concentration va finir par se dilapider lorsque l’ancienne perle de l’ATLETICO MADRID,  CAMACHO décide de remettre le ballon en retrait sans s’apercevoir que LA PULGA était dans les parages. LEO récupère le ballon avant de crocher CAVALLERO pour le mettre dans le vent, avant d’envoyer le cuir du droit, dans les filets adverses (27’). Malgré leur très bon positionnement sur le terrain, les ALBICELESTE de MALAGA se retrouvaient menés au score à la mi-temps, coupables seulement d’une seconde de déconcentration, ils repartaient aux vestiaires assommés par la vitesse du jeu de passes courtes CULE, le « TOCE TOCE sans répit ».

De retour sur la pelouse, le BARCA hausse le rythme en se replaçant dans le milieu de terrain adverse. De la patience, de la technique surtout pour développer des une-deux rapides à l’entrée des 18 Mètres. Objectif : Compléter la destruction de la défense andalouse. Après cinq minute de la reprise, la sentence finira par tomber lorsque LEO MESSI combine avec BUSI avant de lancer d’une excellente passe lobée du gauche, son ancien compagnon de cadets, CESC FABREGAS. Contrôle du gauche, puis pointu du droit suffisent pour battre le gardien de MALAGA, le ballon touche le poteau gauche avant d’aller mourir dans les filets andalous (50’). Deux buts à Zéro en faveur de BLAUGRANAS qui prenaient très au sérieux cette rencontre comme un possible ticket vers le titre. Ce qui suivra ne sera qu’une démonstration de la rapidité des combinaisons de passes catalanes, des triangles que même les supporters locaux applaudissaient…Mais surtout, c’est le « INIESTA SHOW ». Le PICASSO du BARCA illumine la ROSALEDA par des séries bouleversantes de dribles, des caviars distribués aux coéquipiers qui manquaient de justesse face au gardien. Entré en jeu à la place de CESC, THIAGO ALCANTARA, auteur d’une très bonne prestation en milieu de semaine face à CORDOBA en coupe, assure les trois points de la victoire. Suite à une action individuelle, l’espagnol-brésilien élimine ITURRA d’un passement de jambes, puis combine avec LEO MESSI avant de foudroyer CAVALLERO du gauche. Ballon à ras terre, 3-0, les jeux sont faits (82’). Seul un sursaut d’orgueil du remplaçant de MALAGA, le talentueux BUONANOTE, allaient permettre aux supporter locaux de sauter de joie. Un sublime coup-franc des 25mètres, enveloppé avec précision dans les buts de VALDES (89’).

Avant le coup de sifflet final, le chilien ALEXIS SANCHEZ manque l’immanquable lorsqu’il est lancé en MANO MANO face à CAVALLERO. EL NINO MARAVILLA croche du droit avant de mettre le ballon dans le petit filet pour confirmer le terrible manque de réussite dont il souffre cette saison.

Au terme d’une rencontre plaisante, le BARCA réalise la meilleure phase Aller de l’histoire de la LIGA, 18 Victoires et un Match nul en 19 rencontres. Que dire d’une équipe dont mêmes les adversaires applaudissent le jeu. Aujourd’hui c’est MALAGA, une équipe qu’on retrouvera en milieu de semaine pour le compte de la COPA DEL REY, sur le papier c’est le troisième adversaire pour le titre après le REAL et l’ATLETICO de MADRID. Dans un mois, ce sera des équipes européennes de lourd calibre que les poulains de TITO VILANOVA devront affronter. Une chose est sûre, si le BARCA continue de développer cette même qualité de jeu, personne ne pourra résister à la TIKI TAKA catalane. Un ticket en poche pour le titre de la LIGA, d’autres tickets finiront par suivre, seule condition : La Continuité.           

RESUME DE MATCH : FCB vs ESPANYOL LIGA BBVA J18

EL DERBY DE CATALUNYA 

Après une trêve hivernale bien méritée, les bleus et grenats du FC Barcelone recevaientt sur la pelouse du stade mythique du CAMPNOU, le Derby de la catalogne en affrontant les PERRICOS de l’ESPANYOL de Barcelone. Confortés par l’écart flagrant de points qui les séparent des autres clubs au classement, les hommes de TITO VILANOVA, de retour sur le banc de touche, se devaient d’affirmer leur supériorité par une prestation digne des grands soirs. Pour ce faire, le coach catalan aligne d’entrée de jeu son onze type et mise sur la qualité de l’avant jeu CULE avec en l’occurrence : SERGIO, XAVI, CESC, INIESTA et MESSI accompagnés du rapidissime PEDRO LEDESMA RODRIGUEZ.

Les intentions catalanes ne tarderont pas à faire surface lorsqu’à la 10 ème minute, el maestro XAVI HERNANDEZ se déjoue du marquage et plonge dans la profondeur, avant de recevoir une excellente passe du gauche de son compatriote ANDRES INIESTA. De sang froid, EL ARCITECTO dévie le ballon dans les filets de CASILLA du plat du pied droit. Le public exulte, la facilité avec laquelle le BARCA vient d’ouvrir le score annonce la couleur d’une soirée de fête (10’).  Cinq minutes étaient suffisantes pour doubler la marque, sur une action côté gauche, CESC FABREGAS s’infiltre dans la surface de réparation, avant de remettre le ballon à LEO MESSI, sa frappe est déviée par PEDRO qui inscrit, grâce à son excellente lecture de jeu, le second but de la rencontre (15’). LOS PERRICOS n’étaient pas à bout de leur peine, ce BARCA est beaucoup trop fort, même lors d’un match de DERBY où toutes les surprises sont permises. 

Les joueurs de l’ESPANYOL auraient cependant pu renverser la tendance, hélas, l’ex-joueur du BARCA, SERGIO GARCIA seul face à VICTOR VALDES met le ballon dans les tribunes (23’) dans une action qui démontre toutes les raisons pour lesquelles ce lauréat de la MASIA n’a pas pu gagner sa place en équipe A. Quelques minutes plus tard, la sentence catalane allait tomber quand SERGIO BUSQUETS délivre une passe magique depuis la ligne médiane pour trouver la course de PEDRO qui lobe CASILLA pour inscrire son deuxième but de la soirée. A terre, les hommes de JAVIER AGUIRRE avaient hâte de rentrer aux vestiaires avant que l’addition ne soit plus salée, mais ce n’était sans compter sur le sens ultra offensif du BARCA qui même à 3-0 continuent d’appuyer sur l’accélérateur. CESC FABREGAS est fauché par le gardien adverse à l’entrée de la surface, l’arbitre n’hésite pas à montrer le point de pénalty.

LEO MESSI, le candidat favori au ballon d’or du meilleur joueur du monde s’occupe de le transformer est d’inscrire son premier but de l’année 2013. Rien ne va pour le rival barcelonais, les plus pésimistes des PERRICOS n’avaient pas imaginé un scénario catastrophique. LOS CULES enflamment les gradins, c’est l’une des meilleures prestations de la saison du onze catalan. En l’espace de 30 minutes seulement, le BARCA avait écrasé l’opposition et pratiquait désormais sa TIKI TAKA comme s’il s’agissait d’une simple séance d’entraînement à la CIUTAT ESPORTIVA.   

En deuxième période, les joueurs de TITO VILANOVA ont continué à dominer la partie et créer les occasions. Le score aurait pu être plus large puisque à deux reprises, l’arbitre a annulé deux buts de PEDRO visiblement valables pour cause d’hors jeu. A l’arrivée, un score sans appel de 4-0 , le FC BARCELONE a littéralement démoli son voisin de ville. Malgré les efforts des PERRICOS, JAVIER AGUIRRE finit par accorder au BARCA sa supériorité infaillible. L’année démarre très bien pour les catalans qui continuent à mener la danse de la LIGA BBVA et regardent, loin dans leur rétroviseur, le reste des concurrents se chamailler pour les places européennes, le titre a déjà choisi son champion : Bonne année, meilleurs vœux !