« FENT HISTORIA ! »
Sur la pelouse mythique du CAMP
NOU, la finale de la COPA DEL REY 2014-2015 mettait aux prises les basques de
l’ATHLETIC BILBAO et les catalans du FC BARCELONE. Pour une fois, l’antre
BLAUGRANA recevait le Barça en visiteur, les lions basques évoluant, virtuellement
et d’après le tirage au sort, à domicile. Gradins moitié-moitié, mosaïques des
deux côtés, tout était en place pour une confrontation entre les deux
spécialistes en la matière. Entre les deux protagonistes, pas moins de 49 COPAS
réparties à 26 pour le Barça, roi incontestable de la compétition, et 23 pour
les rouges et noirs de BILBAO. Historiquement, 8 finales avait déjà été
disputées entre les deux camps dont 6 ont été ponctuées par une victoire du MES
QUE UN CLUB.
Flottant sur un nuage d’euphorie
footballistique, les hommes de LUIS ENRIQUE restaient à 90 minutes d’une
deuxième célébration, celle de LA COPA, sept jours seulement après avoir
soulevé le trophée de LA LIGA BBVA sur cette même pelouse. L’occasion du
Doublé, une occasion pour écrire l’histoire comme le proclamaient le virage
BLAUGRANA avec son message « FENT HISTORIA ! ». Un deuxième trophée
qui pourrait offrir un second sacre à EL LUCHO pour sa première saison en tant
qu’entraîneur, et qui réconforterait par la même occasion les rêves de TRIPLETE
côté CULES. Pour sa part, l’ATHLETIC BILBAO de ERNESTO VALVERDE avait entamé la
saison en fanfare avec une participation en UCL, avant de trébucher en
championnat sans pour autant délaisser une chance de sacre avec cette finale de
COPA.
Pour ce rendez-vous avec le
Doublé, EL MISTER alignait son onze talisman avec TER STEGEN dans les filets,
PIQUE et MASCHERANO en charnière centrale, EL GATO ALVES et LA MOTO ALBA sur
les côtés. En milieu de terrain, l’irremplaçable SERGIO BUSQUETS épaulait EL
RUBIO RAKITIC et EL MANCHEGO INIESTA tandis que LA TRIPLETTA se chargeait de
l’attaque en les personnes de EL MOHICO NEYMAR, EL PISTOLERO SUAREZ -rétabli de
sa surcharge musculaire-, et LIONEL « EL DIEZ » MESSI. En face,
ERNESO VALVERDE pouvait compter sur la puissance de LAPORTE et BALENZIAGA en
défense, la fougue de MIGUEL RICO et BENAT au milieu, la vitesse de WILIAMS et
l’efficacité d’ADURIZ en attaque.
Devant un public à vocation
séparatiste, l’hymne espagnol ne pouvait qu’être sifflé au grand désarroi des
représentants du pouvoir central, mais le coup de sifflet donné par Monsieur
VELLASCO CARBALLO mit fin à toute controverse, laissant place au seul football
qui animait les sens des deux camps d’AFFICIONADOS. Dès les premières minutes, les
catalans évoluant en Bleu et Grenat démontrent leur supériorité en apprivoisant
les lions basques, NEYMAR parvient même à inscrire un but annulé pour cause de
hors- jeu, suite à une passe lobée classique de LIO MESSI. Face au talent
imparable des BLAUGRANAS, les hommes de VALVERDE n’ont pu trouver que
l’agressivité comme antidote avec, en outre, un marquage homme à homme appliqué
par BALENZIAGA sur EL DIEZ MESSI. Mais à la 19ème minute, LA PULGA
ARGENTINA prouve, pour une énième fois, son statut de meilleur joueur de la
planète. Sur une action purement individuelle, LIO MESSI reçut le ballon sur la
bande droite, collé à la touche, pour entamer une course balle au pied qui voit
EL DIEZ emmener BALENZIAGA, se débarrasser de BENAT, éliminer BALENZIAGA, avant
d’éviter le retour de RICO. Arrivé à la surface, LA PULGA fixa LAPORTE d’un
crochet extérieur magistral pour enfin placer un tir du gauche, à ras terre, au
bas du premier poteau ! GOL DE MESSI, GOL DE MESSI, GOL DE MESSI !
Gol d’El Barça (0-1 Min.19) ! Un but anthologique qui rappelle les courses
endiablées de l’astre argentin face à GETAFE ou encore SARAGOSSE il y a
quelques années.. Un but pour l’histoire, un but pour les décennies à venir.
Mais une question continue de tourmenter tous les admirateurs, amoureux, détracteurs
voire même adversaires d’EL DIEZ : « MESSI, DE QUE PLANETA VINISTE? »
Suite à l’ouverture du score, les
hommes de LUIS ENRIQUE prolongent leur domination sur les faits de la partie.
NEYMAR, servi par LUIS SUAREZ, passe à côté du deuxième but catalan, dénié par
une intervention in-extremis du gardien HERRERIN. Mais à 9 minutes de la fin du
premier acte, le pressing offensif BLAUGRANA finit par payer. Suite à une
action emmenée par LIO MESSI et interrompue par la défense basque aux 45
mètres, EL RUBIO RAKITIC récupère la deuxième balle pour combiner avec EL DIEZ
avant de servir LUIS SUAREZ parti à la limite du hors-jeu. Face à HERRERIN,
LUISITTO fixe le gardien basque pour servir sur un plateau d’or NEYMAR qui
n’eut plus qu’à pousser le cuir dans les filets adverses ! Gol d’El Barça,
Gol de NEYMAR JUNIOR DA SILVA (0-2 Min.36) ! Réalisation 100% collective
qui réconforte l’avance catalane au retour vers les vestiaires, et fixe par la
même occasion NEYMAR comme meilleur buteur de la compétition.. Visiblement, LA
COPA se dirige vers le MUSEU du FC BARCELONE pour la 27ème fois
!
A la reprise, les BLAUGRANAS
changent de stratégie de jeu en comptant sur des récupérations systématiques à
hauteur de la ligne médiane qui déclenchent des attaques de rupture souvent
déstabilisantes à l’égard de
l’adversaire basque. Seul pépin, ANDRES INIESTA se plaint d’une certaine
douleur qui le forcera, 10 minutes après la reprise, à laisser sa place par
précaution à la légende vivante du BARCELONISMO moderne, XAVI HERNANDEZ, qui
disputait là son avant-dernier match sous les couleurs du MES QUE, le dernier
sur la pelouse de l’antre BLAUGRANA, ovationné par le public basque et catalan
présent au CAMP NOU. EL SEIS mythique du Barça n’était pas le seul d’ailleurs à
faire ses adieux au football espagnol ; un autre symbole, cette fois côté
basque, en la personne de IRAOLA qui se séparait des crampons sous les
applaudissements du public.
Dès l’heure de jeu, les hommes de
LUIS ENRIQUE se mettent à gérer les minutes grâce à leur TOQUE I TOQUE
classique. Un rythme qui nuit gravement à l’adversaire et le force souvent à
perdre tous ses moyens physiques et mentaux. Lancé par XAVI HERNANDEZ, EL
MOHICO NEYMAR frôle le doublé en éliminant deux défenseurs avant de dévisser
complétement sa frappe. Mais à un quart d’heure de la fin, les dédoublements de
passes BLAUGRANA finissent par avoir raison des hommes de VALVERDE qui ne
pouvaient plus suivre la circulation de balle. C’est alors que LIO MESSI décida
de mettre un terme au calvaire basque en achevant les lions de Bilbao par un
troisième but catalan, un deuxième de l’astre argentin qui survient suite à un
excellent service de l’intenable DANI ALVES qu’EL DIEZ anticipe au premier
poteau pour mettre le ballon de l’extérieur dans les filets de HERENIN :
Gol d’El Barça, DOBLETE de LA PULGA MESSI (0-3 Min 74) ! LA COPA est
alors défintivement BLAUGRANA, et ce en
dépit d’une réduction du score signée WILLIAMS cinq minutes plus tard (1-3
Min.79). Cependant, le match s’achève dans un climat chargé de tension
lorsqu’une tentative de SOMBRERO du spectaculaire NEYMAR provoque l’énervement
de tout le clan basque..Hélas, il était inutile et trop tard pour les hommes de
VALVERDE de présenter leurs sursauts d’orgueil. Le Barça s’impose avec mérite
pour empocher son deuxième titre de la saison.
Et de 27 pour EL REY DE LAS COPAS
qui transcende les registre de La Coupe du Roi avec un record en la matière. Une
victoire amplement méritée des BLAUGRANAS qui ont brillé face aux valeureux
ATHLETIC , notamment grâce à un LIO MESSI des grands soirs. L’occasion est donc
de célébrer le doublé, LIGA i COPA s’adjoignent pour rejoindre le palmarès étoffé
du MES QUE, ainsi que celui prometteur de LUIS ENRIQUE MARTINEZ pour sa première
saison en tant qu’entraîneur au FC BARCELONA. Une saison qui se termine
finalement avec beaucoup plus de succès que ne l’avaient prédit les analystes
du football espagnol ; eux qui voyaient les catalans toucher la fin du
cycle, tant sur le plan local que continental, et qui s’empressent maintenant d’applaudir
la MAGIA BLAUGRANA . Devant un CAMP NOU moitié-moitié, les hommes en bleu et
grenat exultent face au fidèle public CULE, et toute LA GENTE DEL BARCA qui
reconnait et apprécie toute l’ampleur de l’exploit que représente le doublé.
Cependant, l’histoire reste encore à écrire.. Car à Berlin, l’occasion d’un
triplé historique se présentera et il nous appartiendra de la saisir. Certes,
la JUVENTUS ne sera pas l’ATHLETIC, mais nous sommes le Barça..Oui : Som
Hi Barça ! Et il faudra peut-être
souffrir pour toucher la gloire, mais si nous y parvenons, nous marquerons l’histoire
à jamais.. Encore une fois.
Visca Barça !
CAMPION DE LA COPA DEL REY 2014-2015 !
CAMPION DE LA COPA DEL REY 2014-2015 !
QUEREMOS EL TRIPLETE ! I PODEMOS !
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