« Qui ne tente rien n’a rien »
Sur la pelouse de LA ROSALEDA, le
FC BARCELONE se déplaçait en terre andalouse afin d’y affronter le club local
du MALAGA pour le compte de la 5ème journée. Trois jours seulement après avoir
écrasé LEVANTE, le Leader catalan avait pour ambition de conserver son invincibilité
et engranger les trois points de la victoire. Sans MATHIEU et DANI ALVES laissés
au repos par décision technique, les BLAUGRANAS pouvaient compter sur la
présence d’EL FICHAJE surprise du MERCATO estival, le brésilien DOUGLAS, qui
évoluait pour la première fois sous les couleurs catalanes. Pour ce match joué
en milieu de semaine, LUIS ENRIQUE
reconduisait le même trio d’attaque que lors de la rencontre précédente :
PEDRO, NEYMAR et MESSI ; tandis que les autres lignes ne présentaient pas
de flagrante surprise avec BRAVO dans les filets, PIQUE et l’excellent MARC
BARTRA dans l’axe, DOUGLAS donc et ALBA sur les côtés, ainsi que le triangle
titulaire de cette saison BUSI, RAKITIC et INIESTA en milieu de terrain.
En début de match, les deux
équipe peinent à rentrer dans le rythme. Les locaux sont les premiers à frapper
aux filets par l’intermédiaire de l’international marocain AMRABET dont le tir
est bloqué par BRAVO. Vint alors le tour de LIONEL MESSI qui tenta d’envelopper
un coup franc du gauche sans parvenir à trouver le cadre. Les catalans
tiendront alors les reines de la partie en comptant notamment sur les montées
fulgurantes de « LA MOTO » ALBA sur le flanc gauche. L’international
espagnol sera d’ailleurs à l’origine d’un centre vers PEDRO dont la déviation
aérienne côtoie le poteau, puis d’un autre vers LA PULGA qui, de la poitrine, dévie
le cuir à quelques centimètres de la lucarne de KAMENI. LIO MESSI n’en restera
pas là, après s’être essayé sur un coup franc rentrant bloqué par le gardien camerounais,
EL DIEZ sera à l’origine de la plus dangereuse action catalane de cette
première partie. A hauteur des 40 mètres, MESSI se défit de 2 joueurs andalous
avant d’ouvrir le jeu vers la gauche vers PEDRO qui ne tarda pa à glisser le
ballon vers JORDI ALBA monté en appui. Hélas, le centre appuyé de l’arrière
gauche catalan passe devant les filets. Malgré son saut du dernier espoir,
LIONEL est trop court pour toucher le ballon.
La seconde partie connaîtra un match
beaucoup plus équilibré entre les deux protagonistes. Le Barça est le premier à
se faire dangereux, MARC BARTRA manque de peu l’ouverture du score suite à une
tête rageuse sur corner. Pressentant la difficulté de la situation, EL
LUCHO intervint en faisant appel à MUNIR et SANDRO pour faire leur entrée sur
le terrain à la place de NEYMAR et PEDRO. Deux changements en un coup, mais l’effet
souhaité par EL LUCHO ne sera pas au rendez-vous. Les catalans peinent à se
créer la moindre occasion, pas le moindre tir cadré. En face, les andalous
prenaient de plus en plus confiance, appuyés par un public exultant de voir les
siens tenir tête au Grand Barça. Entré à la place de leur capitaine emblématique
DUDA, le jeune LUIS ALBERTO -Ex BARCA ATHLETIC- fera même trembler les filets
de LA ROSALEDA lorsque, sur un coup franc botté depuis l’angle fermé, le tir du
jeune espagnol est éloigné in-extremis par BRAVO sur le poteau droit. Auteur d’une
prestation au Minimum syndical, DOUGLAS cèdera sa place à ADRIANO pour le
dernier quart d’heure, laissant aux CULES un gout de déception pour son premier
match au Barça.
Mis à part une tête maladroite de PIQUE sur corner, ainsi qu’un geste antisportif du boucher WELIGTON sur Lionel MESSI - injustement toléré par l’arbitre de la rencontre -, le restant des minutes ne connaîtra pas de fait marquant. Le peu de qualité apporté par LES BLAUGRANAS sur la pelouse de LA ROSALEDA n’a pas été suffisant pour déstabiliser les locaux. Les hommes de JAVI GARCIA ont ainsi su enrailler la machine catalane qui n’a pas été au rendez-vous. Triste statistique : 0 tir cadré de la part des hommes de LUIS ENRIQUE dont seuls les ombres avaient fait le déplacement en Andalousie. Un fait qui ne s’est plus produit au Barça depuis une certaine défaite face au CELTIC en 2004. Après la MANITA infligée au LEVANTE lors de la journée précédente, c’est un Grand Zéro qui a été infligé à tous les CULES, déçus par une prestation aussi passive que transparente de la part de leurs idoles. Après le pic, c’est l’absence de variations, de mouvements, de créativité, d’idées.. Bref, De football. Première leçon de la saison : Qui ne tente rien n’a rien. A quand la « Correction » ?!?
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