vendredi 12 avril 2013

RESUME DE MATCH : FCB vs PSG / UCL 1/4 PHASE RETOUR

Et le Rêve Catalan Continue… 

Privé de son WONDERBOY LEO MESSI, le FC Barcelone recevait sur la pelouse du CAMP NOU, les GALACTICOS du Paris Saint-Germain pour le compte de la phase retour des quarts de finale de la CHAMPIONS LEAGUE. Grace aux deux buts inscrits au Parc des Princes, les Blaugranas se devaient de sécuriser sa qualification au tour prochain en surpassant les circonstances difficiles de blessures et d’absences dont souffre le onze initial. Pour ce faire, ADRIANO CORREA a été rappelé à l’ordre en défense centrale, tandis que CESC FABREGAS assumait la lourde tâche du 9.5, marque de fabrique de LA PULGA qui, malgré sa blessure non rétablie, avait été conservé sur le banc de touche, à toute fin utile. En face, le PSG, dépourvu de toute pression, comptait sur la solidité de THIAGO SILVA, la rapidité de LAVEZZI et la puissance physique de IBRACADABRA.

Les hommes de TITO VILANOVA seront les premiers à se faire dangereux grâce à un coup-franc botté par le maestro XAVI HERNANDEZ qui passe à quelques centimètres du poteau. Mais à vrai dire, ce seront les parisiens qui réussiront leur entame du match. LAVEZZI et LUCAS MOURA seront les plus en vue, leurs tirs inquièteront le public CULE mais trouveront un VICTOR VALDES visiblement très inspiré. Le BARCA répondra par le biais du revenant PEDRO RODRIQUEZ qui s’infiltre côté gauche et tente à double reprise de battre SIRIGU mais son ballon finit dans le petit filet. « EL POCHO » LAVEZZI aurait pu ouvrir la marque pour les visiteurs lorsqu’il se retrouve MANO-MANO face à VICTOR VALDES mais ce sera sans compter sur la présence du au portier catalan qui remporte le duel. Une sonnette d’alarme suffisante pour éveiller les BLAUGRANAS qui prennent le contrôle du match à la demi-heure de jeu. « EL GUAJE » VILLA et CESC FABREGAS auront l’occasion de frapper au poteaux sans pouvoir cadrer. Une première mi-temps rude où le BARCA ne développe pas son meilleur jeu, pressés très haut par les homme de ANCELOTTI, les bleu et grenat étouffent. 62% (seulement) de possession de balle sans pouvoir percer, les souvenirs de GLASGOW et de MILAN retentissent dans la mémoire CULE.   

Le deuxième acte de la soirée débutera par une douche froide qui crispe le très nombreux public du CAMP NOU : Les visiteurs ouvrent le score au grand désarroi de la défense catalane. Sur une action de contre, le dégagement de VERRATI est contrôlé par PASTORE qui combine avec IBRAHIMOVIC pour s’échapper seul vers les buts malgré un effort remarquable de DANI ALVES. Hélas, VICTOR VALDES est cette fois ci battu par le gauche de l’argentin (50’).Sur le banc du BARCA, LEO MESSI qui se dévorait les ongles pendant toute la première période, ne pouvait plus attendre. TITO VILANOVA fait entrer EL DIEZ à la place de CESC et doit céder à la récurrente blessure de ADRIANO remplacé par BARTRA. Au moment même où LA PULGA foula la pelouse de CAMP NOU, le silence pris part au camp parisien, comme si la tempête se préparait, c’est définitivement le tournant du match. Renforcés par l’entrée du meilleur joueur du monde, les BLAUGRANAS tenteront de renverser la cadence. ANDRES INIESTA combine avec VILLA mais l’effort du PICASSO est renvoyé par SIRIGU au corner. A vingt minutes de la fin de la rencontre, LEO MESSI, visiblement amoindri par une blessure non rétablie, accélère aux trente mètres et emporte dans sa course VERATTI et THIAGO MOTTA. El DIEZ glisse le ballon en pleine surface à DAVID VILLA qui use d’une excellente couverture pour préparer le ballon à PEDRO RODRIGUEZ qui catapulte le ballon du gauche dans les filets parisiens (70’). Enfin, le FC BARCELONE est en position de qualifié, ALEX SONG est incorporé pour donner la solidité nécessaire au onze catalan. Seule une action de génie de ANDRES INIESTA aurait pu changer la donne, EL MANCHEGO emporte dans un dribble à 360 degrés JALLET et ALEX mais dévisse sa frappe du gauche.   

Ainsi, le FC BARCELONE se qualifiait aux demi-finales de la prestigieuse CHAMPIONS LEAGUE , non pas par sa qualité de jeu ou par la force de son pressing offensif,  mais grâce à l’expérience de ses joueurs et de son staff technique. Une qualification sans victoire qui donne la preuve de l’assimilation des apprentissages tirés des élimination face à CHELSEA l’année dernière, de l’INTER il y a quatre saisons, où même de l’élimination en COPA face au rival éternel cette saison. Libérés par l’entrée de « EL CHE », même blessé et pas en état de jouer, les hommes de TITO VILANOVA ont été menés par la présence d’un leader, un joueur dont seule la présence effraie tous les rivaux. MESSI-DEPENDANCE me dira-t-on, MESSI-SUPREMACIE je répondrai.

Au prochain tour, le BARCA aura à rencontrer l’une des plus solides équipes du monde au temps actuel : LE FC BAYERN MUNCHEN, cher à notre grand PEP GUARDIOLA. Que demander de mieux ?!

Et le Rêve Catalan Continue…    

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire