Et le Rêve Catalan Continue…
Privé de son WONDERBOY LEO MESSI, le FC Barcelone recevait sur la pelouse du CAMP NOU, les GALACTICOS du Paris Saint-Germain pour le compte de la phase retour des quarts de finale de la CHAMPIONS LEAGUE. Grace aux deux buts inscrits au Parc des Princes, les Blaugranas se devaient de sécuriser sa qualification au tour prochain en surpassant les circonstances difficiles de blessures et d’absences dont souffre le onze initial. Pour ce faire, ADRIANO CORREA a été rappelé à l’ordre en défense centrale, tandis que CESC FABREGAS assumait la lourde tâche du 9.5, marque de fabrique de LA PULGA qui, malgré sa blessure non rétablie, avait été conservé sur le banc de touche, à toute fin utile. En face, le PSG, dépourvu de toute pression, comptait sur la solidité de THIAGO SILVA, la rapidité de LAVEZZI et la puissance physique de IBRACADABRA.
Les hommes de TITO VILANOVA seront les premiers à se faire
dangereux grâce à un coup-franc botté par le maestro XAVI HERNANDEZ qui
passe à quelques centimètres du poteau. Mais à vrai dire, ce seront les
parisiens qui réussiront leur entame du match. LAVEZZI et LUCAS MOURA seront
les plus en vue, leurs tirs inquièteront le public CULE mais trouveront un
VICTOR VALDES visiblement très inspiré. Le BARCA répondra par le biais du
revenant PEDRO RODRIQUEZ qui s’infiltre côté gauche et tente à double reprise
de battre SIRIGU mais son ballon finit dans le petit filet. « EL POCHO »
LAVEZZI aurait pu ouvrir la marque pour les visiteurs lorsqu’il se retrouve MANO-MANO
face à VICTOR VALDES mais ce sera sans compter sur la présence du au portier
catalan qui remporte le duel. Une sonnette d’alarme suffisante pour éveiller les
BLAUGRANAS qui prennent le contrôle du match à la demi-heure de jeu. « EL
GUAJE » VILLA et CESC FABREGAS auront l’occasion de frapper au poteaux
sans pouvoir cadrer. Une première mi-temps rude où le BARCA ne développe pas
son meilleur jeu, pressés très haut par les homme de ANCELOTTI, les bleu et
grenat étouffent. 62% (seulement) de possession de balle sans pouvoir percer, les
souvenirs de GLASGOW et de MILAN retentissent dans la mémoire CULE.
Le deuxième acte de la soirée débutera par une douche froide
qui crispe le très nombreux public du CAMP NOU : Les visiteurs ouvrent le
score au grand désarroi de la défense catalane. Sur une action de contre, le
dégagement de VERRATI est contrôlé par PASTORE qui combine avec IBRAHIMOVIC pour
s’échapper seul vers les buts malgré un effort remarquable de DANI ALVES.
Hélas, VICTOR VALDES est cette fois ci battu par le gauche de l’argentin (50’).Sur
le banc du BARCA, LEO MESSI qui se dévorait les ongles pendant toute la
première période, ne pouvait plus attendre. TITO VILANOVA fait entrer EL DIEZ à
la place de CESC et doit céder à la récurrente blessure de ADRIANO remplacé par
BARTRA. Au moment même où LA PULGA foula la pelouse de CAMP NOU, le silence
pris part au camp parisien, comme si la tempête se préparait, c’est
définitivement le tournant du match. Renforcés par l’entrée du meilleur joueur
du monde, les BLAUGRANAS tenteront de renverser la cadence. ANDRES INIESTA combine
avec VILLA mais l’effort du PICASSO est renvoyé par SIRIGU au corner. A vingt
minutes de la fin de la rencontre, LEO MESSI, visiblement amoindri par une
blessure non rétablie, accélère aux trente mètres et emporte dans sa course
VERATTI et THIAGO MOTTA. El DIEZ glisse le ballon en pleine surface à DAVID
VILLA qui use d’une excellente couverture pour préparer le ballon à PEDRO RODRIGUEZ
qui catapulte le ballon du gauche dans les filets parisiens (70’). Enfin, le FC
BARCELONE est en position de qualifié, ALEX SONG est incorporé pour donner la
solidité nécessaire au onze catalan. Seule une action de génie de ANDRES
INIESTA aurait pu changer la donne, EL MANCHEGO emporte dans un dribble à 360 degrés
JALLET et ALEX mais dévisse sa frappe du gauche.
Ainsi, le FC
BARCELONE se qualifiait aux demi-finales de la prestigieuse CHAMPIONS LEAGUE ,
non pas par sa qualité de jeu ou par la force de son pressing offensif, mais grâce à l’expérience de ses joueurs et
de son staff technique. Une qualification sans victoire qui donne la preuve de
l’assimilation des apprentissages tirés des élimination face à CHELSEA l’année
dernière, de l’INTER il y a quatre saisons, où même de l’élimination en COPA
face au rival éternel cette saison. Libérés par l’entrée de « EL CHE »,
même blessé et pas en état de jouer, les hommes de TITO VILANOVA ont été menés
par la présence d’un leader, un joueur dont seule la présence effraie tous les
rivaux. MESSI-DEPENDANCE me dira-t-on, MESSI-SUPREMACIE je répondrai.
Au prochain tour, le BARCA aura à rencontrer l’une des plus
solides équipes du monde au temps actuel : LE FC BAYERN MUNCHEN, cher à notre
grand PEP GUARDIOLA. Que demander de mieux ?!
Et le Rêve Catalan Continue…
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